Apport
d'éléments tirés de
l'expérience personnelle de
l'auteur (« Mouvement des chômeurs »
des années 1997-98 en France et particulièrement à
Paris) permettant une approche du
mécanisme caché des
rassemblements d'encadrement
des masses du type « Nuit debout »,
conçus par les services
policiers spécialisés du
Conglomérat judéo-américain à
vocation hégémonique mondiale (Cjam).
Texte élaboré à destination des
services apéciaux des
puissances contrebalançant le
Cjam (Russie, Chine, Iran et autres),
par Michel Dakar, chercheur autonome en politique
globale, Villequier, ex-France, le 10 mai
2016.
http://www.aredam.net/experience-personnelle-encadrement-masses-en-conglomerat-judeo-americain-a-vocation-hegemonique-mondiale-cjam.html
Liens
documentaires sur le site aredam.net :
Illustration,
article de l'outil de déréelisation
des masses
Le Parisien-Aujourd'hui en France du 9 avril 2015
avec photographie : « Depuis trois heures, Emmanuelle
gère le débat qui anime la
place ». http://www.aredam.net/agent-manipulateur-en-action-nuit-debout-pseudo-emmanuelle.html
Iconographie
historique
: http://www.aredam.net/pour-la-defense-de-l-empire-daesh.html
Le
CICP, Centre International de Culture Populaire à Paris,
un centre historique de manipulation des masses des
services du Cjam à Paris 11ème, 21ter rue Voltaire
:
http://www.aredam.net/analyse-du-fonctionnement-administratif-et-financier-du-cicp-rue-voltaire-paris.html
http://www.aredam.net/gustave-massiah.html
http://www.aredam.net/courriers-sans-reponse-a-direction-du-cicp-olivier-blamangin-21ter-rue-voltaire-paris-11-au-sujet-de-reflexes.html
Préambule
Ce
texte est un texte libre qu'on peut rapprocher de ce qu'on
dénomme l'écriture automatique des
surréalistes.
C'est la seule manière qui me
vient de procéder, car je dois faire état de ma
propre expérience, d'une vie trop dense, trop intense, et
de plus toute fondée sur l'intuition, pour que je puisse
la communiquer en très peu de pages et de
temps, afin qu'elle soit utilisable
par les services
concernés des puissances
opposées au Cjam, qui seules peuvent limiter
l'entreprise de destruction des populations
mise en oeuvre par le
Cjam, de façon de plus en plus intensive et paroxistique,
de ses propres populations ainsi que
de celles présentes dans les parties du
monde que le Cjam cherche à conquérir.
De
plus, et sous une autre forme, la vie présente de l'auteur
est toujours autant remplie, et il n'a
ni le temps ni le désir d'écrire des mémoires.
Aussi, il faudra lui pardonner un style
sec et des raides énumérations, des absences
de démonstration et d'apports
de preuves, de même qu'une structuration
élaborée et logique du texte. Un amateur n'est pas
lié aux contraintes d'un professionnel encarté par
un service, d'autant plus quand il se moque de sa renommée
et de son crédit. Tout cela le rend libre d'exprimer
ce que personne d'autre ne ferait de cette
manière. De même, il est possible que dans ce qui
suit, existent des éléments pouvant conduire au
tribunal. L'auteur assumera devant le juge de rapporter ce qu'il
a entendu et vu, même si il ne peut en apporter les preuves
formelles. Cela dit, l'auteur n'invente rien, il n'a pas besoin
de le faire. Il est même plutôt enclin
à conserver par devers lui ce
qui n'est pas nécessaire à
l'émancipation et à l'éveil
d'autrui.
La difficulté spécifique
à relater ce que l'auteur a connu durant la période
des années 1990, lesquelles étaient une
expérimentation, une répétition et une
introduction, un prélude à
la période actuelle, est que la réalité
des mécanismes des évènements
socio-politiques auxquels l'auteur a participé était
secrète, et que l'auteur doué d'une large faculté
intuitive, qui n'est autre qu'une forme d'esprit d'observation
particulièrement exacerbé, remarquant le moindre
détail, le moindre hiatus, la moindre incohérence,
et la capacité à
les assembler et à les
fondre en un questionnement global, est que cette relation ne
peut s'appuyer que sur des sensations subtiles qu'il est très
difficile de transcrire. Aussi, la solution choisie par l'auteur
est la pure affirmation comme on le fait de certitudes. L'auteur
doit ne pas avoir été loin de la vérité,
car les services spéciaux n'ont
eu de cesse de reconduire l'auteur au delà de la frontière
parisienne à l'intérieur de laquelle se joue la
pièce du théatre de
l'illusion dans laquelle est immergée la
population. Les manœuvres d'éloignement ont duré
10 années, de 2006 à
2015. Un camarade les avait qualifié
de « manœuvres de guerre de basse intensité ».
En effet, je suis toujours entier, pour le moment.
Pour
clore ce préambule, l'auteur a le sentiment d'avoir été
expulsé de force d'une prison en devenir avant que ses
murs ne se rejoignent et que ses portes ne se ferment, cette
prison étant le monde parisien où tout ce qui
importe en France se passe, monde parisien et au-delà
français et européen, où les
récents évènements Charlie, Bataclan et
Nuit debout, démontrent que la vie sociale
et politique est totalement factice et fabriquée par la
police politique du régime, donc que c'est une vie
politique défunte, l'animation
d'un cadavre, que le régime
politique réel dans lequel nous vivons est celui d'un état
totalitaire qui règne sur une société de
prisonniers, ces prisonniers étant par la propagande
persuadés de vivre en liberté et d'être
protégés par le pouvoir
qui détruit leur liberté quand ils ne sont pas
directement la cible d'attentats,
et qui va très bientôt de plus les
priver radicalement de l'ensemble
de leurs biens.
Introduction
J'ai
vécu une manifestation d'encadrement policier
similaire à celle de « Nuit
debout », en 1997 et durant les quelques années
suivantes. Elle a été
baptisée « Mouvement
des chômeurs », et a été marquée
par la création des « Collectif
anti-expulsion » (CAE), s'opposant aux reconduites à
la frontières des immigrés clandestins dits
« sans-papiers », et aux premiers camps de
rétention administratifs. Les CAE
étaient de même une stratégie d'encadrement
des immigrés clandestins et des activistes les soutenant.
Il est maintenant clair pour moi que le Mouvement
des chômeurs et les CAE ont été
conçus et menés par les services spécialisés
de la police politique française. On peut penser aux
Renseignements généraux de la Préfecture de
police de Paris, entre autres, et imaginer leur
collaboration avec des services spéciaux
américains et judéo-sionistes (il y a quelques
juifs non-sionistes, cela justifie de ne pas écrire
« services juifs », quoique ces services en
question proviennent d'Israël, qui se définit
lui-même comme l'Etat juif).
De même qu'on
peut imaginer que le Mouvement des Chômeur et les CAE, de
1997 à 1998 et suivantes, ont
été une expérimentation à grande
échelle et sur le terrain, des procédés
imaginés dans les laboratoires de socio-psychologie
politique des appareils de police
politique, pour obtenir le contrôle absolu des masses, et
que ces recherches en psychologie sociale appliquée,
soient internationales et engagent la collaboration de plusieurs
services nationaux, comme ceux français, américain,
israélien et quelques autres de l'actuel Cjam
(britannique, belge, italien …).
Principaux
lieux acceuillant les organisations apparaissant lors du
Mouvement des chômeurs et des CAE de 1997, 1998 et
après.
Immeuble du
CICP « Centre International de Culture Populaire »,
21ter du Voltaire à Paris 11ème.
L'un de
ses principaux fondateurs est Gustave
Massiah. Le CICP est issu de l'ex-immeuble associatif de la rue
de Nanteuil à Paris 15ème (Centre
anti-impérialiste). Cet ensemble associatif aurait été
financé par le régime algérien (pour la
façade, les fonds seraient le produit d'une collecte),
investissant dans le contrôle social en France, muselant
ainsi toute opposition externe à sa politique intérieure,
dont plus tard à sa guerre civile engagée contre sa
propre population qui a fait 200 000 morts de 1992 à
environ 2002, dite contre le terrorisme islamiste, terrorisme que
ce gouvernement a lui-même organisé (le régime
algérien est intimement lié aux services spéciaux
français). Gustave Massiah apparaît très
impliqué en Afrique sous couvert de développement,
de même qu'il est en tant qu'agent crypto-sioniste engagé
dans la défense d'Israël. Le CICP est un centre
parisien de l'encadrement politique à la fois national et
international. Son accès n'est possible que par un sas
blindé et surveillé par des caméras, cela
sous le prétexte qu'il pourrait être la cible de
l'extrême droite (elle-même entièrement
encadrée par les services français et autres). On
trouve au CICP (voir son site internet), une liste importante
d'associations, dont une pro-palestinienne d'obédience
israélienne (AFPS, Association France Palestine
Solidarité), une opposée à l'armée
subventionnée par l'armée (MAN, Mouvement d'Action
Non-violent), parmi d'autres (dont à
l'époque les « anti-fa » du « Scalp
Réflexes », que j'observais de l'étage
supérieur partir en randonnée-ratonnade des
militants d'extrême-droite, munis de leurs petites barres
de fer, le bureau du site Indymedia
Paris, réseau internet mondial Indymedia des services
spéciaux US). Il existe sur le site aredam.net un lourd
dossier concernant le CICP et Gustave Massiah, qui est l'homme
clé de ce centre important français des services
spéciaux du Cjam. L'auteur a failli prendre
Gustave Massiah comme directeur de mémoire,
lors de la fin de ses études d'architecte à l'école
d'architecture de Paris La Villette. L'auteur a préféré
y renoncer en raison de son manque de
compétence (les cimetières
selon Massiah serviraient
de réserves foncières urbaines,
quand j'ai répété cela lors d'un travail à
la Direction de l'environnement de la Préfecture de région
de la France-Comté aux chargés de mission, en 1992,
je me suis fait foutre de ma gueule, d'une façon que je ne
suis pas prêt d'oublier ...).
Gustave Massiah semble être une idole pour les jeunes
idiots utiles naïfs du CICP. Je l'avais
rencontré au début de mes
années d'études à Paris, alors qu'il
organisait une chaîne humaine associant arabes et juifs,
sous l'égide d'une organisation dénommée
« Amitiés judéo-arabes »,
l'un de ces innombrables et caractéristiques
faux-nez des services sionistes destinés à
faire accepter aux arabes
la domination des sionistes
(comme les dialogues inter-religieux organisés
par le CRIF et le Consistoire de Paris, avec sa ribambelle
d'imams casse-croûte bègues et
lobotomiques, comme l'inénarrable
Kradouchi de Drancy).
Nota :
il existe un très important complexe immobilier parisien
de regroupement des ONG humanitaires et
de développement tournées vers le tiers-monde,
situé 14 passage Dubail à
Paris 10ème (« Coordination SUD »),
très certainement totalement phagocyté par les
services secrets français et autres - les
ONG étant toutes des antennes d'espionnage
du tiers-monde.
A l'époque
du Mouvement des chômeurs et des CAE, je fréquentais
au CICP, une micro organisation gracieusement dénommée
TCPC (Travailleurs, Chômeurs, Précaires
en Colère), opaque, qui semblait d'obédience
communiste libertaire. Selon la vision que j'en ai maintenant, un
noyau d'agents de la police politique encadrait une nébuleuse
d'innocents naïfs, en charge de pimenter par leur radicalité
littéraire, les mouvements sociaux plus convenus
entièrement créés par la police
politique.
Comme dans les poupées russes, il y
avait encore d'autres degrés de
radicalité plus prononcés, et plus on s'enfonçait
dans la radicalité, plus on rencontrait de personnages
louches, armés (pistolet), déséquilibrés,
violents, interlopes. Les TCPC se situaient à un degré
« civilisé » de la
radicalité. Cela était visible par l'octroi par le
CICP d'une boîte aux lettres (au rez-de-chaussée
ouverte au tout venant), et d'une pièce de réunion
et de dépôt de leur matériel de propagande,
sous les toits, juste à côté de la pièce
accueillant un collectif trotskiste d'encadrement des
organisations féministes (plutôt de domestication
sado-masochiste des femmes ayant tendance à la soumission
par des femmes dominatrices), la CADAC (Coordination des
associations pour le droit à l'avortement et à la
contraception), d'obédience de
la LCR, actuelle NPA, dirigé par une kapo harpie Maya
Surduts, un être de cauchemar (protégée
dans les manifs par un néandertalien de la LCR). Maya
Surduts, qui est actuellement décédée (les
femmes en sont libérées), est l'une des fondatrices
de Ras l'front.
Il est maintenant indispensable
de faire la remarque superbement
antisémite que Gustave Massiah et Maya
Surduts sont juifs, et que l'auteur de ce texte est lui un
authentique sémite, descendant des antiques araméens,
et qu'il est né dans la région où se
parle encore l'araméen, qui était
la langue du juif renégat Jéshua, cette région
étant actuellement dévastée par les sémites
factices d'importation tels les deux
précédemment évoqués. Ceci
dit, l'auteur se fout bien des origines, et comme le dit l'ami
Brassens, des imbéciles heureux qui sont nés
quelque part, comme ceux de la
rue Broca, de la Victoire
et Rabelais.
Ce qui est remarquable dans l'utilisation par
la police politique de la dite « radicalité »,
est la présence en son sein d'une majorité de
personnes atteintes de troubles psychiatriques, à des
degrés divers, depuis celui du
déséquilibre léger, jusqu'à
ceux des troubles profonds, et la
place de choix faite à ceux qui étaient
les plus gravement atteints, lesquels
jouissaient d'une
véritable aura de prestige (je pense à un d'origine
arable, prénommé Kroumir, brutal et
malgré ou pour cela respecté par les TCPC, et qui
était de façon éclatante un espion et un
provocateur à la violence de la police politique, je pense
aussi à deux éléments féminins, deux
« dévorantes », Kanina, qui avait
mordu au sang l'un de ses enfants, et Sangsua, qui continuait
d'allaiter son enfant unique à cinq ans passés,
enfant et futur adulte devenant comme une extension du sein de sa
mère. Un élément orbitant autour des TCPC
était titulaire d'une émission hebdomadaire sur
Radio Libertaire « Sans le beurre et la brioche»,
Patrick Delangle, un calme déprimo-psychique, dominateur
refoulé, sorte de Savonarole téteur
de canettes
de bierre). Le chef omnipotent, mais égalitariste
puisque libertaire, était bizarrement logé par la
mairie de Paris par sa société d'HLM, d'ailleurs
comme beaucoup d'autres militants révolutionnaires
acharnés à la mise à bas du système,
tout comme la fameuse CNT anarcho-syndicaliste, dont les locaux
appartiennent toujours à cette
même mairie (rue des Vignoles à Paris 20ème),
mairie qui est de notoriété publique un bâtiment
annexe des ambassades d'Israël
et des USA, au statut d'extra-territorialité (bonjour en
passant au plongeur d'Eilat).
Au-delà de l'usage
des fous à des fins de police politique, on doit relever
chez ces derniers ce qui est un culte
de la violence, la violence en tant que religion, religion dont
la centralité est la toute puissance. Cet objet caché,
la toute puissance, est enrobé sous l'apparence de
l'égalité, du partage des richesses, de la
protection des faibles. L'extrême-gauche est sans doute la
place politique où est le plus cultivé le culte de
la toute puissance, où se réfugient ceux dont
l'appétit de pouvoir est le plus exacerbé, mais
qu'ils se doivent de dissimuler en tant que serviteurs du
peuple.
C'est pourquoi il est extrêmement difficile
de séparer au sein de l'extrême-gauche, qui est pur
agent de la police politique de qui est auto-manipulé et
tient le rôle dévolu par la police politique sans en
être conscient. L'extrême-gauche est le principal
vivier de la police politique où elle se pourvoie en
agents, et en marionettes inconscientes. L'extrême-droite
est son vivier secondaire.
L'exemple récent de marionette
inconsciente est celui de Clément Méric (décédé
au cours d'une agression visant un militant d'extrême-droite),
et un ancien (1994) est le couple pluri-meurtriers Florence Rey
(survivante défendue par un avocat de la Ligue des Droits
de l'Homme) et Audrey Maupin (décédé au
cours de l'action).
(Voir
en fin de texte : Note sur la folie)
La
« Maison des Ensembles », 3 rue d'Aligre
dans le 12ème arrondissement de Paris.
Ce
lieu est un ensemble immobilier de bureaux appartenant à
la Ville de Paris, et anciennement loué par le ministère
du travail pour y héberger les organisations syndicales.
On note que beaucoup de lieux occupés par des
organisations révolutionnaires appartiennent à la
Mairie de Paris, un
« extra-territoire » d'Israël
et des USA en France, dont le Palais de l'Elysée n'est
qu'une annexe et son président qu'un chef de service (le
dernier en a de plus le physique).
La stratégie de
la police politique en 1997, a
consisté non à l'occupation nécessairement
très limitée dans le temps, comme pour les « Nuit
debout », d'une place centrale publique parisienne
(aussi comme Maïdan à Kiev), mais à
« squatter » un lieu fermé,
permettant de circonscrire sur le moyen terme l'agitation et les
quelques rares éléments réellement
incontrôlables, dans le but de maintenir l'ordre
public. La Maison des Ensembles (MDE) était prévue
pour durer, et elle dure toujours puisqu'elle s'est transformée
en une sorte de maison des organisations citoyennes (voir son
site actuel internet), à l'exemple d'un texte de l'auteur
soviétique Alexandre Zinoviev sur le « bon
citoyen » soviétique, qui sert de façade
au pouvoir pour manifester toujours dans le bon sens, en une
agitation et des activités progressistes qui ne gènent
en rien le pouvoir.
Ce qu'est devenue
la MDE révèle le rôle qu'elle
a joué lors de la période de simulacre de
révolution qu'a été le Mouvement des
Chômeurs.
Principaux
types d'organisations « occupant » la
MDE.
Le bloc des
organisations d'obédience trotskistes de la LCR. Les
organisations catholiques de gauche. Les organisations
d'encadrements des immigrés.
La direction de la MDE
était structurée tel un conseil d'administration,
au sein duquel avait lieu une lutte de pouvoir entre les deux
premiers types d'organisation.
Le troisième type
était bien illustré par
l'organisation musulmane « La Chorba pour tous »,
qui servait gratuitement une soupe populaire nord africaine, la
chorba, aux indigents, de toutes origines. Il faut noter, comme
pour le reste, que le matériel de cuisine du
type popote de campagne militaire,
apte à cuisiner et à servir des centaines voire des
milliers de repas par soirée, ainsi que les tentes, était
fourni par l'armée française. Cette
organisation La Chorba pour tous existe toujours.
Elle s'est pérennisée
dans ce rôle de « pacification » des
immigrés errants et
nécessiteux.
Le second pôle des
organisations, celui fondé sur le principe de substituer
la charité catholique à la
récupération par la
force par la masse des pauvres des produits du vol opéré
sur elle par la poignée de
riches, était représenté par le fameux et
immortel DAL, « Droit Au Logement », dont
les manœuvres, comme sur les
chantiers, sont des immigrés,
et dans ce cas, quasiment exclusivement des noirs africains, bien
dociles, et qui trouvent en récompense de leur
servilité intéressée un
gîte lointain en grande banlieue. L'un des dirigeants à
vie du DAL a été qualifié par l'ancien
syndicaliste policier socialiste Deleplace, d'agent secret de la
police tenu par elle. Toujours est-il que Paris s'est peu à
peu « libéré » de la
multitude de squatts subversifs; novateurs, politisés
et incontrôlés dont les quartiers
populaires de l'Est et du Nord de Paris étaient surchargés
jusque dans les années 1990, en grande partie grâce
au DAL, qui lui se porte toujours aussi bien, et est toujours
aussi bien relayé par l'appareil de déréelisation
du régime (par exemple Le
Parisien). Le DAL a été créé
par une soixantaine d'organisations, provenant
du milieu trotskiste, du milieu
syndical, du milieu catholique de
gauche (Emmaüs), et des ONG de pacification sociale du
régime telle la Ligue des
Droits de l'Homme. Le rôle du
DAL a été celui de l'Abbé Pierre lors de la
période de l'après-guerre, quand une part de plus
en plus importante de la population
commençait à s'organiser à la base en
coopératives de construction et d'acquisition de terrains,
à grande échelle, en raison de la crise aigüe
du logement (destructions massives
dues aux bombardements alliés, manque d'investissement
dans le locatif par le secteur privé et public depuis des
dizaines d'années, vétusté et dégradation
générale de l'habitat populaire, insalubrité),
et que ce mouvement autogestionnaire d'inspiration libertaire et
communisante prenait de l'expansion et
menaçait l'investissement et la spéculation
immobiliers, voire l'ordre social dans sa totalité par le
mauvais exemple donné. Le régime sorti de son
chapeau le fameux Abbé (issu d'une riche famille
d'industriels lyonnais), le propulsa grâce à la
diffusion nationale d'une émission de radio, le fit aider
par l'élite des jeunes polytechniciens
pour l'organisation d'une collecte
nationale de fonds. C'est ainsi que fut créé
artificiellement le mouvement Emmaüs,
qui depuis, comme toute affaire qui profite de la crise sociale
qui ne peut que croître, de même
connaît une croissance continue. Le problème pour
Emmaüs est le réinvestissement de ses fonds, ce qu'il
résoud en une création
de nouvelles communautés, devant se faire au-delà
de la France, ce pays étant déjà saturé
de ses communautés. Il est dommage
qu'Emmaüs ne soit pas côté à la bourse,
on serait sûr de faire un bon placement. Emmaüs
vérifie l'adage que la pauvreté
est la source de la richesse,
ainsi que la guerre, la maladie, la détresse, comme
l'énonce si bien le dicton « le malheur des uns
fait le bonheur des autres ». Quant aux « usagers »
d'Emmaüs, eux, ils restent à leur place, exposant au
jour la véritable finalité d'Emmaüs, qui est
le maintien du statut quo social.
Le DAL a inspiré
quelques autres organisations, sortes de diverticules
de celui-ci. « Droits Devant »,
qui étend la lutte du DAL
à tous les droits
sociaux, par exemple au droit de vote
pour les SDF … ce qui leur fait une belle
jambe. Le but réel de Droits devant est illustré
par cette revendication du droit de vote pour les SDF, qui
forment une population par nature vagabonde,
difficile à saisir, à contenir, et qu'il est
possible ainsi d'encarter, voire de fixer.
Concernant
toujours les SDF, suivant le principe romain du « malheur
aux vaincus », leur contention politique a fait
l'objet d'une suite encore plus spécifique,
par la création du « Comité
des Sans Logis », avec placé à sa tête
un SDF ambitieux et carriériste.
Concernant les
chômeurs encore munis d'un domicile, l'organisation
trotskiste AC ! Agir contre le chômage, jouait le rôle
clair exposé par le DAL et ses diverticules Droits devant
et le Comité des sans logis, mais dans le domaine du droit
au travail. Il est notable que revendiquer le droit au travail
pour une organisation révolutionnaire la décrédibilise,
car il est indéniable que le droit de travailler, dans
l'actualité, est celui de se faire exploiter et d'y
laisser sa santé sinon sa vie, et qu'on n'est jamais
devenu riche en travaillant, mais en faisant travailler d'autres
pour soi, et en les sous-payant (c'est à cette seule
condition qu'existent le profit et
l'enrichissement, si le salaire est équitable, il n'y a ni
bénéfice ni capitalisation, comme pour le
commerçant qui vendrait au juste prix). Afin de suppléer
à cette contradiction, la police politique a créé
et fait agir des organisations du type TCPC, Travailleurs
Chômeurs Précaires en Colère, qui elles
mimaient la radicalité et donnaient un vernis
d'authenticité aux manifestations de tous ordres
organisées par les précédents, et au-dessous
des TCPC, d'autres groupuscules encore plus radicaux, formées
de gens toujours très jeunes vivant dans des squatts
parisiens ou de la proche banlieue (par exemple le
couple Rey-Maupin vivait dans un squatt à
Montreuil).
L'appui de l'Etat du
Vatican au maintien de l'ordre social était représenté
par l'ex-évêque d'Evreux Jacques Gaillot, exhilé
sur place pour les besoins de la cause dans
un évêché virtuel, Parténia, lui
permettant de participer à temps plein à ces
simulacres d'agitation sociale (on
dirait révolution virtuelle maintenant), grâce à
son association Parténia 2000 et à ses
bênets-bénévoles juvénils catéchisés.
Jacques Gaillot était donc le berger des laissés
pour compte. Etant de la région
rouennaise, il m'a été rapporté de bonne
source que le Jacquo déjeunait bien au
meilleur restaurant de Rouen, La Couronne, place du Vieux marché,
et qu'il n'y réglait jamais sa note, considérant
que sa renommée rejaillissait
sur l'établissement et constituait une
publicité gratuite réglant ses repas.
C'était
l'époque de l'éclosion d'une nuée
d'organisations fantasques et poétiques, la misère
étant une source inépuisable d'inspiration, dont
l'une me revient en mémoire, « Aux captifs la
libération », en charge d'organiser des
funérailles décentes aux SDF morts dans la
rue.
Parallèlement à cette occupation du
terrain dans le domaine économique, l'autre priorité
de la police politique était l'encadrement des immigrés
clandestins, dits sans-papiers, dont le nombre commençait
à croître, en raison de la demande constante dans
l'industrie, le bâtiment,
l'agriculture, l'hôtellerie-restauration, la
domesticité et la
prostitution.
Apparurent les
collectifs de sans-papiers, désignés par
un numéro, le Premier collectif, le Second etc …,
dirigés en sous-main par les pseudo révolutionnaires
trotskistes de la LCR de la rue Richard Lenoir à Montreuil
et les pseudo révolutionnaires anarcho-syndicalistes
de la CNT de la rue des Vignoles à Paris,
c'est à dire par le service « agit-prop »
de la police politique du régime, mouvement lancé
avec la pseudo occupation de l'église Saint Bernard dans
le 18ème arrondissement de Paris, dans le Nord, près
de la Chapelle.
De même que pour le contexte
précédent, celui des droits économiques, il
était nécessaire de crédibiliser ce
mouvement par l'intervention d'éléments d'apparence
radicale.
Ce fut réalisé par la création
des Comités anti-expulsion (CAE), qui s'opposaient
« physiquement », c'est à dire en
simulant une opposition physique, aux
reconduites aux frontières par des interventions en groupe
dans les gares et les aéroports, et aux
premiers centres administratifs de rétention, en faisant
des simulacres de siège et en
mimant leur investissement.
De
même que pour les autres secteurs de la pseudo-radicalité,
il était notable que celui-ci était pris en main
par des agents de la police politique, sous obédience
trotskiste et anarcho-syndicaliste.
On peut aussi
remarquer la présence d'éléments appartenant
à la Fédération anarchiste, très
probablement à classer dans la catégorie des naïfs
auto-manipulés, par contre, il est très probable
que l'appareil dirigeant de la Fédération
anarchiste était lui déjà aux mains de la
police politique. Il faut noter le lien entre la Fédération
anarchiste et le réseau de trafic d'influence Grand Orient
de France, de même qu'il faut noter que l'Etat subventionne
Radio Libertaire, et lui permet de diffuser grâce
à l'émetteur des Lilas, sur l'Île de France,
soit sur 11 millions d'habitants.
Conclusion :
La fabrique de la haine, de la déréelisation et des
armes.
Il n'y a rien de
nouveau dans le principe avec les évènements du
type Charlie, Bataclan et Nuit debout,
sinon un bouclage parfait du réel, qui fait que la
population dans sa quasi totalité, est inconsciente de
vivre dans une simulation mise en œuvre par le
régime.
C'est peut-être l'unique nouveauté
de notre époque. Et encore. Je suis certain qu'à
d'autres moments de l'histoire, et en d'autres lieux, les
populations ont perdu pied et ont été plongées
dans la plus totale déréelisation (comme en
Israël).
Pour avoir cotoyé des fanatiques
durant quelques années, en l'occurence ceux
d'extrême-gauche, dits Scalp
Réflexes, ou actuellement dénommé
« antifa », et avoir vu moi-même ce
que haïr signifie, la manifestation physique de la haine par
cet éclat particulier dans les yeux, ce rictus sur le
visage, cette contracture des traits, cela chez des jeunes d'une
vingtaine d'années, qui étaient endoctrinés
par l'appareil de police politique du régime sous la forme
des organisations d'extrême-gauche, il me faut finir en
évoquant cette
pratique de fabrique de la haine, dont le but est la production
de fanatiques propres à tous
les usages.
La haine est un sentiment unique. C'est la
même haine qui est créée à
l'extrême-gauche, à l'extrême-droite, chez les
fanatiques islamistes, et chez les fanatiques juifs sionistes,
par les régimes pseudo-démocratiques européens,
américains et israéliens, et les autres; tel celui
arabe-saoudien.
Il n'y a aucune étude sérieuse
réalisée sur le sentiment de haine, mais ce qu'on
peut dire, est qu'on est parvenu, dans le bloc occidental,
incluant l'Europe, les USA, Israël, et les dépendants,
tels la Turquie, l'Arabie-Saoudite pour les plus importants, à
une production intensive de la haine, qui n'a jamais existé
auparavant.
La haine dans ce conglomérat est
devenu avec les armes et la déréelisation, la
troisième fabrication stratégique
de ce système.
Les principaux types de fanatiques,
en Occident, sont ceux des extrêmes gauche et droite, ceux
islamistes et ceux juifs sionistes.
Armes, déréelisation, haine, voici les
trois piliers actuels sur lesquels repose le régime
occidental.
Quelque soit ce qu'on peut penser des régimes
russe, chinois, iranien, syrien et des autres qui échappent
encore à la domination occidentale, tout être en
possession de ses capacités intellectuelles et morales, ne
peut qu'aider ces régimes à résister à
l'agression occidentale, car si l'Occident vient à dominer
l'ensemble de la planète, il vaut mieux que l'humanité
disparaisse.
Il est probable que le développement
exacerbé de la haine chez le fanatique, soit un processus
de compensation à une rétractation de la capacité
à ressentir des sentiments, cette rétractation
étant une réaction à une douleur psychique
due à un contexte ou à
un événement social ou familial malheureux.
L'épanouissement de la capacité à haïr
permet au sujet de continuer à ressentir, c'est à
dire d'être. Le reste n'est qu'un habillage idéologique.
Il ne s'agit que de recyclage d'éclopés de la vie
par de froids calculateurs, eux encore plus privés de la
capacité à ressentir; les hommes de pouvoir -
l'épanouissement de ce sentiment dénommé
ivresse du pouvoir étant aussi un processus de
compensation permettant de continuer à ressentir, soit
d'être, pour des individus quasi intégralement
amputé de toute capacité à ressentir, des
quasi morts, encore plus diminués
que les fanatiques que
leurs services secrets conditionnent et
manipulent. Quant au type d'humain
devenant agent de
ces services secrets, il se situe entre les deux
types précédemment évoqués. Ce serait
à l'un de ces agents d'explorer et de faire connaître
la spécificité de cette catégorie, plus
méconnue que celle des fanatiques et des hommes de
pouvoir. Seul l'écrivain anglais Graham Greene a tenté
de le faire, ayant été lui-même un agent
des services secrets.
Entre
fanatiques de base manipulés et gens de pouvoir, les cas
des intermédiaires, les agents Gustave Massiah, Maya
Surduts, et du psychopathe autonome Xavier Dor.
Selon
mon ancien copain Piston, le plongeur d'Eilat (auteur du fameux
« 200 discours politiques pré-rédigés
pour parer à toutes les circonstances »), à
la touchante ambiguïté, qui semblait supporter
une écrasante articulation
invisible, comme une gigantesque main suspendue en permanence
au-dessus de sa tête, Massiah était impressionnant
par l'étendue de ses relations, il était partout et
connaissait tout le monde. Massiah est un Marek Halter pour le
domaine de gauche, en plus discret qu'un Halter
qui est renommé comme agent attitré du Mossad, ce
qui est sans doute délibéré. Il est très
probable que Surduts était de
la même nature que Massiah et Halter.
Maya Surduts
était le pendant d'extrême-gauche de Xavier Dor, le
militant d'extrême-droite, dirigeant l'association SOS
tout-petits, un psychopathe sacrifiant
l'existence des femmes à leurs
fœtus imposé par le viol, la misère,
la maladresse, l'incontinence, l'ignorance
(et le bonheur de l'enfant à naître et du futur
adulte, fabriquant une chaîne trans-générationnelle
de malheur, mais le malheur est bien ce qui permet à ces
Dor Surduts de propérer), dont l'activité
consistait à terroriser les femmes de condition modeste et
enceintes en allant
manifester devant les centres médicaux d'avortement (quand
aux femmes de la même classe sociale que Dor, elles se
payaient le voyage en Suisse ou en Hollande et le confort d'une
clinique privée). Les deux membres du duo artistique
Dorduts tiraient de même leur pouvoir politique en
agrippant les femmes par le vagin. Ce
duo se réunissait périodiquement, avec leurs
comparses respectifs, les constriqués du
LCR-CNT, et les Enfants (prépubères
et grisonnants) de
Marie, pour des sauteries organisées par les rats de caves
des RGPPP du Ministre de l'Intérieur,
devant les maternités parisiennes, pour des séances
de lancer de boulons, contrés par de solides et élégantes
pancartes dépliables adhoc.
Xavier
Dor et Maya Surduts illustrent chacun à leur manière,
le fait que l'emprise sociale du pouvoir sur l'individu s'exerce
dès avant la naissance, sur le fœtus
dans le ventre de sa mère, et encore avant, sur l'embryon,
et lors de l'acte sexuel.
Nos fabriquants de terroristes islamistes, DGSE,
DGSI et co devraient s'en
inspirer.
Note sur
la folie :
Suraliénation
et désaliénation, les deux voies antagonistes de
l'humanité (voir
l'expression du site assassins-stratégiques, les
« surmorts », pour qualifier ceux qui
suraliènent, tels les propagandistes de l'empire
judéo-américain). http://www.aredam.net/suralienation-et-desalienation-les-deux-voies-antagonistes-fondamentales-de-l-humanite.html
Une excellente vue sur
la réalité du psychisme humain est donnée
par la lecture du livre de Véronique Lesueur
« Cadillac l'asile des fous dangereux.
Enquête sur un service psychiatrique de haute sécurité »
Editions Hors collection1995.
Il est intéressant
d'y relever que selon les professionnels de
la santé mentale, il est impossible de modifier
l'assemblage psychique originel, issu des permiers temps de la
vie, des premiers mois ou années.
On peut le faire,
mais pour commencer, en se libérant de la fausse science
qu'est la psychanalyse, et en utilisant, entre autres, la méthode
de la méditation yogique.
La psychanalyse est un
procédé de sur-aliénation, qui s'est
constitué sur le dispositif d'aliénation déjà
en place, qu'il a renforcé à une période
d'avancée dans la recherche en psychologie. La
psychanalyse est par essence réactionnaire.
Ce que
la psychanalyse dénomme inconscient n'est pas du tout
inconscient, mais ce qui est considéré comme
intangible et immuable, ce qui constitue l'ensemble des
structures formées très tôt dans l'existence,
et qui constituent le déterminisme individuel.
Quant
ce déterminisme maintient écarté l'individu
de son épanouissement, cela est dénommé
aliénation.
Il est très dangereux d'avancer
dans la résolution de la modification de la structure
originelle psychique individuelle, car le pendant de cette
science de la libération psychique de ce qui est considéré
comme un déterminisme psychique inaltérable,
science qui pourrait apporter le bonheur et l'équilibre
social et individuel, est qu'immédiatement, cette science
sera mise au service de l'oppression, et de la domination absolue
de la population par la caste qui l'exploite. Qui peut
radicalement libérer l'individu des contraintes psychiques
inculquées lors des premiers moments de sa vie, peut de
même modifier la psychisme dans le sens d'y imposer de
nouvelles contraintes, de façon à façonner
des individus qui ne pourront jamais se révolter, et qui
seront heureux dans un état de totale servitude.
Qui
maîtrisera la capacité à désaliéner,
maîtrisera de même la capacité à
aliéner.
Il
est heureux que pour le moment cela ne soit possible qu'en
empruntant le chemin de la recherche yogique, recherche dont sont
radicalement exclus les individus recherchant le pouvoir, et plus
généralement tous ceux agissant par intérêt
personnel.
L'état de méditation yogique est
un état inssaisissable, indéfinissable, personnel à
chaque individu, il ne se laisse encadrer par aucune doctrine,
méthode, idéologie, religion.
Il
en est de même avec l'état de rêve.
Les
deux états, rêve et méditation yogique,
appartiennent au même domaine, celui de la matérialisation
de la structure dite intangible et dite immuable, qui détermine
la personnalité de l'individu.
L'entrée dans
l'un ou l'autre de ces deux états est pour l'individu
comme vagabonder dans sa cité intérieure, comme une
promenade au sein de soi, les éléments immatériels
à l'état normal deviennent aussi solides que des
bâtiments.
Voilà la signification de l'énoncé
bouddhique :
« Le monde n'est que le jeu
d'images surgissant dans notre esprit, issues de lui, et se
réengloutissant en lui ».
Voilà
aussi pourquoi aucune logique et raison ne président et ne
peuvent s'imposer au désordre actuel, celui qui dure
depuis que l'humanité est passée du clan animal, à
l'ensemble de clans qui se nomme « chefferie »,
puis à la royauté et autres, qui ne sont que des
avatars de la chefferie.
L'individu humain pris dans un
ordre qui l'aliène, ne fait que projeter les éléments
intangibles qui le déterminent intérieurement, sur
l'extérieur, transformant sa vision de l'extérieur
par ces éléments qu'il porte en lui, qui le rendent
étranger au réel. Le combat entre les humains est
un combat d'être coupés du réel, il s'agit de
systèmes d'irréalité qui s'entrechoquent,
qui s'interpénètrent, pour former un système
global inextriquable d'irréalité, un mirage global.
C'est pourquoi, quelques soient les conséquences
de ces croisements d'irréalité, il n'y a rien à
faire pour améliorer le devenir, et on continuera à
avancer à grands pas vers le réchauffement
insupportable de la planète, vers son empoisonnement
total, vers l'épuisement intégral de toutes les
ressources vitales, vers l'extinction de la quasi totalité
des formes de vie, vers un système social qui fera
paraître les enfers des religions comme de sympathiques et
tendres villégiatures.
L'unique manière de
sortir de ce cauchemar est de créer une méthode
accessible à tous pour se rendre maître des éléments
intangibles et immuables qui peuplent les psychisme et qui les
déterminent.
La méditation yogique n'est
accessible qu'à un très petit nombre, mais c'est un
premier pas que de s'en inspirer.
La méditation
yogique fait en réalité partie de la science de la
guérison indienne, nommée ayurvéda. La
méditation yogique est l'ayurvéda psychique.
La
thérapeutique de la méditation yogique, ou ayurvéda
psychique, est fondé non pas sur l'analyse, comme dans la
fausse thérapeutique psychanalytique charlatanesque, mais
sur le fait de rendre mouvant, labile, souple, la rigidité
déterministe, comme des construction en pierres qui
deviendraient molles (comme le tableau de Dali, les montres
molles), jusqu'à la dissolution de cette structure.
Le
problème premier qui se pose est celui du sujet et de
l'objet, car l'individu est à la fois, paradoxalement
sujet et objet, et qu'il s'agit d'un voyage en soi, de soi.
La
progression de l'effet thérapeutique est vérifiable,
effectif, quand à l'état de veille, l'individu
prend conscience que le monde réel est encombré de
ses images issues de sa structure interieure déterministe,
qu'on nomme usuellement imaginaire.
On peut déjà
là se délivrer du vocabulaire fallacieux
psychanalytique, et employant le terme imaginaire pour
inconscient.
Le groupe est particulièrement nocif
par sa fabrication d'un imaginaire collectif solide qui parvient
à recouvrir toalement le réel, comme la couche de
plusieurs centaines de mètres des plateaux calcaires,
formée des squelettes des animaux microscopiques qui
forment le plancton, ces squelettes infimes s'étant
accumulés durant des millions d'années.
Il
faut dissoudre cette couche pour parvenir au réel.
Le
commencement de la désaliénation (de la guérison),
est marqué par le fait que le sujet prend conscience que
tout ce qu'il voit, que le monde qu'il connaît, habituel,
normal, ce qu'il prend pour le réel, est une illusion, une
construction issue de son imaginaire, et que pour autrui il en
est de même.
Il a aussi le sentiment qu'il en est de
même en ce qui concerne ses affects, ses sentiments, ses
réactions, ses émotions, ses intérêts,
et surtout, pour finir, son imaginaire, sur lequel repose tout
l'ensemble de sa vision du réel.
La guérison
consiste à regagner le réel et à quitter son
monde imaginaire.
Mais faire bouger le bloc de
déterminations imaginaires psychique est dangereux, car
l'effet est de provoquer un comportement temporairement
incontrôlé, comme par un séisme qui ébranle
les fondations d'un immeuble et provoquerait son oscillation,
parfois jusqu'à sa fissuration, sa dislocation et son
effondrement.
Il n'est pas anodin que les service spéciaux
de l'empire judéo-américain aient imaginé
l'effondrement des tours du « centre du commerce
mondial » (world trade center), comme prétexte
à l'entrée en guerre mondiale de l'empire, dans
l'objectif de soumettre définitivement toute
l'humanité.
Ni de même, par ces services,
l'abattoir industriel de masse, des chambres à gaz, et la
série des attentats contre sa propre populations, tels le
Bataclan, celui dit Charlie étant de plus dirigé
contre l'un de ses propres services de manipulation.
Il
s'agit là d'une pratique à l'opposé de la
thérapeutique, qui cherche à guérir, c'est à
dire à faire réintégrer le réel.
Il
s'agit d'un renforcement de l'aliénation collective, dans
le but de renforcer la structure déterministe collective,
de façon à rendre totalement aliéné,
et obéissant, la masse des individus constituant la
population de l'empire judéo-américain.
Mais
cette pratique de la sur-aliénation met en évidence
ce que doit être le chemin à suivre pour la
désaliénation.
Pour finir, en ce qui
concerne la désaliénation, comme en ce qui concerne
la suraléination, il faut procéder par étapes,
alterner les périodes d'efforts, de travail, d'avancées,
avec des arrêts, afin de laisser le temps à de
nouvelles configurations de se mettre en place, et reprendre dès
que ces nouvelles installations déterministes paraissent
assez solides pour supporter les effets de nouveaux ébranlements
dus à une reprise du travail de désaliénation.
En
fait, on peut partager l'humanité en deux parties, celle
qui tente de progresser vers la désaliénation, et
celle qui tend à la renforcer.
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