Michel DAKAR
PARIS
Paris, le 13 juin 2007
LRAR n° 73 553 065 7FR
M. le Premier Président de la Cour de cassation,
Vincent LAMANDA
Objet : Instauration du «
droit sioniste » en France ;
innovations juridiques apparaissant à l’occasion
de l’affaire déposée actuellement en votre cour ;
affaire Michel DAKAR, condamné pour injures à l’encontre
de Mme Sylvie KACHANER, vice-procureur de la République à
Paris. (Pourvoi n° 07/00128, du 23 mai 2007, déposé
au greffe pénal de la Cour d’appel de Versailles, arrêt
du 23 mai 2007).
Ce présent courrier est la partie introductive du mémoire
personnel soutenant ce pourvoi.
Liste des notions nouvelles de droit :
génocide par « vol
de l’espace vital » (génocide des Palestiniens
par les sionistes), notion inconnue de la Convention de l’ONU du
9 décembre 1948, prévenant et réprimant les actes
de génocide, et de l’article 211-1 du code pénal français,
réprimant les actes de génocide,
génocide d’exception,
(génocide des Palestiniens par les sionistes), car à la
fois contradictoirement dénié, encouragé et reconnu
comme légitime,
criminalisation et imprescriptibilité
de la dénonciation publique de ce génocide,
renversement des rôles de
criminels et de victimes, dans les affaires judiciaires qui concernent
ce génocide,
disparition du chef d’incrimination
de diffamation, chef qui oblige à aborder le fond de l’affaire,
par l’« exception de vérité », dans les
affaires relatives à ce génocide, et substitution de ce
chef d’incrimination pour celui d’injure, qui permet de réprimer
sans aborder le fond, soit d’imposer le silence et d’occulter
la réalité de ce génocide,
et pour conclure :
valeur d’exemple et jurisprudence de ces
notions juridiques nouvelles apparaissant à l’occasion de
la répression officielle de la dénonciation du génocide
des Palestiniens par les sionistes. Future étendue du droit de
racisme et de génocide, aux fondations de ce qui apparaît
comme étant un nouveau régime politique, dans lequel nous
sommes en cours d’instauration, particulièrement depuis l’intronisation
de nouveau président de la République Nicolas Sarkozy, sioniste
notoire, régime qui s’instaure dans l’ensemble de Occident,
régime, société fondée sur le racisme, le
droit de génocide, et leur déni, soit sur l’anti-droit
et la fuite du réel, soit sur le crime absolu et la folie totale.
Monsieur le Premier Président de la Cour de cassation,
Vous venez d’être promu au plus important poste de la magistrature
existant en France, et de manière concomitante, votre cour a à
traiter d’une affaire qui expose publiquement la vraie nature de
notre changement de régime politique présent, et au-delà
de la vraie nature de la société sous régime sioniste,
dans laquelle nous entrons, et de la vraie nature de l’idéologie
sioniste, qui est devenue l’idéologie officielle, la colonne
vertébrale psychologique de notre nouvelle société,
son état d’esprit normal.
J’ai été condamné pour avoir dénoncé
pour ce qu’elle est l’action judiciaire de Mme KACHANER vis-à-vis
de mon dépôt des statuts à la Préfecture de
police de Paris en mai 2005, d’une association dédiée
à la lutte contre l’esprit raciste et génocidaire,
l’association CODEIG, dont Mme KACHANER a accepté, tout en
sachant sa démarche illégale, d’écrire les
réquisitions demandant la dissolution « a priori »,
ou encore « dissolution d’office » selon les termes
mêmes du ministre de la Justice du moment, M. Pascal Clément,
lequel était le relais supérieur des donneurs d’ordre
sionistes. Cette demande a été rejetée en première
instance et en appel, par la justice civile de Paris, ce qui d’ailleurs
m’a démontré qu’une partie des magistrats français
étaient fondamentalement intègres, humanistes et courageux.
Il s’agit des juges Gondran de Robert, et Debû.
J’ai déjà été condamné en 2004,
à Paris, sous couvert d’antisémitisme et de négationnisme,
pour la même dénonciation du racisme sioniste et du génocide
des Palestiniens.
La raison la plus importante de ma persistance à m’occuper
du sionisme et du génocide des Palestiniens par les sionistes,
est que la dominance des sionistes en Occident, entraîne l’acceptation
de la morale sioniste, morale fondée sur le non-droit et le racisme,
racisme qui n’est que la légitimation de l’inégalité
et l’exploitation de ceux désignés comme inférieurs,
qu’on prive de tout droit, allant jusqu’à la légitimation
de l’extermination en masse de populations, légitimation
en l’occurrence de ce se passe en Palestine, ou des rabbins renommés,
« directeurs de conscience », assimilent publiquement les
Palestiniens aux animaux. Ce qui se passe pour le moment pour les seuls
Palestiniens, sera étendu tôt ou tard à d’autres
populations.
L’instauration du non-droit dans la société française,
et au-delà mondiale, ne peut que me révolter, et me pousser
à aller jusqu’au bout de ma démarche. Toute condamnation
que je subis, toujours sous couvert d’antisémitisme, alors
que je suis d’origine « sémite », et de négation
de crime contre l’humanité, alors que je m’oppose à
ce type de crime, me renforce et m’honore. Les condamnations de
ces chambres d’exceptions sionistes, la 17ème chambre du
TGI de Paris et ses fameux « juges » Bonnal et Sauteraud,
la 11ème de la Cour d’appel de Paris et sa « juge »
Trebucq, la 6ème du TGI de Versailles et son « juge »
David, et la 8ème de la Cour d’appel de Versailles et son
juge Riolacci, lequel est le seul qui tente, en dépit de son rôle
imposé, de rester intègre et humain, chambres sionistes
similaires aux sections spéciales du régime de Vichy, actives
sous la domination nazie, ces condamnations me prouvent que je suis dans
la bonne direction, elles me guident comme l’aiguille d’une
boussole.
La morale sioniste est en totale opposition avec la devise qui est inscrite
aux frontons des Palais de justice de France, « Liberté,
Egalité, Fraternité ».
L’Egalité, au-delà des mots, est la conscience que
tout être, tout individu, humain ou non-humain, est d’importance
égale. L’idée de Liberté, elle, peut se résumer
simplement au refus d’un régime d’oppression, d’un
régime policier comme celui qu’instaurent actuellement les
sionistes. Quant à la Fraternité, terme maladroit car il
exclut les femmes, il exprime que tout être, humain ou non-humain,
est solidaire, relié à tout autre, et que tout ce qui existe
forme un tout unique, dont chaque élément individuel, chaque
vie, est aussi unique, de même importance, et ne doit pas subir
l’oppression de la part d’autres êtres.
Si je me suis intéressé au droit, c’est que j’ai
dans ma recherche politique, pris conscience que ces notions étaient
des notions de droit, que le droit est le terrain permettant la concrétisation
sociale de ces idées, que le droit seul permet la politique, que
sans le droit, la vie politique disparaît, comme dans notre régime
actuel, où la vie politique n’est plus qu’un simulacre
de plus en plus pitoyable, risible et grotesque, qu’une illusion
entretenue par un régime de non-droit, qui se camoufle en régime
de droit. La première association que j’ai formée,
il y a environ dix années, était dénommée
« Application et évolution du droit ».
Le génocide des Palestiniens, est de même une sorte de fil
d’Ariane, qui permet de se diriger dans le labyrinthe de la conscience,
jusqu’aux tréfonds de l’âme humaine. Ce génocide
a valeur d’exemple. C’est le terrain d’étude
qui est le plus riche pour comprendre comment notre civilisation dite
judéo-chrétienne, est celle qui est en passe de détruire
toute forme de vie sur la planète. Il n’y a pas que les seuls
sionistes qui s’opposent de toutes leurs forces à l’élucidation
de la détermination psychologique raciste et génocidaire,
c'est-à-dire dominatrice. L’ensemble des tenants de la société
occidentale fait de même.
En ce qui concerne M. Riolacci, et la présente affaire, il a par
les attendus de son arrêt, étendu la notion d’imprescriptibilité,
qui jusqu’alors s’appliquait au crime contre l’humanité,
à la loi sur la presse lorsqu’il s’agit de publication
dont le contenu dénonce les crimes contre l’humanité
dont les sionistes sont les auteurs.
Voici l’extrait de son arrêt :
« Considérant que la citation relève
que les faits ont été commis le 7 novembre 2005 et non le
28 juillet 2005, soit moins de trois mois avant la date de la plainte
du ministère de la justice le 28 décembre 2005 ;
Considérant cependant qu’en choisissant
de maintenir l’accessibilité sur son site du texte en cause
à la date où il a été constaté que
ceux-ci y figuraient, le prévenu a procédé à
une nouvelle publication ce jour-là et s’est exposé
à ce que le délai de prescription de trois mois coure à
nouveau à compter de cette date ; qu’il y a lieu en conséquence
de confirmer le jugement entrepris ; ».
Ainsi, en ce qui concerne la publication d’une dénonciation
d’un crime contre l’humanité opéré par
les sionistes, un texte publié sur internet depuis plus de trois
mois, et qui reste publié, est toujours susceptible de poursuites,
et cela indéfiniment, tant qu’il reste publié.
Cette « outrance » est révélatrice, puisque
qu’en ce qui concerne l’opposition au caractère intrinsèquement
criminel du sionisme, soit l’opposition aux racisme et au génocide,
cette opposition devient en elle-même un crime, et qui plus est
un crime imprescriptible.
Ainsi, grâce à cet arrêt, et au courage d’agir
sans masque, à découvert, du juge Riolacci, de la 8ème
chambre de la Cour d’appel de Versailles, la vraie nature de notre
régime actuel est portée au jour, c'est-à-dire que
la norme morale actuelle devient fondée sur le racisme et le droit
de génocide, et que toute opposition à cette norme est considérée
comme étant un crime imprescriptible. Nous devons donc pour être
en règle, être des criminels.
Il faut reconnaître à sa juste importance l’apport
à la recherche de la vérité rendu par cet arrêt,
et par l’auteur de cet arrêt, M. Riolacci. En effet, il suffit
de constater l’immense quantité en moyens matériels
et humains, constamment mis en œuvre par la propagande de ce régime
dans le but qu’il apparaisse pour l’opposé de ce qu’il
est en réalité, soit pour un régime constitutivement
et radicalement ennemi du droit, pour mesurer le service rendu au droit
et à la vérité, par cet arrêt.
Ainsi, l’atteinte à la façade mensongère du
régime sioniste équivaut à un crime contre l’humanité.
Ainsi, sous régime sioniste, la dénonciation du camouflage
d’un crime contre l’humanité devient égale à
un crime contre l’humanité.
Je vous demande de veiller personnellement à ce que cette lettre
soit présente au mémoire que je dépose concernant
ce pourvoi, ainsi que de veiller à ce que ce mémoire soit
bien présent au dossier de l’affaire et soit bien pris en
compte. Cette demande extraordinaire, est motivée par la suite
d’évènements extraordinaires qui se sont succédés
durant cette procédure, dont le vol extravagant opéré
par le juge David, de la plainte introduisant la procédure à
Versailles, plainte déposée par ministre de la Justice,
le libellé de cette plainte étant trop excentrique du droit.
Je vous prie de recevoir, Monsieur le Premier Président de la Cour
de cassation, l’expression de mes respects.
M. DAKAR
Référence internet de ce courrier :
http://
aredam.net / instauration-france-droit-sioniste.html
Site internet :
http://www.aredam.net
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