Date:
8 août 2021 à 20:03
De:
drschmitz@lettre-medecin-sante.email
Objet:
Qu’y a-t-il vraiment dans les ''vaccins'' ?
Qu’y
a-t-il vraiment dans les « vaccins » ?
Chères
lectrices, chers lecteurs,
Mon cœur s’est serré,
ma gorge s’est nouée. En me documentant sur l’article qui
suit, j’ai pris peur pour beaucoup de gens que j’aime.
Je
me suis dit : ça ne peut pas être vrai ; et encore
maintenant, quand je vous l’écris, j’espère, contre toute
attente, que ce n’est pas vrai.
Car il y a une
question qu’on devrait tous se poser : qu’est-ce qu’ils ont
bien pu mettre dans ces vaccins ?
Tout
va bien, madame la marquise, tout va très bien
A
écouter les autorités, il n’y aurait pas à vous inquiéter,
ni pour vous, ni pour vos proches qui se sont faits vacciner.
Du
moins est-ce que les laboratoires nous assurent, notamment
Pfizer-BioNTech.
Avant toute autre chose, les
« vaccins » ARN contiennent la désormais célèbre
technologie ARN.
Si nous devons en croire ses
créateurs, elle donne aux cellules immunitaires le message de
fabriquer des protéines spike grâce auxquelles elles
reconnaîtraient les cellules du coronavirus.
Mais
contrairement aux questions que posent d’affreux complotistes,
l’impression de ce message ARN n’impliquerait pas de
modification définitive des cellules immunitaires.
De
même, la protéine spike, que l’on retrouve dans les vaccins
ARN mais aussi dans l’Astra Zeneca ne serait pas une toxine,
même si l’inventeur de la technologie ARN, Robert Malone,
défend mordicus le contraire1…
Toutefois,
une chose sur laquelle tout le monde est d’accord, c’est le
fait que la technologie ARN (ou la partie opérante des autres
vaccins) prend une place minuscule dans l’injection qui vous
est faite.
Le reste, ce sont ce que l’on appelle des
excipients, des éléments qui aident le « remède »
à passer dans le sang.
Dans un document officiel2,
on trouve la liste de ces éléments neutres, qui accompagnent
les molécules agissantes dans le sang.
Il y a du PEG,
un plastique qui sert de solvant, c’est-à-dire de
diluant3.
On y trouve également d’autres
éléments, qui ne sont pas dangereux a priori4.
Alors,
comment cela se fait-il que nombre de vaccinés soient devenus
« magnétiques » ?
Comme
vous pouvez le voir sur tant de vidéos sur internet, et
peut-être même avec vos proches, chez vous.
Cela,
les laboratoires sont bien en peine de vous l’expliquer. C’est
là que nous devons trouver des explications qui gênent BEAUCOUP
les médias dominants.
Un
Zorro nommé Delgado ?
Il
se trouve qu’un chercheur de l’université d’Almeida nommé
Ricardo Delgado, biostatisticien de son état, a réussi à
mettre la main sur un flacon et à l’analyser.
Le
sujet est tellement épineux que l’université espagnole s’est
immédiatement désolidarisée de l’étude, même si, ayant été
faite avec son matériel, elle n’a pas pu ne pas être
citée.
Vous pouvez retrouver l’étude ici.
Dans
d’une interview pour la télévision espagnole, lors de
l’émission El
gato al agua5,
Delgado a affirmé que 98 à 99% du contenu du flacon scellé sur
lequel il a fait son étude, est de l’oxyde de graphène.
La
chose, bien sûr, a été démentie par tous les « facts
checkers »
qui ne trouvent rien d’autre à dire que la traçabilité du
flacon n’est pas établie.
Évidemment, aucun
laboratoire n’a laissé « échapper » de fiole ou
n’a laissé quiconque faire des analyses. Les flacons ont donc
été obtenus sous le manteau, et c’est vrai, sa traçabilité
ne peut pas être révélée.
Toutefois l’oxyde de
graphène est un matériau qui jusqu’ici restait extrêmement
cher à fabriquer et impossible à élaborer
« artisanalement ».
On peut bien
évidemment croire que Delgado a menti effrontément, mais
pourquoi, s’il est passé à la télévision espagnole,
n’a-t-il pas été attaqué en justice ? Pourquoi, pour
toute réfutation, il n’obtient qu’un entrefilet sur
Google ?
Parce que si on traînait cette affaire
devant les tribunaux, on se rendrait peut-être compte que Pfizer
et d’autres ont menti sur le contenu des vaccins.
Or
le graphène peut expliquer beaucoup des résultats de
l’étonnante étude luxembourgeoise sur le magnétisme8bis,
et surtout pourquoi, plus une personne a été vaccinée il y a
longtemps, et plus elle est « magnétique ».
Le
graphène, dangereux pour les poumons, mais pas seulement
Le
graphène a déjà fait parler de lui il y a quelques jours. Or
ce n’est pas n’importe quel matériau ; c’est le
matériau de l’avenir, et ses usages sont aussi prometteurs
qu’effrayants.
En effet, le graphène ce n’est que
du carbone pur (comme le graphite de la roue de votre vélo ou de
la mine de votre crayon), mais en feuilles de taille
infinitésimale : il n’est pas plus épais que les atomes
qui le composent.
Ce matériau est extrêmement
résistant, cent fois plus que l’acier, et peut accumuler
l’électricité mieux qu’aucun autre.
Un des
petits inconvénients est qu’il est extrêmement toxique pour
les poumons. Or on l’a retrouvé dans des quantités
importantes dans les masques obligatoires.
Le Canada a
demandé l’interdiction et le retrait immédiat des masques
contenant du graphène6.
La DGCCRF a fait
la même chose en France en mai, en interdisant au fournisseur
mis en cause de vendre ses masques (Shandong Shenquan New
Materials Co.) et l’Espagne aussi a pris les mêmes mesures
dès le mois d’avril7.
Comment se fait-il
qu’on trouve un matériau aussi onéreux (100€ le gramme en
20178) dans des objets aussi anodins ? Pour
l’instant, seuls les « complotistes » osent avancer
des réponses.
Un
matériau libérateur, ou esclavagiste ?
Car
aujourd’hui, on imagine dans les universités des « pansements
au graphène » connectés9 ou des tests
salivaires au graphène développés en France10.
Or
de nombreux articles scientifiques récents attestent du
magnétisme inhérent aux tubes de graphène11, ce qui
serait, jusqu’ici la seule explication plausible au magnétisme
post-vaccinal.
Mais serait-il possible de créer des
nano-machines qui s’assembleraient d’elles-mêmes dans le
corps où elles ont été injectées ?
En tout
cas, une étude très récente prétend en donner toutes les
preuves12. Elle a été publiée en janvier dernier
dans la revue de biotechnologie Aggregate.
La
technologie des machines qui s’assemblent directement dans le
corps est une réalité, et non pas de la science-fiction.
Or
ceci pose un léger problème, comme le souligne la déclaration
en mars dernier, d’une entreprise de pointe espagnole appelée
INBRAIN Technologies.
Cette dernière prétend
pouvoir agir directement sur le cerveau avec l’aide des
feuilles de graphène, créant une interface électronique13…
On
a les moyens de pirater votre cerveau
Non
pas, bien sûr, que l’entreprise INBRAIN ou que les chercheurs
qui prétendent créer les nano-robots auto-assembleurs soient
liés à l’industrie vaccinale.
Mais voudrait-on
aujourd’hui agir directement sur votre cerveau grâce à des
nanomatériaux, il est possible de le faire, techniquement
parlant.
Voilà pourquoi le Chili n’est pas
inutilement en pointe du droit international lorsqu’il fait
rentrer dans sa constitution l’inviolabilité du cerveau
humain.
Il invoque l’existence de
« neuro-droits », notamment la perte de « privauté
mentale »14.
Reste à savoir si
le contenu des vaccins correspond effectivement à cette
violation de la privauté physique et cérébrale, à ces
nano-robots appelés SPIONS15 dont on veut nous
faire croire qu’ils sont l’avenir de la médecine.
Rappelons
simplement que devant les tribunaux, aucun des laboratoires n’est
responsable des dommages que causent ses « vaccins ».
Même
si au moment où je vous écris, une plainte vient d’être
déposée suite à la mort d’un trentenaire après la deuxième
dose de vaccin16.
Une
révolution technologique si odieuse que les médias vous la
cachent
Dès
que vous tapez sur votre moteur de recherche préféré :
nanoparticules et 5G, vous tombez sur des articles qui dénoncent
les fantasmes « complotistes ».
En
revanche, je vous invite à taper sur ces mêmes barres de
recherche, « rf nanotechnology graphene », car RF
(pour radiofréquence), est le petit nom scientifique des ondes
utilisées par la 5G.
Vous tomberez alors sur
plusieurs articles parfaitement scientifiques qui vous expliquent
de façon très détaillée à quel point les nanorobots (de
l’ordre d’un millionième de mètre) en graphène sont les
« transistors » de l’avenir17,18.
Mais
en particulier, je vous recommande cet article-ci,
intitulé « Graphene
Nanomaterials-Based Radio-Frequency/Microwave Biosensors for
Biomaterials Detection »
qui explique bien le piratage de votre intimité la plus
profonde.
Il détaille la création de biocapteurs en
graphène qui fonctionnent grâce aux radiofréquences pour tout
savoir de vous. Or les ondes surpuissantes de la 5G sont idéales
pour cet usage, et pour arriver à ces fins prétendument
médicales.
Ce dispositif révolutionnaire est
vraisemblablement devenu la violation la plus profonde et la plus
radicale de l’intimité humaine jamais conçue.
Les
pouvoirs publics devraient en répondre IMMÉDIATEMENT, plutôt
que d’insister de façon aussi fanatique que coupable pour
l’inoculation généralisée de « vaccins ».
Micro-ondes :
nous ne comprenons pas l’ampleur du risque
Je
ne cesserai pas de le répéter, nous sommes devant une
révolution technologique qui promet, non pas de transformer le
monde, mais de détruire l’humain, parce qu’aucun garde-fou
n’y est mis.
Répétons également, comme je l’ai
déjà publié19, que la 5G – le « carburant »
de cette nouvelle révolution industrielle – est un désastre
biologique et écologique.
Elle promet de faire
augmenter radicalement la stérilité, les cancers infantiles, et
d’accélérer l’extinction des insectes pollinisateurs et de
la faune sauvage.
Car la technologie 5G (les
ondes millimétriques), est utilisée depuis la seconde guerre
mondiale. Et c’est avec cela que marchent les fours à
micro-ondes !
Simplement, elle est aujourd’hui
utilisée pour la télécommunication, elle va très bientôt
saturer l’air que vous respirez, et aucune porte de four ne
vous en protégera.
Pourquoi cette révolution
technique qui n’a RIEN à nous proposer– hormis une
surveillance totale et odieuse – nous est-elle imposée ?
Les
pouvoirs publics laisseraient-ils des acteurs privés, ou même
des puissances étrangères, avoir accès à votre intimité la
plus profonde, ou même agir sur elle directement ?
Avec
les éléments que je vous ai livrés aujourd’hui, c’est à
nos gouvernements d’en répondre, et surtout de vous prouver
que les vaccins sont sûrs, plutôt que de vous contraindre à
vous les inoculer par tous les moyens disponibles.
Vous
libérer du graphène, c’est possible.
Le
27 janvier dernier a été publiée une étude fort intéressante,
dans une revue inconnue du grand public, ACS
applied materials and interfaces20.
Elle
atteste de l’importance de l’oxyde de graphène dans l’avenir
de la médecine, spécialement dans « l’inoculation des
médicaments, la photothérapie et la biosensitivité ».
Le
seul problème, reconnu par cette étude internationale, c’est
l’endommagement des cellules…
Les auteurs
craignent nommément le stress oxydatif (cause de vieillissement
et de cancers), l’empoisonnement des cellules (cytotoxicité),
et la réduction de la reproduction cellulaire…
Contre
cela, que préconisent-ils ? Le glutathion.
Et
pourquoi, si le glutathion fait tant de bien, nous ne leur
laisserions pas leurs technologies d’apprentis-sorciers, pour
nous contenter de l’antidote ?
Car le
glutathion, malgré son nom un peu curieux, vous l’utilisez et
vous le fabriquez tous les jours.
En effet, vos
cellules s’endommagent sans arrêt : c’est un des
principes de la vie. Les antioxydants permettent de parer à
cela, notamment la vitamine C, indispensable à notre
organisme.
Mais aucun antioxydant n’est aussi
efficace que le premier d’entre eux, celui que fabrique notre
foie – et dont l’ibuprofène inhibe la production…
Cet
antioxydant fondamental, c’est le glutathion.
Je
recommande évidemment le glutathion liposomé, c’est-à-dire
encapsulé dans la même composition que les parois de vos
cellules, pour une
absorption parfaite.
En
ce moment, où les craintes d’intoxication au graphène vont
bon train, et où l’impression générale de vieillissement
accéléré est prégnante, il est très demandé.
Toutefois,
je connais une petite entreprise qui en vend encore quelques
flacons de la meilleure qualité.
Le glutathion est d’origine naturelle, sans OGM et sans sucre
ajouté.
Portez-vous bien,
Dr. Thierry
Schmitz
1.https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/malone
3.((4-hydroxybutyl)azanediyl)bis(hexane-6,1-diyl)bis(2-hexyldecanoate)
(ALC-0315) 2-[(polyethylene
glycol)-2000]-N,N-ditetradecylacetamide (ALC-0159)
1,2-Distearoyl-sn-glycero-3-phosphocholine (DSPC)
4.
Du cholestérol, du chlorure de potassium (un équivalent du sel
marin), de l’hydrogénophosphate de potassium et de
l’hydrogénophosphate de sodium, qui sont aussi des sels
minéraux, ainsi que de l’eau « pour les injections ».
12.
Wiley Open Library, Aggregate, Self-assembled magnetic
nanomaterials: Versatile theranostics nanoplatforms for cancer,
Shuren Wang, Zhiyi Wang, Yanglong Hou, First published: 19
January 2021
15.
Superparamagnetic Iron Oxide Nanoparticles— Current and
Prospective Medical Applications
Joanna Dulin ́ska-Litewka
1,* , Agnieszka Łazarczyk 1, Przemysław Hałubiec 1, Oskar
Szafran ́ski 1, Karolina Karnas 2 and Anna Karewicz 2
20.
ACS Appl Mater Interfaces2021 Jan 27;13(3):3528-3535. doi:
10.1021/acsami.0c17523. Epub 2021 Jan 11.
Reaction between
Graphene Oxide and Intracellular Glutathione Affects Cell
Viability and Proliferation
Baojin Ma 1 , Shi Guo
1 , Yuta Nishina 2 3 , Alberto Bianco 1
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