Editorial de l' "Homme Libre - Fils de la terre",
revue trimestrielle de Marcel Renoulet, BP 205 - 42005 Saint Etienne Cedex 01.

 

Lorsque la démocratie devient la plus subtile des dictatures.

 

La Société judéo-chrétienne en instance de crever de ses contradictions et de ses lâchetés, cherche à se survivre par la coalition capitalo-marxiste.

Après deux millénaires de veuleries et de persécutions par les doctrines étrangères, porteuses de mort,l'Européen authentique doit prendre enfin conscience du danger de cette pourriture de l'esprit qui entraîne l'Occident vers un inévitable déclin.

La démocratie est devenue de nos jours, la plus subtile des dictatures. L'habileté des politiciens consiste à laisser croire au peuple qu'il désigne librement ses dirigeants , alors qu'avec la manipulation, et la désinformation, grâce à la servile complicité des médias, ils se permettent de diriger à leur guise le vote des masses abruties.

Sous le couvert de l'étiquette de l'anti-racisme, des lobbies exercent la pire des dictatures. Ainsi sont votées à la sauvette, des lois liberticides destinées à bâillonner et à exclure toute forme de véritable opposition.

Avides de clientèle à tout prix, des politiciens de pacotille se conduisent en véritables guignols de cette démocratie burlesque.

C'est bien connu, lorsque des tarés ont l'occasion de saisir la moindre parcelle de pouvoir, aussitôt ils en abusent.Tels les soixante-huitards à cocardes !

Un exemple ? Tout récemment, à l'Université de Lyon III , un maître de conférences, Bernard Notin, avait publié dans une revue du CNRS, un article dans lequel il mettait en doute l'existence des chambres à gaz. Bien qu'il ne lui ait pas été reproché de faute dans l'exercice de ses activités pédagogiques, il vient d'être suspendu pour un an avec retenue partielle sur son traitement, au terme d'une procédure disciplinaire exceptionnelle, qui laisse présumer une intervention de la part des lobbies ....

Mais qui donc contrôle l'Université ?
Cette Université où il devient interdit de" mettre en doute" !
Sommes nous donc revenus au temps des "Sorbonnards", dénoncés par Rabelais, pour qui il n'y avait pas de vérité hors la scolastique Aristotélicienne ?

A t-on oublié que pour Socrate, le doute est le premier pas sur le chemin de la philosophie, et que chez Descartes, il est l'étape indispensable pour toute méthode de recherche de la vérité. Le doute est la manifestation de cette liberté de la pensée et de la réflexion critique, que l'on tente d'étouffer.
Cette république mafieuse, autrement dit , la Cinquième répugnante, promulgue des lois "démocratiquement totalitaires ", telle la dernière en date, la scélérate et bolchevique loi Gayssot, expression inquiétante d'un totalitarisme larvé.

Socialistes et chrétiens se préoccupent de la survie des médiocres, et non pas du véritable "salut de l'humanité". L'éthique de L'homme libre, en se référant prioritairement au plan individuel, se soucie du qualitatif, de préférence au quantitatif.

Pour déceler le piège de l'engagement dans les multiples organisations idéologiques, nous devons remarquer l'extrême complexité des objectifs et des mobiles des sociétés secrètes. Leurs activités politiques diffèrent selon les régimes ou les régions du monde.

N'oublions pas qu'au delà des antagonismes apparemment irréductibles, il existe " au sommet" d'étranges et ténébreux rapports entre les différentes factions qui nous semblent les plus opposées sur la scène politique !

La haute finance internationale exerce son influence de façon égale sur chacun des partis, elle domine sans s'y mêler tous les mouvements idéologiques. Les oppositions qui s'affirment dans les divers mouvements qui agitent le monde, sont suscitées et dirigées par les mondialistes de la haute finance, qui veulent établir le régime de la termitière.

Nous incitons nos amis à une extrême vigilance et au non engagement. I1 est préférable de développer son esprit critique, et la culture de sa personnalité, plutôt que d'être un suiveur, ou un électeur, faisant le jeu de la politique, cette pourriture de l'esprit.

Notre position d'objection de conscience permanente et généralisée tous azimuts, est transmissible à une minorité de personnes pouvant accéder à une certaine autonomie de pensée et de sentiments.