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Le régime totalitaire spécial, et ses idiot utiles, dont moi, Michel DAKAR, idiot utile employé au Théatre de la façade démocratique, 20 ans de carrière qui se termine, au service du Régime totalitaire mondial siono-capitaliste (Scène finale : "Rencontres pacifiques pour la Palestine" chaque dernier samedi de tous les mois, à la Fontaine des innocents, aux Halles à Paris 1er, à 15 H, métro et RER Châtelet les Halles).

Voir le dessin d'illustration de l'idiot utile.

 

 

Introduction.


Ce présent texte marque la fin de mon activité politique concernant la Palestine. La continuation de mon activité politique se fera sur le problème plus général et fondamental de l'instauration d'une dictature totalitaire mondiale, et de la nécessité du maintien - ici et maintenant - dans le contexte actuel, qui va très certainement perdurer et s'aggraver, d'une activité indépendante, consacrée à la liberté de conscience et à sa libre expression publique.

 

 

1 - 1. Exposé sur le régime trés spécial totalitaire actuel :

 

Nous sommes sous régime totalitaire trés spécial. Il est trés spécial, et unique dans l'histoire générale du totalitarisme, en ce que sa réalité de dictature, de totalitarisme, est niée par l'immense majorité de la population qui le subit.

Il existe même une partie de la population, qu'on peut qualifier d'idiots utiles, qui se consacre, sans être rémunérée, à camoufler ce totalitarisme, en lui fabriquant une façade démocratique. Ces gens le font d'eux-mêmes, personne ne les y force. Ils y trouvent non pas une avantage pécuniaire (quoique pour certains cela soit le cas), mais assouvissent une recherche psychologique de supériorité, de suprématie sur autrui, de notoriété. Certains, ou certaines, sont même véritablement des drogués de la notoriété.

Ainsi, ils créent ou participent à des associations, dont la Ligue des droits de l'homme est l'un des meilleurs exemples. Ce sont des activités dites "citoyennes".

Les activités "citoyennes", bénévoles, sont les meilleurs actes de propagande pour le régime totalitaire. En effet, on ne peut dire que nous sommes en totalitarisme, voyez les activités libres de ces associations, qui critiquent et attaquent librement le régime. Est-ce que ce serait possible si on n'était pas réellement en démocratie. Ceux qui disent que nous sommes en dictature sont des fous étrangers à la réalité.

Dans le domaine délicat de la Palestine (délicat, car le sionisme est devenu le coeur nerveux de la dictature), ces activités de camouflage, activités citoyennes, sont tenues à l'extrême gauche, par la LCR et LO, (CAPJO, AFPS, CCIPP et autres), et à l'extrême droite par le pôle dit "Rencontres pacifiques pour la Palestine".

Ces "Rencontres pacifiques pour la Palestine" agglomèrent des professionnels de la religion musulmanne ultra réactionnaires, conservateurs et pro capitalistes, adhérant aux idées de profit et d'exploitation, d'enrichissement et donc d'appauvrissement d'autrui, et qui prônent de plus un état naturel d'infériorité pour la femme vis à vis de l'homme, des ultra réactionnaires français de souche, qui masquent momentanément leur racisme et qui utilisent comme marionnette les étrangers, à des fins électoralistes (cas du Front National et du comique Dieudonné, et du site labanlieuesexprime.org), contraints qu'ils sont de racoler des noirs et des arabes, et enfin, un réactionnaire avide de renommée, en mal de promotion politique et issu de l'immigration, être hybride entre le guru de secte et le meneur politique, très habilement supporté et manipulé par les services spéciaux.

On retrouve à ces "Rencontres pacifiques pour la Palestine", particulièrement, deux échoués en fin carrière politicienne, des has been, qui sont passés par à peu près tous les râteliers (Sarkozy, Raoult, Verts, Khadafi, Mohammed 6, et autres), et qui désespérément s'accrochent à cette dernière bouée politique palestinienne, comme à un cadavre gonflé qui flotte, pour ne pas sombrer définitivement dans le néant de l'inexistence de leur vie privée.

L'unique ciment qui rend solidaire tous ces éléments disparâtes et même ennemis entre eux, de ce milieu, est leur véritable terreur de leur éviction de la classe politique par les juifs, leur terreur de leur mise à l'écart de l'appareil d'encadrement de la population asservie par l'oligarchie économique, laquelle est le véritable maître, le dictateur du régime.

Ces gens ne demandent qu'à travailler pour le régime, pour encadrer, comme tout politicien, la masse esclave pour le compte de l'oligarchie dictatoriale, laquelle a de moins en moins besoin de ce type d'encadrement et de gens.

En effet, dans ce régime totalitaire spécial et unique de l'Histoire humaine, la classe des politiciens, qui ne sont autres que de simples agents de maîtrise, des contremaîtres, des "kapos", agissant pour le compte de l'oligarchie dictatoriale, perd rapidement son rôle auparavant crucial, indispensable.

En effet, dans les temps anciens, un être humain ne devenait esclave que par la contrainte la plus féroce, et ne travaillait comme esclave que sous la menace constante de sa mise à mort, et de plus sous les pires tortures (crucifixion). Les esclaves étaient forcés de l'être.

Maintenant, les esclaves se vendent d'eux-mêmes, et apportent même leurs cages, leurs chaînes et le fouet pour les battre à leurs maîtres.

(Lire l'article du Parisien du 26 juin 2008, à ce sujet " Sept minutes pour se vendre").

C'est la suprême réussite de ce régime, d'être parvenu à ce que la masse exploitée intègre comme naturelle, quasiment dans ses gènes, son statut d'exploité, d'esclave, s'encadre d'elle-même, et de plus s'imagine libre.

La classe des politiciens, dont ceux des "Rencontres pacifiques pour la Palestine", comme ceux à l'opposé de la CAPJO qui labourent de même le secteur Palestine, n'est plus qu'une des fioritures du régime, comme la devise "liberté, égalité et fraternité", ou la feuille de salade végétale sur le rebord de l'assiette du steak frites carnivore.

Cette racaille de parasites politiciens commence à être de trop dans notre monde actuel. Ils ne sont maintenus que par ce que l'oligarchie économique dictatoriale a un état d'esprit conservateur, et qu'elle répugne naturellement au changement, pour le moment, et que surtout, ces gens ne lui coûtent quasiment rien. Mais il est très probable que les politiciens sont appelés à disparaître.

Certes, dans le cas des manifestations publiques périodiques parisiennes dites "Rencontres pacifiques pour la Palestine", il s'agit pour la police du régime, qui non seulement protège ces manifestations, mais aussi les facilite, de remplir ses fichiers de l'identité des nouveaux participants, comme pour les organisateurs, de démontrer et de jouer leur rôle de modérateur envers les plus excités, soit d'apparaître comme indispensables, ce qui revient ni plus ni moins à devenir un agent de répression, agissant pour maintenir l'ordre, mais surtout, de maintenir une façade de démocratie. C'est un rôle idéologique fondamental qui est rendu en faveur du régime. Ce n'est pas pour rien que les propagandistes sionistes répètent sans cesse qu'Israël est l'unique démocratie du Proche-Orient, et même "le" modèle de démocratie pour le monde entier. Les "Rencontres pacifiques pour la Palestine", qui ont lieu chaque dernier samedi du mois, entrent dans cette même logique.

 

 

 

1 - 2. Le troisième larron de ce jeu (après les antisionistes d'extrême gauche et d'extrême droite), le dernier larron de ce trio sont les nervis sionistes des troupes de choc Bétar et LDJ (Ligue de défense juive), parisiens.

 

Pour parfaire ce tableau, il est indispensable de ne pas omettre d'expliquer le rôle central des nervis sionistes du Bétar et de la LDJ, opérant sur ce terrain de la façade démocratique d'opposition au sionisme, coopérant à la fabrication du mirage, de l'imposture, de l'escroquerie démocratique.

Ce qui frappe en ce qui concerne ces troupes de choc sionistes, c'est qu'à l'inverse de la pratique des troupes de choc conventionnelles, elles frappent avant tout la piétaille, alors que les troupes de choc conventionnelles visent des objectifs de valeurs, des édifices de commandement, ou plus directement, pour les snipers, les chefs.

Ainsi, l'énumération est longue des militants de base antisionistes qui doivent subir des séries d'opérations à l'hôpital, après avoir été agressés par les nervis sionistes.

Quant aux deux chefs de l'opposition antisioniste (CAPJO et "Rencontres pacifiques"), qui sont deux femmes, elles ont aussi subi une agression, mais n'ont même pas dû être alitée pour cela. Il ne s'agissait que d'une sorte de frôlements, de caresses, dont les effets sont certes spectaculaires, certainement voulus photogéniques, mais qui ne sont en rien comparables avec des opérations chirurgicales lourdes de reconstitution de la boîte cranienne, de l'os interne soutenant l'oeil, comme dans le cas d'un jeune arabe anonyme, militant de la base.

Pourquoi cette délicatesse de la part de brutes sans cervelle ? C'est trés simple ...

Ces brutes n'agissent que sur ordre, et obéissent comme des cadavres, aucun de leurs moindres actes n'est laissé à leur initiative personnelle.

Les blessures gravissimes des militants de base antisionistes, s'expliquent parce qu'il faut que les agressions de ces nervis soient prises au sérieux. Les militants de base anonyme en font les frais.

Pour les chefs de la mouvance antisioniste, ces agressions ne visent qu'à ce qu'ils soient pris au sérieux par ceux qui les suivent, et par l'opinion publique du milieu antisioniste, et que l'opposition antisioniste apparaisse comme authentique, réelle, et non pas concoctée par le pouvoir sioniste lui-même.

En conséquence, en tant qu'opposants, ces chefs doivent subir de la violence de la part de l'appareil répressif du régime, ou de ses satellites, sinon ils courent vers le discrédit. De même que de façon plus générale pour l'opposition antisioniste.

Ce procédé de l'agression et de la persécution est aussi employé pour promouvoir le fameux guru politicien (le blablateur Pensebite) qui fait son lit de l'antisionisme.

Un petit passage en prison, et quelques procès à répétition procurent à Pensebite le grand une auréole de martyr et de guérilléro auprès de la troupe de ses bénets dociles, des anéantis des méninges, qui comme ses ombres marchent à son pas, et reprennent sous forme d'écho et en coeur, le moindre de ses gargouillis.

Les nervis sionistes sont donc aussi engagés à leur manière, au maintien de l'illusion démocratique. Là, leur activité est du domaine de la propagande, de la manipulation psychologique.

Ils ont aussi une activité de purs terroristes.

Ils sont en charge d'intimider et de terroriser les juifs eux-mêmes, ceux qui pourrait avoir l'idée de remettre en cause les dirigeants juifs sionistes, qui se sont arrogés la pouvoir de parler au nom de tous les juifs. Pour ce faire, des démonstrations et une réputation d'extrême brutalité sont nécessaires.

Pour finir, les nervis sionistes sont en charge d'intimider et de terroriser les non juifs qui mettent sérieusement en danger l'ordre établi, par exemple avec les révisionnistes, du temps où ces derniers n'avaient pas été digérés par l'appareil répressif digestif conventionnel du régime, qui mis du temps à s'adapter à leur cas.

En ce qui concerne le milieu antisioniste parisien, de la CAPJO, de la LCR-PC, et des "Rencontres pacifiques", l'activité des nervis sionistes serait presque proche de la farce, si de malheureux lampistes inconscients ne faisaient régulièrement les frais de la promotion des crapules politiciennes (les deux mémères par exemple, deux ténardières camouflées, sortes de statues de la liberté de l'imposture) qui sont au centre des organisations antisionistes, et ne finissaient sur des lits d'hôpitaux (le mépris du petit personnel).

L'autre côté de la farce, au sujet particulièrement du pôle d'extrême droite antisioniste parisien dit "Rencontres pacifiques", c'est son aspect sac de noeuds de crabes faisandés qui le caractérise, ce qui en fait un milieu idéal pour toutes les manipulations des grands trafficoteurs policiers dans l'âme, qui comme ils l'affichent, vaincront par la tromperie.

Ce milieu d'extrême droite "Rencontres pacifiques" a ceci de caractéristique qu'on ne sait qui est qui, et qui fait quoi, entre les infiltrés, les missionnés, les envoyés, les propulsés, les tenus, les soutenus, les chantés, les déjantés, ceux qui s'occupent, la mata hari ratée combattante de sa ménopause, celle qui recule les limites du moment de sa mise au rencart, Subtil ; le jeune nigaud maladif qui se croit fin - demi vert et déjà blet, les cornichons consentants, les moitiés malins et demi filous, sans surtout omettre le dénommé Morpion, qui passe son temps, le saint homme, à se gratter les testicules les yeux exorbités, un filet de salive suitant des commissures des lèvres, à chaque fois qu'une femme non voilée passe (Ah ! l'abstinence coranique ... et en plus, il fait vingt quatre fois sa prière par jour, à la place de prendre des bains de siège froids - vite le bromure du peuple en suppositoire ! Vite, les dix mille vierges à disposition en haie d'honneur, l'attendant à l'entrée du Paradis d'Allah avec les lubrifiants, sorte de maison close d'avant Marthe Richard).

Tout cela serait drôle si ces gens ne poursuivaient leurs carrières politiques, en se pourléchant les babines des dégoulinures des cadavres en putréfaction d'une peuple martyr, le peuple palestinien, dont il est clair qu'ils n'ont absolument rien à faire, et qui ne leur sert que comme monture politique.

Ils se font littéralement porter par un cadavre. C'est d'ailleurs pour le moins étrange qu'on ne rencontre dans ce milieu, pour le moins répugnant et à vomir, aucun palestinien, ni d'ailleurs aucun arabe du Proche-Orient, et que celle qui se prévaut de sa compassion pour les arabes et les palestiniens, et qui a fait toute sa dérisoire mais acharnée carrière de politicienne avide, supplétive des pouvoirs en place, n'ait même pas fait l'effort à un moment de sa vie, d'apprendre la langue arabe, et ait en tout et pour tout passé au grand maximum une vingtaine de jours en 65 ans d'existence, au Proche-Orient, ce qui démontre qu'elle ne s'intéresse au fond en rien au sujet qu'elle affiche avec véhémence et passion défendre (ce qui ne l'a pas gêné pour pondre deux opuscules sur le sujet ... une incarnation de l'imposture, un cas extrême de personnalité factice, une nouvelle espèce à répertorier ; l'auto-mythomane).

 

 

2 - Curriculum vitae de l'idiot utile Michel DAKAR, ex agent de police et marionnette du régime capitalo-sioniste.

 

Mon activité politique a débuté il y a environ 20 ans, avec l'inscription au Parti socialiste en 1988, section de Rouen (Seine-Maritime), fief de Laurent Fabius, localement tenu par le frère de l'ex ministre des finances suicidé, Bérégovoy (durée d'inscription 6 mois, sans avoir réglé la cotisation). Participation à environ 4 réunions, rencontre avec le frère Bérégovoy, député de Rouen, et surtout son fils, musicien et responsable pour le parti en ce qui concerne les associations (le seul être véritablement humain de ce milieu).

Cette inscription est concomitante avec ma reprise des études à l'école d'architecture de Haute Normandie, à Darnétal, banlieue de Rouen, de 1987 à 1988, études poursuivies en second cycle à l'école d'architecture de Paris la Villette, avec obtention du diplôme en 1994 (objet du mémoire de fin d'étude : le territoire et la domination, le pouvoir et la religion, la maîtrise du territoire, la limite entre deux territoires, les notions de passage, d'échange, de rencontre et de transformation, le rapport de force, la perte de territoire, la dépossession, l'exclusion).

Fréquentation à Paris, pendant les dernières années d'études (1991- 1994), des associations d'aide aux sans domicile fixe (direction d'Emmaüs France, Les Compagnons de la nuits - rue Gay Lussac).

De 1994 à 1995, deux années sur les routes principalement en France, mais aussi au Danemark (Hobro et Frederikshavn), comme SDF. Fréquentation de divers foyers d'hébergement d'urgence (Le Mans, Rennes, Poitiers), de communautés religieuses hébergeant temporairement les vagabonds (Béatitudes à Mortain, Saint Brolade, Nouan le Fuselier ; région de l'ouest de la Normandie), Toulouse, communautés d'Emmaüs dans le Lubéron et à Caen, communautés de Lanza del Vasto sur le Larzac et en Mayenne, communauté d'extrême gauche de Longo maï.

1995, Réinstallation à Paris, membre de la Ligue des droits de l'Homme, section du 19ème arrondissement - Place des Fêtes, délégué à la Fédération de Paris. Travaille sur le problème du logement, des squats.

1996, fréquente l'organisation dite TCPC (Travailleurs chômeurs et précaires en colère), satellite de l'OCL (Organisation communiste libertaire), sis au 21 ter de la rue Voltaire à Paris 11ème, lieu dit CICP (Centre international de culture populaire). De façon concomitante, travaille avec certains membres de la Fédération anarchiste. Participe régulièrement à deux émissions hebdomadaires sur Radio libertaire, "Ni maître ni dieu", le dimanche matin à l'heure de la messe, et "A bas la loi", le mardi matin. Activités relatives aux droits dits sociaux (définis comme droit faible par rapport au droit de la propriété et du commerce, dit droit fort). Droits sociaux : droit au logement, droit du travail, droit au déplacement gratuit, droit à un revenu d'existence, droit aux soins médicaux etc ...

Commence vers 1998 une activité parallèle à l'activisme de terrain, en droit et procédure administrative, débouchant sur de multiples prises à partie de l'appareil d'Etat, via les tribunaux administratifs (c'est en partie à cause de gens comme moi que l'avocat en Cour d'appel administrative a été imposé, une responsable d'un ministère me l'ayant affirmé).

Cette activité a été aidée et inspirée au départ, par l'expérience du mouvement libertaire antérieure, dite de la "défense libre", ou les activistes se formaient eux-mêmes en droit et en procédure, afin de faire face par eux-mêmes à l'appareil répressif, en premier en exigeant et en se battant pour obtenir l'accès à leurs dossiers judiciaires, tout cela sans le recours à un avocat, considéré du point de vue de son statut officiel, comme un "auxiliaire de justice", soit comme un élément solidaire de l'appareil de répression, dont la motivation dernière ne peut qu'être le maintien de l'ordre au détriment de celui dont il affiche défendre la cause ("La défense libre", était le titre de l'unique livre jamais publié sur ce sujet, dont des responsables de la Fédération anarchiste m'avaient prêté leur unique et dernier précieux exemplaire).

Plusieurs articles dans la presse de propagande du régime (Libération, Le Monde, Le Parisien), au sujet de mes diverses actions relatives au droit.

Un épisode relaté largement par cet appareil de propagande, relatif à ma saisie du Préfet de police de Paris, afin qu'il fasse retirer la photographie de Maurice Papon, du musée de la Préfecture de police de Paris (commissariat du 5ème arrondissement). Suite à cette quasi "farce", tous les portraits de tous les Préfets de police dès 1900 (hélas), ont disparues du Musée.

Suite à une interpellation publique du Procureur de la République à Paris en 1998, au sujet du comportement de certains policiers, et de persécutions policières qui ont suivies, soutiens de quasiment toutes les organisations de gauche (PS, PC, Verts, MRAP et autres), et de la LICRA.

Comme autre soutien notable, suite à une action relative à un squat, celui l'avocat des descendants de déportés juifs, Jean-Serge Lorach.

Fin 2001, début de la période sur le Proche-Orient, et le problème palestinien : début des vrais ennuis.

Suite à une diffusion d'un document comprenant un texte et plusieurs dessins, relatifs au problème pétrolier, au Proche-Orient, à Israël, document diffusé début 2002, convocation au Château des Rentiers, par la commandante Gisèle Arbaud Boggio. Cette dernière après conversation téléphonique, accepte de recevoir un courrier à la place de me rencontrer, et abandonne cette affaire. J'ai appris, en 2004, en consultant des archives judiciaires, qu'une information existait était toujours à mon encontre, suite à la diffusion de ce document, pour menace de mort, du fait d'une plainte du CRIF. J'ai fait classé sans suite cette plainte du CRIF, et ai à mon tour porté plainte pour dénonciation calomnieuse, plainte que le procureur a immédiatement classer sans suite. Malgré le classement sans suite de la plainte du CRIF, le dossier judiciaire concocté par le Château des Rentiers, fait état que je suis connu des services de police, pour "menace de mort".

J'ai mené à partir de 2002 jusqu'à 2003, quatre procédures au pénal, visant l'Etat d'Israël pour son activité vis à vis de la population palestinienne.

Ces procédures ayant toutes été sans résultat, en 2003, j'ai saisi par un courrier public le Parquet de Paris, dans le but de le faire réagir vis à vis de ces plaintes, et de démontrer son attitude de deux poids deux mesures, en lui écrivant que la population juive en Israël, participait à l'expulsion de sa terre natale de la population de Palestine, ce qui constituait une forme de génocide, et que cette forme de génocide était moralisée par le Tribunal de Nuremberg, qui a condamné les nazis pour génocide envers la population juive d'Europe, alors que ce tribunal était à la fois juge et partie, donc partial, et que de ce fait, il n'y avait pas à retenir sans la moindre retenue, les conclusions de ce tribunal, lequel ne pouvait d'évidence être mu par une authentique recherche de la vérité. De plus, ce tribunal ayant été défini comme militaire, était placé dans la plus parfaite des oppositions avec l'une des déterminations essentielles inhérentes à toute justice, l'indépendance. De plus, la justification morale d'un génocide en cours, celui des Palestiniens, par un génocide passé, celui des juifs européens par les nazis, conduit logiquement à examiner de près les éléments principaux de ce type de stratagème, soit dans ce cas, d'être critique vis à vis des écrits du tribunal de Nuremberg, car cela pose un problème de constater que des personnes qui se disent victimes d'un génocide, commettent à leur tour immédiatement après avoir subi ce génocide, le même crime, contre une population totalement étrangère à ce crime.

En décembre 2003, j'ai été convoqué au Château des Rentiers, sur ordre du Parquet de Paris (à l'époque Yves BOT, actuellement à la Cour de justice européenne). Le propos du policier qui était chargé de me recevoir, était en substance, vous arrêtez ce genre d'activités et on passe l'éponge, cette affaire m'emmerde, et je n'apprécie pas qu'on me l'ait confié.

Comme je n'ai pas manifesté mon intention d'arrêter, une action judiciaire a été mise en route, et avec retard, d'où le dépassement du délai de prescription, et la falsification des dates de toutes les pièces écrites probantes du dossier judiciaire, dont même celles des courriers internes échangés entre le Parquet et le Château des Rentiers. J'ai déposé une plainte pour faux en écritures publiques, plainte qui a figuré dans la procédure dès l'appel. Ni les juges en appel, ni la Cour de cassation n'ont voulu en tenir compte.

 

A suivre (prochain chapitre : les péripéties de l'affaire CODEIG).