Hypothèse d'une innovation de la police politique générale du régime du Cjam (Conglomérat judéo-américain) : le dispositif DSP Dieudonné-Soral-Panamza.
Texte de Michel Dakar, chercheur en politique globale, autonome, Villequier, ex-France, 17 mars 2016.
http://www.aredam.net/hypothese-innovation-regime-dieudonne-soral-panamza.html



Pièges et nasses en tout genre.


Le dispositif DSP pourrait, selon l'intuition globalisante - et non soumise à la censure et à l'auto-censure - de l'auteur de ce texte, avoir été mis en place en raison du contrôle total des forces politiques qui existe à présent dans le régime Cjam.

Parvenu à ce point de maîtrise intégrale d'une société, un régime peut imaginer de s'auto-dénoncer, et pour ce faire, de créer de toutes pièces des organes de dénonciation dissidents.

Ce serait le rôle du dispositif DSP.

Ce type de dispositif est similaire à celui des faux attentats islamistes servant à instaurer logiquement l'état d'exception, dans le but d'abolir toutes libertés civiles formelles, lesquelles peuvent entraver, même si c'est de façon formelle c'est à dire très limité, l'usage arbitraire de la violence de la part du régime Cjam envers la population.

Divers avantages apparaissent quant à la création d'un dispositif DSP, tels que par exemple, l'obtention par la police politique générale de la liste des sympathisants non activistes qui ne se dévoilent normalement pas, et que rien ne peut révéler à la police politique, par exemple, par la connaissance de l'identité ceux qui souscrivent au projet d'assurance fumeux et escroc (l'Anassurance) proposé par Dieudonné, ou par les photographies du concours du geste de « quenelle », ou les acheteurs par internet des gadgets proposés par Dieudonné, ou encore la liste de ceux qui signent la pétition électronique pour la dissolution de la LICRA, de même que par ceux qui adressent une aide pécunaire pour la défense judiciaire de Panamza, victime de plusieurs plaintes d'agents du régime, outre la désinformation plus subtile qui peut être glissée par ces organes de fausse dissidence, et les manipulations multiples quant au moral des dissidents qui font confiance au dispositif DSP (par exemple, par la campagne d'avilissement des fans de Dieudonné, en permettant l'expression à ce nombreux public d'un assassin et tortionnaire de femmes, agent obéissant des basses œuvres du milieu politico-mafieux du sud de la France Patrice Alègre, lequel ne se repend surtout pas de ses crimes, et en plaçant côte à côte sur le même plan les historiens révisionnistes intègres et Alègre).

La possession de listes de sympathisants de type passif par la police politique générale du régime Cjam, permet d'interdire certains postes et fonctions à ce type d'individu, par exemple à ceux qui cherchent à s'engager dans des fonctions policières ou militaires, judiciaires, administratives, politiques, syndicales, associatives, humanitaires, éducatives, éditoriales, culturelles, artistiques etc ...

Ce mode de signalement s'ajoute au relevé des adresses IP de ceux qui se connectent sur les sites anti-régime, ou en apparence anti-régime, mis en place spécialement pour collecter les adresses IP, ou aux dispositifs de navigation anonymes mis en place par le régime lui-même, pour identifier ceux qui cherchent à naviguer secrètement sur l'internet, à l'abri de la police politique du régime.

L'existence d'un dispositif DSP démontre que le régime Cjam est parvenu à la réalisation d'un contrôle parfait de la société.

Mais ce qui frappe en suivant et observant les activités du dispositif DSP, c'est qu'on n'apprend rien qu'on ne savait déjà.

C'est ce qui dévoile la caractère d'agence du régime Cjam de ce dispositif.

Il est vrai qu'il est quand même difficile à la police politique du régime Cjam de livrer sur lui-même des informations gardées secrètes, inédites au grand public, cela pour créditer son dispositif de fausse dissidence.

On pourrait élargir le dispositif DSP en y agglomérant une autre marionnette, Jean-Luc Mélanchon, les marionnettes Besancenot et autres trotskistes dont les noms se perdent pour la mémoire, ne jouant plus aucun rôle de masse. Sans doute sont-ils utiles pour les actions plus spécifiques, comme le fameux aéroport de Notre Dame des Landes qui est bien utile pour envoyer les excités à la campagne, les Zad pour les circonscrires et les maintenir à l'écart de la masse, les faux migrants et autres oppositions de type Mac Do.


Complément du complément :

Scan d'une lettre du fondateur de l'association Droit au logement (DAL), adressée au sénateur Gérard Larcher en 1993. Les passages soulignés le sont par la personne qui a livré la copie de cette lettre il y a maintenant environ 20 ans. Ils se suffisent à eux-mêmes.
Il est à noter l'importance financière cruciale de l'investissement dans l'immobilier et du problème du squattage dans les grandes villes et particulièrement dans une capitale internationale comme Paris. L'auteur de ce texte a débuté son activité politique par le domaine du non-espace pour exister, c'est à dire par le fait que dans un système comme celui-ci, type Cjam, une masse de population se voit vivre sans espace privé, contrainte de rester en permanence dans les lieux publics, les lieux de circulation, les lieux de déchets et autres de ce type.
Cette copie lui a été donnée par un vieux squatter qui n'en pouvait plus de vivre, et qui était alcoolique presque au dernier degré. Il est sans doute mort maintenant. C'était un ancien mathématicien, spéléologue, il n'inventait pas son passé, on avait rencontré l'un de ses amis bien établi, qui avait essayé de le tirer de là.
http://www.aredam.net/lettre-droit-au-logement-senateur-gerard-larcher-1993.html