Poursuite de la compréhension de la maladie mentale dominante du désir de pouvoir, de domination
et d'accaparement, baptisé pour l'occasion « kratopathie »..
Illustration du chapitre « Réflexions », du livre « Les hauteurs béantes », d'Alexandre Zinoviev, 1976, Éditions L'Âge d'Homme, Suisse.

Communication de Michel Dakar, chercheur autonome en la « maladie du pouvoir », le 22
janvier 2020, Villequier, Rives-en-Seine (en France, sur le bord du fleuve Seine, entre les villes de Rouen et du Havre).

http://www.aredam.net/illustration-du-chapitre-reflexions-du-livre-les-hauteurs-beantes-d-alexandre-zinoviev.html

http://www.aredam.net/alexandre-zinoviev-reflexions-les-hauteurs-beantes.pdf

Étude de cas :
http://www.aredam.net/rives-en-seine-une-partie-de-l-ultime-reduit-de-la-fabiusie.pdf




Radio Corbeau, film d'Yves Boisset « Plus pourri t'es sourd ».
Mort d'un pourri, film de Georges Lautner.

1 - Kratopathie.

Toute l’œuvre d'Alexandre Zinoviev est consacrée à l'analyse de ce qu'est le pouvoir, ce thème dépassant totalement le cadre soviétique, et s'attachant au pouvoir en tant que tel, incluant celui occidental et autres.

Zinoviev trouve sa place parmi les chercheurs du même acabit comme Arcadi Vaksberg (La Mafia russe), Anna Politkovskaia (toute son œuvre), Libertad (Le Culte de la charogne) …

Mais il n'en n'est pas un seul de cette énumération pour oser voir
que le désir de pouvoir est un état de morbidité, de maladie, de psychopathie, sans doute par l'effet de fascination, de subjugation produit par le pouvoir sur l'observateur. Cet effet de subjugation est particulièrement visible sur un autre observateur du pouvoir, Pierre Péan, ce qui limite et fausse toute son œuvre. Il est donc temps de baptiser cette forme de maladie mentale non-reconnue comme telle, mais bien au contraire imposée comme une valeur de normalité, kratopathie.

Kratos, terme grec ancien signifiant pouvoir, associé à celui de pathos, signifiant maladie, l'agglomération des deux donne kratopathie, qui trouve sa place dans les psychopathies, forme les plus graves de maladies mentales, considérées comme inguérissables, au fond car elles sont structurelles à la forme sociale actuelle, et vouloir les guérir revient à transformer l'ordre politique. On n'est donc pas uniquement
dans la médecine mais aussi dans la politique et au-delà, l'action politique. C'est un domaine neuf de recherche qui est ainsi créé, celui du médico-psychophatique, et ce n'est non-pas le kratopathe seul sur lequel il faut agir, mais aussi sur la totalité de la société. Une version amoindrie du concept de kratopathie apparaît dans la notion de pervers narcissique, cette notion étant une timide avancée des psychologues respectueux de l'ordre kratopathique qui est la norme, vers la prise de conscience que le désir de pouvoir est une pathologie mentale. Les pervers narcissiques n'étant que des cas rendus évidents de kratopathes, en raison de leur excès, de leur excentricité par rapport au comportement moyen admis du kratopathe. En ce sens, les cas de kratopathes désignés comme pervers narcissiques sont des aubaines pour la recherche en kratopathie. Celui de l'aire géographique fabiusienne de Rives-en-Seine prête son concours involontairement à cette recherche vitale pour l'avenir de l'espèce et au-delà, de toute l'évolution de l'ensemble des formes de vie vers un état de bonheur.
Un premier jet de recherche à déjà commencé en la forme de la page internet suivante :
http://www.aredam.net/ergastule.html et de celle corollaire :
http://www.aredam.net/ne-pas-accepter-l-illegalite-a-rives-en-seine.html

L'ensemble des sites internet mis en lien sur le site aredam.net, sont tous des sites kratopathiques, les plus importanst étant voltairenet et strategika51. Ce sont des organes de la kratopathie qu'ils renforcent.


2 – L'intérêt du chapitre « Réflexions » du livre d'Alexandre Zinoviev « Les Hauteurs béantes ».


« Sans l'idée de la supériorité d'une catégorie sur une autre à l'échelle d'une société, la vie perd tout intérêt et tout sens. Comment se fait-il que les gens ne veulent pas le voir, ni le reconnaître comme un fait ? Que craignent-ils ? Des analogies ? Mais le travestissement de la réalité et l'hypocrisie finiront par produire un effet bien pire. »
( http://www.aredam.net/alexandre-zinoviev-reflexions-les-hauteurs-beantes.pdf )


Ce que Zinoviev signifie par ce qui est une sorte de boutade provocatrice, est que le déni de la kratopathie est la pire expression de cette maladie, que ses effets sont infiniment plus dévastateurs quand l'existence de cette maladie est déniée.

C'est ce qui se passe en Occident, où la population ne veut pas se voir comme un bétail dans la cour d'un abattoir, mais
comme des citoyens qui possèdent un pouvoir.

On peut constater un effet désastreux de cette cécité hypocrite, dans l'affaire de la création du Kosovo par l'OTAN, c'est à dire des américains, d'Israël, de la France, de l'Allemagne et de l'Angleterre.

En effet, nulle part ailleurs sur la planète, aucun régime n'a mis en œuvre un état mafieux, qui trafique tout ce qu'il est possible de trafiquer, et cela à l'échelle planétaire, le summum étant le dépeçage vivants par
dizaines, voire jusqu'à deux centaines, d'humains jeunes et en bonne santé, pour en tirer des organes vitaux (cœur, yeux, reins etc …) vendus à l'étranger, particulièrement via la Turquie en Israël, en raison de l'interdit par le judaïsme du don d'organe (le dépeçage de vivants pour vendre leurs organes existe dans tous les endroits du monde où règne la pauvreté et la guerre, et tous les riches malades qui le peuvent, achètent des organes, toutefois, en raison de l'interdit de leur religion sans doute, on trouve une proportion majeure de juifs impliqués dans le trafic mondial d'organes). Le dépeçage était réalisé sans anesthésie, les victimes étant parfaitement conscientes jusqu'à leur mort. Il est certain que ce trafic continue, cela au cœur de l'Europe, dans la région du monde qui se veut la plus démocratique et libre qui soit (lire le livre de Pierre Péan « Kosovo Une guerre « juste » pour un État mafieux », Éditions Fayard 2013.

Le Kosovo est un des cœurs du pouvoir réel actuel occidental, un cœur où l'on dépèce à vif les humains, leur arrachant leurs cœurs comme le faisaient les anciens aztèques, encore palpitant, mais à la différence des aztèques, pour le vendre
jusqu'à plusieurs centaines de milliers de dollars à des humains égoïstes capables de vivre avec le cœur arraché à un jeune qui ne demandait qu'à vivre.
Le Kosovo a été porté aux nues par les humanistes occidentaux tels Finkielkraut, Glu
cksmann, Bernard Henri Lévy, Kourchner, Médecins du monde, et toute la presse occidentale.

Le Kosovo est l'un des points noirs sur la planète, avec Israël, les USA, l'Europe.

Un autre fait « comique » en Occident est celui du mouvement dit des « Gilets jaunes », sorte d'illusion de masse, d'après moi entièrement créée par les officines spéciales et secrètes de manipulation de masse du régime, servant à les entretenir dans l'illusion que les individus dans ce régime ont des droits, qu'ils peuvent manifester dans les rues, alors que la réalité est celle de bêtes qui si elles font mine de véritablement menacer le pouvoir, seront écrasées vives, comme l'avait fait faire le roi Hassan II du Maroc pour les militaires qui avaient tenté de le renverser, les alignant ficelés étendus côte à côte au sol, et faisant passer sur la file
un char d'assaut.

Les populations chinoise, russe, iranienne, nord coréenne, syrienne, vénézuélienne, toutes soumises selon la vérité officielle occidentale à des dictatures, sont autrement moins enfermées et aliénées que les masses en Occident. En comparaison, elles sont saines.

Ce qui se passe en Occident est l'illustration de la réflexion de Zinoviev, « un effet bien pire » de l'oppression, car quasi parfaitement masquée, comme un supplicié attaché à son poteau de torture s'imaginant épanouit et en toute liberté.

Il ne faut pas s'étonner de l'état de folie manifeste qui est celui de la population occidentale, incluant le cercle du pouvoir réel, car parvenu à un état d'une telle irréalité, tout devient possible, et la démence atteint autant le bétail que les bouchers.

De cet état de fait, les dirigeants des pouvoirs mondiaux concurrents à celui occidental doivent tenir compte.

Ils ont affaire à un bloc de démence, qui va aller vers de plus en plus d'irrationalité.


3 - Étude de cas :
http://www.aredam.net/rives-en-seine-une-partie-de-l-ultime-reduit-de-la-fabiusie.pdf

Ceci fait suite à l'étude déjà commencée par ces pages :
http://www.aredam.net/ergastule.html et de celle corollaire :
http://www.aredam.net/ne-pas-accepter-l-illegalite-a-rives-en-seine.html