Les Enfants hyperactifs. Ces enfants qui ne tiennent pas en place, ont peu d'attention, souffrent d'un vrai handicap social. L'alimentation toxique jour un grand rôle, mais elle n'est pas la seule en cause. Le point de vue du naturophate Claude Pradel. Un article du magazine Biocontact, décembre 2005, n° 153. Ndlr : ce que n'ose dire ou penser l'auteur de cet article, qui s'excrime à rester dans la limite du politiquement correct, c'est à dire, à ne rien remettre en cause de fondamental, c'est qu'on assiste là à la fabrique des nouvelles générations, composées de tarés. Le régime est en train de faire dégénérer l'espèce. Cet article est un catalogue qui tend à être complet, de tous les toxiques ingérés par l'humanité actuelle.
LES ENFANTS HYPER ACTIFS Ces enfants qui ne tiennent pas en place, ont peu d'attention, souffrent d'un vrai handicap social. L'alimentation toxique loue un grand rôle, mais elle n'est pas la seule en cause. Le point de vue du naturopathe Claude Pradel L'hyperactivité (hyperkinésie), chez les enfants de tous âges et les adolescents est un phénomène de société qui apparaît comme en constante augmentation, depuis plusieurs années, dans les pays dits « développés ». Les hygiénistes — naturopathes ne peuvent que s'interroger sur les rapports supposés ou réels entre le mode de vie antibiologique, anti-naturel, anti-hygiénique... que connaît actuellement l'espèce humaine, et l'existence d'un nombre de plus en plus important d'enfants agités, dispersés, excités, hypernerveux, hyperactifs... inadaptés, turbulents, déconcentrés. Qui ne tiennent pas en place et sont incapables de fixer leur attention plus de quelques secondes ou minutes sur un même sujet : jeu, spectacle, lecture... Cette hyperactivité peut être uniquement cérébrale ou physique, ou les deux. L'hyperactivité physique se manifeste non seulement par des propos, gestes, mimiques et mouvements incessants et désordonnés, mais aussi par des jets et bris d'objets, des déprédations, donc de la colère, de l'agressivité, voire de la violence. Un tel comportement qui traduit une souffrance chez l'enfant est perturbant et douloureux pour lui-même. Il l'est aussi pour l'entourage familial, scolaire, social.
Des causes multiples Quelle est la cause, si elle est unitaire ou quelles sont les causes associées qui génèrent de tels déséquilibres nerveux et psychiques ? Le début de l'installation de l'état d'hyperactivité peut se faire pendant la grossesse. En effet, la future mère peut vivre cette période très importante pour la structuration physique, intellectuelle et psychique de l'enfant à naître, dans l'anxiété, voire l'angoisse, la peur, les difficultés financières. Elle peut subir, ou être victime de violence, de désintérêt ou d'abandon de la part du futur père.
L'alimentation L'alimentation commune, la « malbouffe » - expression créée par le Docteur Yves Vivini — ou « Cuisine aux E », avec toute sa litanie d'additifs alimentaires : conservateurs, gélifiants, antioxydants, épaississants, émulsifiants, pectinisants, exhausteurs de goûts... conjugués aux pesticides, herbicides, fongicides (« homicides » devrions-nous dire !) ne peuvent que créer des mélanges détonants pour certains organismes fragiles. Ces cocktails de produits, anti-naturels pour la plupart, véritables corps étrangers pour notre organisme, constituent des « mini-bombes » intracellulaires qui, parvenues par la voie sanguine, jusqu'aux centres nerveux, engendrent alors énervement, perturbation mentale, désordre, excitation cérébrale, déséquilibre. Si à cette alimentation artificielle, antispécifique des besoins nutritionnels de l'espèce humaine, on ajoute des sodas riches en alcaloïdes excitants du système nerveux (caféine, caféone, théophylline, théobromine...) et bus en quantité par certains enfants ou adolescents, le tableau s'assombrit encore. Au sujet de l'abus des viandes dans l'alimentation des bébés, enfants, adolescents, des médecins comme les docteurs André et Gaston Durville, Paul Carton, Jérôme Casabianca, Pierre Oudinot, Edouard Bertholet, Maximilian Bircher-Benner, Jacques-Maurice Kalmar, ainsi que de grands hygiénistes comme Henri-Charles Geffroy, Raymond Dextreit, Pierre-Valentin Marchesseau, André Roux, André Passebecq... ont écrit abondamment sur l'effet excitant de cet aliment sur le système nerveux et par retentissement sur le psychisme (la viande, aliment « nervin »). Toujours selon les mêmes auteurs, le sucre blanc aurait les mêmes effets délétères... Or cet ingrédient nocif pour la santé est consommé à des doses invraisemblables, provoquant une dépendance insoupçonnée sans rapport réel avec nos véritables besoins nutritionnels. De plus, on en retrouve dans de nombreux produits alimentaires composés : confiture, pâtisseries, confise-ries, charcuteries, jus de fruits, sodas, ketchup... Le professeur Marchesseau a écrit sur « l'alcoolisme » caché, méconnu des bébés et enfants qui sont surnourris de féculents, farineux, amidons, céréales mal dextrinisées, mal maltosées. Ces farines sont la source, dans le tube digestif, de fermentations génératrices d'alcools divers. Et qui dit alcoolisation dit énervation, troubles nerveux et psychiques, troubles du comportement. Il y a aussi le problème de la consommation des laitages en rapport avec l'hyperactivité. Ces derniers, lait, beurre, yaourts, fromages, crème, petits suisses, sont issus d'autres espèces animales que l'espèce humaine : vaches, brebis, chèvres, juments, ânesses. Ils sont en principe réservés par la nature aux veaux, agneaux, chevreaux, poulains, ânons... L'espèce humaine appartient à la catégorie des mammifères qui, par définition, allaitent tous leurs petits. L'espèce humaine est la seule qui « vole » son lait à d'autres espèces pour s'en nourrir. De plus, elle est la seule à décider parfois, pour diverses raisons, de priver un bébé du lait de sa mère, pour lui faire absorber ensuite pendant toute sa vie du lait et des laitages issus d'autres espèces animales ! C'est un comble... Le seul lait que nous devrions boire - si nous étions dégagés de la pression des lobbies économiques, de l'affairisme et du poids culturel et symbolique de la blancheur laiteuse - est celui de notre mère. Et le lait et les laitages venant d'autres espèces animales, sont donc des aliments de tolérance. Les travaux et recherches effectuées par des médecins comme les docteurs Nicolas Le Berre, Raphaël Nogier... le montrent. Le regretté docteur Jean Seignalet expliquait qu'à partir des laitages, des peptides, qui sont des amas d'acides aminés non dissociés par les sucs digestifs, peuvent traverser tel quels la muqueuse perméable de l'intestin grêle et se répandre dans tout l'organisme. Ces peptides non digérés, lorsqu'ils parviennent jusqu'aux neurones, transportés par le courant sanguin, sont capables d'altérer leurs membranes cellulaires et de pénétrer ainsi jusque dans l'intimité de la cellule. D'où il s'en suit : perturbation, déséquilibre... nerveux et psychique. Les céréales glutineuses, c'est-à-dire riches en gluten, qui sont des graines hybrides non - contemporaines de l'apparition de l'homme sur la planète : blé, orge, avoine, seigle, ms, grand épeautre, sont accusées de provoquer les mêmes dégâts physiologiques et biologiques que les laitages sur l'intellect et le psychisme de certains sujets fragiles et prédisposés. De nombreux métaux, présents dans l'environnement, que nous absorbons d'une façon ou d'une autre, contribuent aux perturbations neuro-psychiques de nos enfants. Le plomb, métal lourd, que l'on peut trouver dans des peintures anciennes, au goût sucré, qui s'écaillent. Que des petits lèchent ou sur lesquelles ils posent leurs mains qu'ils portant ensuite à leur bouche... Ce métal se trouve aussi en suspension dans l'eau véhiculée par des canalisations anciennes au plomb. Via le robinet, ce poison arrive jusque dans le biberon des bébés et dans le verre d'eau qui désaltère les enfants ! Ils peuvent souffrir de saturnisme. Un médecin, le docteur Gérard Ughetto, écrit que le plomb est « neurotoxique et qu'il induit des troubles du sommeil et des tremblements... ». Le mercure, autre métal lourd, se retrouve dans l'atmosphère, les fleuves, les océans, les sols par suite de rejets industriels et domestiques, d'utilisation agricole : traitement des semences, fongicides, herbicides, pesticides... et aussi dans... notre bouche ! Là, il y est sous forme d'amalgames dentaires. Quand on sait que la dentition de notre progéniture se carie de plus en plus tôt et de plus en plus fréquemment... Le cadmium est rejeté dans l'environnement par l'incinération des ordures et déchets. Il se trouve aussi dans les cigarettes. Son absorption se fait donc par la respiration, la boisson, les aliments. Femmes enceintes et mamans qui fument, attention ! Un autre métal, l'aluminium, provoquerait des altérations du système nerveux et donc du comportement. Il contribuerait à préparer la maladie d'Alzheimer... Citons encore le cuivre des canalisations de distribution de l'eau, du stérilet des femmes qui, absorbé en excès, qui provoque une carence en zinc. Selon Cari C. Pfeiffer, il est une des causes majeures des dépressions post-partum, après l'accouchement. Qui peuvent aller jusqu'à la psychose. Le nouveau-né qui s'imprègne comme une éponge des états d'âme de sa maman va en pâtir dans son équilibre psycho-nerveux. Le fluor, qui sert à « enrichir » l'eau du robinet, aggraverait en fait, selon certains dentistes, le mauvais état trop fréquent de la dentition de nos bambins. Qui vont ainsi avoir droit très tôt aux amalgames dentaires mercuriels... Les pesticides, herbicides, fongicides, la dioxine, inondent la planète, polluent l'air, les nappes phréatiques, nos aliments. En France, dans la région viticole Languedoc-Roussillon, selon des sources médicales, il y aurait quatre fois plus de cas tératogènes : enfants anormaux à la naissance que dans le reste de la France, ceci étant dû à l'utilisation de ces produits. Le lait maternel transporte aisément ces produits toxiques. Quelques effets qu'ils induisent : changements d'humeur, perte de mémoire... Les nitrates que l'agriculture utilise intensivement sous forme d'engrais azotés, chargent encore plus le tableau de la pollution environnementale et de nos organismes. Le lait et les laitages de vache, ainsi que l'eau du robinet, en sont riches. Pour les bébés, leur présence peut entraîner une altération de l'hémoglobine qui ne peut que très mal transporter l'oxygène. D'où souffrance du cerveau atteint d'hypoxie et comportement perturbé.
Tabac, alcools Les effets énervants, excitants de l'alcool, sur beaucoup de sujets, sont connus depuis longtemps. Quand on sait que beau-coup trop d'adolescents usent et abusent de ce liquide délétère et destructeur de la santé physique et mentale, sous forme de vin, bière, whisky, apéritif anisé... D'autres dévitalisants, tel le tabac, sont en cause dans la genèse de l'hyperactivité. Le tabac contient plusieurs dizaines de composants, dont du cadmium, un métal lourd, du pyrène, un hydrocarbure, des nitrosamines, des cétones... II contiendrait aussi des éléments cachés qui rendraient l'utilisateur dépendant de cette « drogue ». Pour certaines personnes anxieuses, stressées, le tabac peut jouer un rôle de « tranquillisant ». Pour d'autres, au contraire, il est un produit excitant. Si en plus, il est associé à l'alcool... La drogue, qu'elle se présente sous forme de colles, extraits ou dérivés de certaines plantes plus ou moins euphorisantes, stimulantes, hallucinogènes... produits de synthèse, est à mettre sur le même plan que l'alcool et le tabac pour ses effets excitants, voire dévastateurs, sur le système nerveux et le mental. L'emploi de lotions ou eaux de toilette pour bébés et enfants, par exemple eau de Cologne ou autres liquides alcoolisés, peut aussi contribuer à leur agitation nerveuse et cérébrale.
Vaccins et médicaments Les toxines vaccinales chez certains bébés et enfants ne sont sans doute pas innocentes dans l'apparition de certaines formes d'hyperactivité intellectuelle et physique (ainsi que de l'autisme). Car il s'agit là, avec les vaccins, « soupes de purulence », selon le docteur Alain Scohy, de substances étrangères virulentes et dangereuses qui sont complètement absentes et inconnues au sein d'un métabolisme cellulaire tel que prévu par la Nature pour l'espèce humaine. Des remèdes allopathiques comme les antibiotiques et la cortisone, qui auraient dû rester des remèdes de l'urgence, de la gravité, et donc exceptionnels, peuvent contribuer à l'hyperactivité. Quand ils sont prescrits largement à certains bébés ou enfants, plusieurs mois par an, ils peuvent contribuer à l'hyperactivité. Pour les antibiotiques, cela passe par la voie digestive. En effet, en perturbant le microbisme intestinal, ils vont transformer la flore de fermentation de l'intestin grêle en flore de putréfaction. D'où formation de dangereuses toxines qui, migrant à travers la muqueuse perméable de l'intestin grêle, sont transportées par la voie sanguine jusqu'aux cellules des centres nerveux, entre autres. Il s'ensuit une perturbation dans le rôle joué par les neuromédiateurs : mélatonine, sérotonine, acétylcholine... et dans la transmission de l'influx nerveux de neurone à neurone.
L'éducation L'hyperactivité orale, gestuelle de certains enfants traduit manifestement une carence affective, un manque d'amour. Qui les incite inconsciemment, à faire les « intéressants » pour capter l'attention de l'entourage. Le laxisme éducatif sur les plans familial, scolaire, social, introduit à partir des évènements des mois de mai-juin 1968, a vraisemblablement joué un rôle au sein de la société française, dans l'accroissement progressif du nombre d'enfants et d'adolescents hyperactifs. En effet, la devise à l'honneur à cette époque contre les barrières et interdits divers était : « II est interdit d'interdire » ! En application de cette formule, on est passé d'un autoritarisme éducatif rigide, souvent trop rigoureux, disciplinaire... à son opposé : un relâchement parfois coupable, un laxisme irresponsable un « laisser tout faire, tout est permis » inconséquent... Bref, ce fut l'avènement de « l'enfant-roi ». A qui il fut permis d'évoluer dans un cadre éducatif familial et même scolaire, aux limites trop élastiques ou parfois inexistantes. En même temps que furent instaurés des repères de comportement flous, imprécis, que furent oubliés les principes et les règles les plus élémentaires d'une attitude correcte et respectueuse, tolérante et civile. « Jetés aux oubliettes », l'enseignement de la morale et de l'instruction civique... ! Une étude statistique intéressante serait à mener sur le rapport éventuel qui pourrait exister entre l'hyperactivité de certains enfants ou adolescents et l'absence, la privation de l'allaitement maternel ? La « voie lactée » maternelle étant un vecteur de tendresse, de douceur, de plaisir, de volupté, d'amour, dont certains bébés ont été frustrés ; et qui pourtant aide à la structuration de la personnalité nerveuse et psychique. Pour cette catégorie d'enfants énervés, excités, perturbés qui souvent ne respectent rien ou si peu, il faudra aussi songer à restaurer l'autorité familiale. Qui a été bafouée par plusieurs décennies d'éducation trop laxiste à certains égards. C'est-à-dire apprendre à dire NON à un enfant et à se montrer constant, ferme dans la décision. Apprendre à lui marquer des limites à ne pas dépasser, à lui préciser des repères dont il a profondément besoin, à lui assigner un cadre éducatif. Que l'on peut comparer aux cordes souples, élastiques d'un ring de boxe ou de catch qui « prêtent ». Et vont donc ainsi permettre occasionnellement des débordements relatifs et limités.
Le mode de vie La télévision et les jeux vidéo qui présentent souvent des spectacles violents sous forme d'agressions, combats, meurtres, viols... sont une source importante de l'agressivité, voire de la bellicosité, de l'hyperactivité manifestées par nombre d'enfants et d'adolescents. Plongés dans un état semi-hypnotique lorsque le spectacle est très prenant pour eux, leur subconscient est imprégné profondément et fortement par la violence et la répétition des images. Il s'agit d'un principe bien connu des publicistes qui savent que : « c'est la répétition qui fait la force de la suggestion ». La télé nourrit la passivité. Les tensions accumulées par les heures « d'immobilité devant l'écran devront bien se libérer une fois ou l'autre » ! Les « musiques » tonitruantes (on devrait dire « toni-tuantes »), syncopées, genre « boum-boum », qui sont « distillées » dans les « boîtes de nuit » par des baffles qui vibrent et éructent « à mort » les décibels, en conjugaison avec des spots lumineux qui agressent violemment le système nerveux par l'intermédiaire des yeux, et en association souvent avec l'alcool et la drogue... créent une frange de jeunesse excitée, belliqueuse, écervelée... Dans l'intérêt de l'équilibre nerveux et psychique de l'enfant et de sa santé, les parents devront régenter l'utilisation de la télévision, le temps passé devant les jeux vidéo ou sur Internet, ainsi que l'usage mesuré du téléphone portable.
Les ondes électromagnétiques Dans sa grande majorité, la communauté scientifique française nie les effets dangereux pour notre santé, et en particulier celle des enfants, des téléphones portables. Qui fonctionnent dans le domaine des mégahertz ou micro-ondes. Lesquelles sont les plus nocives pour notre équilibre physiologique.
Quelques conseils naturopathiques Que proposent les hygiénistes-naturopathes et les médecines différentes pour prévenir cet état d'hyperactivité chez les bébés, les enfants, les adolescents ou au moins pour l'atténuer ou mieux, le faire disparaître, lorsque pour une ou des raisons diverses, il se manifeste ? Pour la maman En premier, pendant la grossesse, la future mère devrait se montrer vigilante et responsable sur le plan alimentaire : produits bio (donc sans OGM), en privilégiant des aliments réputés galactogènes précurseurs d'une bonne lactation : céréales complètes (pauvres en gluten), soja, fenouil... de façon à être à même, le moment venu, de pouvoir allaiter correctement son bébé. Pour un accouchement dans la sérénité, se faire accompagner, pendant la gestation, par une sage-femme ou un médecin accoucheur initié à la sophrologie, visualisation, pensée créa-trice..., aux méthodes douces et naturelles d'accouchement sans violence, inspirées par exemple, des travaux des docteurs Frédérik Leboyer et Michel Odent.
L'alimentation de bébé Dès que le bébé abandonne, partielle-ment ou en totalité, le sein de sa mère, choisir si possible un maximum d'aliments bio.
De nombreuses méthodes de santé existent Dans le domaine de l'intoxication vaccinale en rapport avec l'hyperactivité, la médecine homéopathique peut aider à atténuer, grâce aux nosodes homéopathiques utilisés avant et après l'acte vaccinal, les effets néfastes des vaccins. La panoplie des autres moyens naturels capables d'aider efficacement dans le problème de l'hyperactivité est vaste : ostéopathie, étiopathie, kinésiologie ludique : « Brain Gym », digitopuncture, homéopathie, organothérapie homéopathique, oligothérapie, lithothérapie, magnétisme, reiki. On pourra aussi faire appel à la relaxation, sophrologie, yoga adapté aux enfants, musicothérapie, chromothérapie, méthode du Docteur André Tomatis, art-thérapie (dessin, peinture), psychothérapie, psychogénéalogie, à l'hypnose présentée à l'enfant sous forme de jeu magique... Dans son livre : « L'auto suggestion », Emile Coué consacre un chapitre aux enfants et à certains défauts dont ils souffrent et dont l'entourage familial pâtit lui aussi. Après avoir expliqué à l'enfant, avec des mots adaptés à son âge, les bienfaits, dans son intérêt et celui de la famille, de la démarche que l'on souhaite mettre en oeuvre et après avoir obtenu son accord, la méthode consiste, pendant son premier sommeil à lui donner des suggestions à mi-voix, à une certaine distance de son lit. Son subconscient imprégné par celles-ci manifestera à plus ou moins brève échéance, un comportement nouveau, plus posé, plus calme, en conformité avec l'objectif recherché. Les sports à conseiller dans l'état d'hyperactivité sont ceux qui tendent à canaliser la dispersion anarchique de l'énergie ou à la défouler : karaté, kwendo, judo... ou d'autres arts martiaux, ainsi que la boxe anglaise ou française. La natation, de par le contact sédatif de l'eau qui se conjugue à l'extension apaisante du rachis (stretching aquatique), est conseillée.
Claude Pradel. CONTACT
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