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Titre de cette page :
Plus bas dans la page : copies du contenu des articles du Réseau Voltaire relatifs à cette affaire.
Copie sur le site aredam.net de la vidéo de l'émission de France2. (Ceci est une vidéo historique. A voir pour comprendre l'immense saloperie qui habite ceux que l'on nomme encore de façon vieillote, surannée : "journalistes", mais qui ne sont plus que de vulgaires mercenaires vénaux, mus par le tropisme de la gamelle pleine et d'une vie sans risques, sans fatigue, sans usure, protégée, à l'ombre du plus fort, simples employés du ministère informel de la propagande, de l'intoxication et de la manipulation du régime. Ne manquez pas celui qui semble être l'incarnation même de ce type d'individus entièrement vendus, Philippe VAL, qui dirige Charlie Hebdo. Il est parvenu à éloigner les limites de la putasserie. C'est un crachat vivant. Il faut combattre sans relache et sans pitié cette engeance).
Voir l'émission de France 2 : http://www.dailymotion.com/video/x7led0_complement-de-desinformation-france_news
"Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" Ci-dessus, une image subliminale, diffusée lors d'une émission de France 2, le 2 décembre 2008, dans le but de décrédibiliser ceux qui dénoncent comme mensongère, la thèse gouvernementale selon laquelle les islamistes seraient les auteurs des attentats du 11 septembre 2001. Le propre d'une image subliminale, est de ne pas être perçue consciemment par le cerveau, mais tout de même enregistrée par l'inconscient, ce qui fait que le message que porte cette image s'imprime dans l'esprit sans qu'il soit possible de s'y opposer. Il s'agit d'un viol psychique, d'une forme de destruction de la conscience, de la liberté de penser. Diffuser des images subliminales par le biais de la télévision publique, est une forme de crime de masse, qui pourrait entrer dans la catégorie des crimes contre l'humanité. Les propagandistes gouvernementaux ont là usé de l'oeuvre d'Orwell, 1984, qui dénonçait justement la politique du mensonge intégral d'un pouvoir totalitaire, situé en 1984. Nous sommes dans cette époque décrite par Orwell, mais en pire, car le mensonge intégral se drape même dans la dénonciation du mensonge, et vilipende ceux qui dénoncent le mensonge d'Etat, comme étant des ennemis de la vérité. Par une suprême inversion, et une suprême abjection, les propagandistes d'Etat dont le “métier” est de détruire l'esprit et la vérité, se font même passer pour d'audacieux révolutionnaires en butte aux persécutions. Bien sûr, nos vaillants droidlomistes des ligues de droits de l'homme et autres amnésistes internationaux, mrapistes, ne semblent pas se précipiter pour dénoncer ce que fait la télévision d'Etat à la population, d'autant que cette manière de procéder par images subliminales de la part de l'Etat, prouve de façon indirecte la véracité des thèses selon lesquelles les vrais auteurs des attentats du 11 septembre 2001 sont les services spéciaux d'Israël et des USA, et aussi, que le gouvernement français actuel est complice des attentats du 11 septembre 2001, ce qui se vérifie, car ce dernier camoufle leurs vrais auteurs.
Texte de l'article du Réseau Voltaire relatif aux images subliminales : Éthique et propagande http://voltairenet.org/article158709.html Les méthodes de France2 pour discréditer
la contestation du 11-Septembre France2 a réalisé et diffusé
un reportage visant à discréditer la contestation de la
version gouvernementale du 11-Septembre sur Internet. Pour ce faire, la
principale chaîne de télévision du service public
audiovisuel français n’a pas hésité à
multiplier les mensonges. Pis, son documentaire comprend illégalement
un message subliminal. Paradoxalement l’émission feignait
de s’interroger sur les causes de la défiance grandissante
du public face aux médias de masse. Sa déloyauté
en est la première réponse. Arno Mansouri, éditeur
de « L’Effroyable imposture » et membre de l’association
ReOpen911 réagit.
Depuis Outils Imprimer Thèmes Sur la crise de confiance que traversent les médias de masse auprès de leur public, les reportages se suivent et se ressemblent ; malheureusement est-on tenté d’ajouter. La dernière émission en date ne déroge pas à la règle : il n’y a tout simplement aucune raison de douter de la qualité de l’information dans les médias traditionnels, et quiconque éprouve le besoin ou la curiosité de naviguer sur l’Internet est un imbécile prêt à croire n’importe quoi… Décryptage de l’émission Complément d’enquête de France 2, diffusée le lundi 2 décembre 2008 (à une heure pas assez tardive), puis rediffusée par TV5 Monde. Un seul ennemi : l’Internet ! Accroche : Quand la télé est à la fois
juge et partie, le résultat est un reportage lamentable… Lancement de M. Duquesne : Dès le départ, le ton est donné,
puisque le reportage commence avec la présentation du site français
Hoaxbuster, qui depuis quelques années recense les rumeurs sur
le Net. Il convient de bien frapper les esprits en établissant
que sur Internet circulent… tout et n’importe quoi. Ce qui
en soit relève plus du cliché que du scoop. Mais aussi,
et cela est beaucoup plus pernicieux, de la logique de l’amalgame,
puisque tout de suite après avoir illustré de très
nombreuses rumeurs (au sens propre du terme, c’est-à-dire
des histoires sans fondement ni réalité) le reportage nous
conduit directement au … 11-Septembre. Le montage est certes cousu
de fil blanc et cependant vous le verrez, il vaut la peine de s’arrêter
sur les détails, image par image. Pour l’instant, nous remarquerons
simplement deux choses : Au passage, on note dans le commentaire de la voix-off que si Guillaume (le gentil internaute) travaille de longues journées, les méchants de ReOpen, eux, doivent être des oisifs (puisqu’il n’est fait aucune référence à leur travail en dehors de celui fourni dans le cadre de l’association, voire, pourquoi pas, des profiteurs, puisque s’il est précisé que les internautes précédents (d’Hoaxbuster) étaient bénévoles, il n’en est pas fait état pour les bénévoles de ReOpen (« de jeunes militants qui prétendent défendre la liberté d’expression »)… Enfin, si Hoaxbuster est présenté comme le site de référence dans son domaine, bien entendu, la réciproque n’est pas de mise pour www.ReOpen911.info le plus important site francophone d’information sur le 11-Septembre (en termes d’affluence comme de contenu, de rigueur et de sérieux comme de vidéos visionnées dont le nombre excède les 20 millions). Édifiant : l’utilisation de techniques
de montage subliminales !
Transcription : Arrêts sur images : Plus de la moitié des Français connectés ; deux tiers des internautes estiment trouver sur la toile ce que la presse traditionnelle ne publie pas. Car dans les tuyaux du web, tout se mélange : des faits avérés et les rumeurs les plus improbables. (…) Ce texte n’a clairement aucun lien avec
la rumeur sur le duo Carla-Nicolas ; il s’agit d’une citation
d’Orwell reprise de la page d’accueil du site ReOpen (lequel
est cité a minima, car bien sûr, il faut éviter que
le téléspectateur soit pris de l’envie saugrenue d’aller
vérifier par lui-même la pertinence du site incriminé. Images du World Trade Center en flammes, trop
rapides pour être vues (pas pour être perçues). Image d’un clip invitant à s’informer
sur les attentats du 11-Septembre ; trop rapide pour être vue (pas
pour être perçue) ; NB : le commentaire audio affirme le
contraire de ce que dit le message original.
Succession d’images de Thierry Meyssan
et de son livre, lors d’un de ses derniers passages à la
télévision française ; trop rapides pour être
vues (pas pour être perçues). Rappelons que les articles 28, 33-1 et 43-11 de la loi n° 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée, font obligation aux télévisions d’assurer sur leur antenne « l’honnêteté de l’information et des programmes ». Ceci exclu formellement l’usage de techniques subliminales définies par le Conseil supérieur de l’audiovisuel comme « visant à atteindre le subconscient du téléspectateur par l’exposition très brève d’images ». En droit, France2 et TV5 Monde sont susceptibles de sanctions graves de la part du Conseil supérieur de l’audiovisuel pour ce manquement à l’éthique. Surtout, on retiendra le paradoxe qui consiste à se demander pourquoi tant de citoyens se méfient des médias de masse tout en utilisant illégalement un procédé manipulatoire. Des citoyens défiants … ou déviants
? « Ils ne croient pas à la version
officielle des attentats du 11 Septembre. » « Une défiance jusqu’à
l’excès, jusqu’à l’obsession du complot
(…) ils acceptent de nous recevoir, mais en filmant l’entretien
: ils se méfient des journalistes, de leurs questions et de leurs
montages. » « Ce qu’ils n’aiment pas c’est
qu’on les traite de révisionnistes. » « Pourtant sur leur site, on trouve des
déclarations sans ambiguïté. » Passant dans la rue, où des membres distribuent des tracts, les journalistes n’ont conservé qu’un seul témoignage très ironique à l’égard de ces bénévoles. Certes, cette reconstruction parcellaire du réel n’est pas dramatique en soi, sauf qu’elle tend à ridiculiser l’action de sensibilisation d’un public souvent très réceptif, et surtout, que la référence à Hitler inscrit dans l’imaginaire du spectateur l’idée de la seconde guerre mondiale, donc pour beaucoup celle de la Shoah et par voie de conséquence de la négation de cette réalité historique. Ceci n’est pas anodin, car si le journaliste évite soigneusement d’utiliser le terme impropre de « négationnisme », lui préférant celui « de révisionnisme », ce dernier a pour la plupart de nos concitoyens un sens similaire. Cela est en outre renforcé par le verbe « nier » quelques phrases plus loin pour clore la partie 11 Septembre : « … sans aller jusqu’à nier les attentats du 11-Septembre… » Le troisième mensonge est un mensonge par
omission. Ainsi, « plus de 300 curieux » se réunissent
non pour assister à la conférence de M. Richard Gage, un
architecte américain qui a réuni près de 550 collègues
architectes et ingénieurs dans son association mais parce qu’ils
« ont tous un point commun : la défiance à l’égard
des médias traditionnels ». Toutefois si l’on s’amuse
à recenser les mensonges par omissions, on n’est pas au bout
de ses peines : en voici quelques exemples parmi les plus notables…
Car n’oublions pas le plus important : un journaliste, s’il
veut faire carrière, doit avant tout savoir mentir par omission.
Ici, on ne parle pas de « licence poétique ou créatrice
» ; non, le joujournaliste de masse évoquera sa déontologie
ou à défaut, l’angle choisi pour son reportage. Ainsi,
et pour la quatrième fois consécutive cette année,
alors que les reportages prétendent s’intéresser à
ReOpen911 (donc par extension au sujet du 11 Septembre), celui-ci, comme
les autres, ne fera nulle mention : Ne serait-ce l’ironie évidente du commentaire en complet décalage avec la « démonstration » des journalistes (qui partent d’une conclusion présupposée et ne reposant que sur leurs propres préjugés, pour étayer un argumentaire faussé), on serait tenté à ce moment précis de souscrire à ce commentaire qui clôt la partie stricto sensu sur le 11-Septembre : « Des journalistes paresseux, suivistes, une information tronquée, une censure qui ne dit pas son nom, sans aller jusqu’à nier le 11-Septembre [on se demande ce que peut signifier cette phrase dans l’esprit des journalistes] beaucoup de citoyens aujourd’hui ne se fient plus qu’à la Toile pour s’informer. » Le reportage enchaîne sur le site « auto-proclamé média citoyen » AgoraVox. Visiblement, un concept qui ne passe pas auprès de la presse : se prétendre journaliste, quand on n’est que citoyen, (c’est-à-dire lorsque l’on a échappé aux écoles de formatage de la pensée unique) relève du crime très grave de "lèse-majournalité", et pas seulement pour France2. La médiocrité et la bassesse des attaques sur ce site de qualité parle d’elle-même ; à vrai dire, elle dépasse le ridicule quand les motivations du rédacteur Étienne sont présentées comme la jouissance de n’avoir point de rédac-chef (faut-il y voir un fantasme des reporteurs ?) ou l’éventualité de devoir payer sa place de spectacle contrairement aux critiques professionnels… « Très peu d’infos, et beaucoup beaucoup de commentaires » : les rédacteurs et les lecteurs-utilisateurs apprécieront cette présentation de leur site favori ! « Le point de vue du plus grand nombre comme ligne éditoriale » : on atteint au comble de la mauvaise foi, car chacun sait que les sites en ligne ou les supports papier des grands médias de masse ne ratent jamais une occasion de vendre du trafic (ou du papier) en analysant les pages les plus lues/visitées, ou en abreuvant le chaland de papiers pipoles, ou de dossiers aussi récurrents que sans aucun intérêt (cf. tous les marronniers sur la rentrée, la cellulite ou l’immobilier…) Mais bon, nous touchons la directement un des aspects du désintérêt et de la défiance du public, et cet aspect essentiel du sujet ne sera pas du tout traité, puisqu’au contraire, il s’agit de donner le change en désignant un bouc-émissaire. Passons sur la présentation des sites qui trouvent grâce, une fois n’est pas coutume, aux yeux des pourfendeurs de l’Internet : Rue89 et Mediapart sont a priori au-dessus de tout soupçon, puisqu’ils emploient des confrères journalistes (forcément sérieux sinon omniscients). Vous avez dit esprit de corps ? Corporatisme ? Demander à ces journalistes pourquoi ils ont éprouvé le besoin de créer leur propre média sur le tant honni Internet aurait pu dévoiler quelques surprises quant au fonctionnement de la presse traditionnelle… Le clou du spectacle est l’apparition de l’ineffable Philippe Val, ex-administrateur du Réseau Voltaire devenu grand philosophe, (depuis qu’il s’est acoquiné avec Bernard Henri-Levy, un autre « grand esprit » de ces deux siècles), au motif que le fossoyeur de l’esprit de Charlie Hebdo présente en quatrième de couverture de sa pelure une « Rumeur Internet de la semaine ». Le ridicule de la situation m’exonère de poursuivre le commentaire, quand on entend ce(t autoproclamé) grand-défenseur-de-la-liberté-d’expression-grand-pourfendeur-de-l’antisémitisme nous vendre son leitmotiv aussi éculé qu’écoeurant sur la rumeur des juifs n’étant pas allé travailler le 11 septembre. Une rumeur maintes fois expliquée et combattue tant par Thierry Meyssan que par ReOpen911, que seuls les néo-conservateurs français et ceux qui ne connaissent rien à l’affaire osent encore mettre en avant. Histoire de raviver la peur et le dégoût pour mieux conforter ceux qui ne veulent pas s’intéresser au sujet de rester dans leurs certitudes… De façon très ironique, le reportage se termine sur le rappel par Edwy Plenel (Mediapart) des termes de la Charte du journaliste, (Munich, 1971). Quiconque a vu le reportage de Complément d’enquête (dont le titre « La vérité est ailleurs » est une référence facile à la série X-Files… Signalons quand même incidemment, que cette série a fait les beaux jours de … la télévision et du cinéma et nullement du tant dénigré média Internet) est en droit de se demander, à la lecture de ce qui précède, si un seul journaliste de Complément d’enquête a jamais entendu parler de cette déclaration d’intention. Pour eux, et leurs confrères bornés, coincés dans leurs certitudes, je ne peux que la copier et leur demander, sans y croire qu’ils la lisent et (vœu encore plus irréaliste !) qu’ils la comprennent à défaut de la respecter et de s’en imprégner… Plus que jamais, amis internautes, soyez vigilants et quel que soit le sujet, informez-vous en gardant votre esprit critique. Déclaration des devoirs et des droits des
journalistes Le droit à l’information, à la libre expression et à la critique est une des libertés fondamentales de tout être humain. Ce droit du public de connaître les faits et les opinions procède l’ensemble des devoirs et des droits des journalistes. La responsabilité des journalistes vis-à-vis du public prime toute autre responsabilité, en particulier à l’égard de leurs employeurs et des pouvoirs publics. La mission d’information comporte nécessairement des limites que les journalistes eux-mêmes s’imposent spontanément. Tel est l’objet de la déclaration des devoirs formulés ici. Mais ces devoirs ne peuvent être effectivement respectés dans l’exercice de la profession de journaliste que si les conditions concrètes de l’indépendance et de la dignité professionnelle sont réalisées. Tel est l’objet de la déclaration des droits qui suit. Déclaration des devoirs Les devoirs essentiels du journaliste, dans la
recherche, la rédaction et le commentaire des événements,
sont : Déclaration des droits 1) Les journalistes revendiquent le libre accès
à toutes les sources d’information et le droit d’enquêter
librement sur tous les faits qui conditionnent la vie publique. Le secret
des affaires publiques ou privées ne peut en ce cas être
opposé au journaliste que par exception en vertu de motifs clairement
exprimés. Munich, 1971 Arno Mansouri
Pour commenter ce dernier « reportage », l’invité fut Jean-François Kahn, qui n’a pas dit que des conneries, en remettant bien dans son contexte politique l’avènement de l’Internet… Du directeur de la publication de Marianne qui s’est illustrée en début d’année par « l’affaire Cotillard », on pouvait pourtant s’attendre au pire… Or, il a même su se remettre en cause, personnellement. (Heureusement, il n’a pas parlé du 11 Septembre)… comme quoi, rien n’est encore perdu ! Post-Post-Scriptum
[2] Certains membres de l’association ReOpen911 sont en train de finaliser la réponse documentée (en ligne prochainement sur leur site) à ce travail de propagande, dont on pourra lire, ici, un double exemple illustré par l’image. [3] Ainsi est né le Collectif [maintenant
association] ReOpen911.info dont les objectifs sont désormais :
http://voltairenet.org/article158707.html Flagrants délits En bref, une image révélatrice,
un fait marquant ou une déclaration décalée.
Outils Imprimer Thèmes L’ex-chef des services secrets pakistanais apelle à ouvrir l’enquête sur le 11-Septembre Interrogé le 8 décembre 2008 sur CNN par Fareed Zacharia, le général Hamid Gul a répété avec insistance que les attentats du 11 septembre 2001 avaient été ourdis par les sionistes et les néo-conservateurs. Les États-Unis accusent le général Gul d’avoir maintenu jusqu’à présent des liens avec Al Qaïda, tandis que l’Inde l’accuse d’être impliqué dans les attentats de Mumbaï. Il a mis au défi Washington et New Delhi d’apporter la preuve de leurs allégations et a appelé le président élu Barack Obama à ouvrir l’enquête sur les réels commanditaires des attentats du 11 septembre. Le général Hamid Gul fut le principal maître d’œuvre, aux côtés de la CIA et du MI6, de la lutte contre les Soviétiques en Afghanistan autour d’Oussama Ben Laden. Il fut directeur des services secrets pakistanais (ISI) de 1987 à 1989. Cependant, il se retourna contre les États-Unis lorsque ceux-ci appuyèrent en sous-main le coup d’État du général Pervez Musharraf, puis placèrent le Pakistan sous sanctions internationales. Principale personnalité militaire opposée à la dictature de Musharraf, il fut emprisonné par lui et joua un rôle déterminant dans son renversement. Le 11 septembre 2008, de hautes personnalités
politiques et militaires pakistanaises ont participé à Karachi
au colloque « Terrorisme et paix globale », en présence
du consul de Russie (au même moment, la première chaîne
de télévision russe programmait une soirée sur le
11-Septembre autour du film du député européen Giulietto
Chiesa). Dans son ouvrage, L’Effroyable imposture 1, Thierry Meyssan révèle les négociations entre les États-Unis et les talibans ainsi que la préparation de l’invasion de l’Afghanistan antérieurement aux attentats du 11 septembre. Il s’appuie notamment sur le témoignage de l’ancien ministre des Affaires étrangères pakistanais Niaz Naik. Né en Inde, Fareed Zacharia est un des experts états-uniens les plus réputés en matière de politique internationale. Il est rédacteur en chef de Foreign Affairs et de Newsweek. Il est administrateur du Council on Foreign Relations et un des piliers du Bilderberg Group. Soutien de Barack Obama, il avait été cité comme possible secrétaire d’État jusqu’à ce que Mme Clinton soit désignée. CNN a décidé de procéder
à plusieurs rediffusions de l’entretien avec le général
Gul.
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