Comment faire porter le chapeau d'attentats sanglants à des musulmans ?

Guide destiné à ceux qui ne veulent pas se faire piéger. Sacha Sher

La prise de contact Par le biais de relations sportives, commerciales, religieuses ou autres, entrez en contact avec des musulmans qui habitent dans des coins ensoleillés (Floride, Madrid) et ne sont pas les derniers à vouloir faire la fête (comme les suspects des attentats de Madrid et de New Tork) y compris à Las Vegas (cas de “Mohammed Atta”,).

Tentez de vous livrer avec eux à un petit trafic. Ils ne refuseront pas quelques profits s'ils souhaitent faire la nouba, se payer un voyage dans un pays chaud ou montagneux (s'ils habitent le Nord de Londres et aiment le rafting), ou pour les plus religieux et radicaux, un voyage à la Mecque ou en Afghanistan. Dirigez-les à un moment donné dans une même direction.

Faites monter des groupes de musulmans dans plusieurs avions à destination de Los Angeles ou San Francisco où ils doivent assister à une réunion d'affaires ou sont invités à un séjour paradisiaque et détournez ces avions électroniquement vers des cibles (cas du 11 septembre 2001).

Faites porter par des musulmans originaires d'un pays entourant l'Iran des sacs contenant des mini-frigos où sera dissimulé au choix, de la drogue ou du matériel électroménager à livrer chez plusieurs fournisseurs, sacs qui contiennent en fait des bombes et des puces de repérage (cas des attentats de Londres).

Laissez des traces montrant qu'ils voulaient se livrer à un acte terroriste Laissez dans des voitures que vous avec louées ensemble et que vous aurez garées bien en évidence, des traces d'explosifs (Londres), des manuels de pilotage (New York), un sac avec une carte de téléphone portable (Madrid), des papiers d'identité (dans les rues de New York et les sous-sols de Londres), des lettres d'instruction terroristes rédigées à la hâte laissées en plusieurs exemplaires (Shanksville, Washington). Si les suspects idéaux ou les bouches qui pourraient s'ouvrir ne sont pas morts lors des attentats, chargez des commandos de les tuer dans leur appartement (Madrid), ou dans des lieux publics sous prétexte qu'ils pourraient constituer un danger (Londres et ses environs), et enfermez les autres suspects plusieurs années ou plusieurs mois avant jusqu'à ce que objectifs guerriers que les attentats sont censés couvrir soient remplis.

Ne laissez filtrer que peu d'informations et le plus tardivement possible Ne diffusez qu'un minimum d'images des suspects sur les lieux supposés du crime, si possible sous forme figée pour les rendre moins humains et insouciants alors qu'ils partaient en vacances ou ramasser de l'argent (11/09/2001 et Londres). Refusez d'abord d'établir une commission chargée d'enquêter sur les manquements des services de renseignements (Bush et Blair).

Puis, lorsque l'opinion boue, laissez filtrer l'idée que des avertissements avaient eu lieu. Si vous êtes sans scrupules, vous pouvez aussi garder avec vous les rapports des renseignements alors même que vous n'êtes plus en poste (cas de Joe Maria Aznar).