Elargissement
de la notion de désinformation, l'objet unique
de
la recherche
existentielle
de Vladimir Volkoff. Texte de Michel Dakar, chercheur
autonome en politique globale, Villequier, le 24 décembre
2017. http://www.aredam.net/elargissement-de-la-notion-de-desinformation-l-objet-unique-de-la-recherche-existentielle-de-vladimir-volkoff.html
1
- L'origine de la désinformation.
L'origine de
la désinformation est l'apparition du langage humain.
La conclusion de la recherche de Noam Chomsky, qui est que
toutes les langues humaines ont un tronc commun, est erronée.
Ce qui est commun à toutes les langues humaines est la
désinformation. La désinformation est la
structure, la trame de l'étoffe du langage. Sans
désinformation pas d'étoffe du langage, pas de
langage humain.
2 - Qu'est-ce
que la désinformation.
Vladimir Volkoff, que je
considère comme l'un des jalons dans la voie de la
dissipation du brouillard du mensonge dans lequel baigne
l'espèce humaine depuis l'apparition du langage (avec
d'autres dont Georges Adrien
(Darien), George Orwell, Ronald David Laing), il y a quelques
millions d'années (personne ne peut dire même
approximativement quand est apparu le langage), définit
la désinformation comme l'art de placer ses propres
pensées dans l'esprit d'un ou d'autres. Il est à
relever immédiatement que l'existence de cet art n'est
possible que parce que la langage est structuré sur la
désinformation (on peut dire que désinformation
= langage humain), et que ceux qui possèdent l'art de
la désinformation ne font qu'utiliser leur sensibilité
spéciale au mensonge, soit pour le combattre (ils sont
très rares), soit pour le renforcer. L'auteur de ce
texte combat le mensonge, et communique ce texte à ceux
qui renforcent le mensonge, dans le but de les désinformer
afin qu'ils hâtent eux-mêmes leur disparition.
3
- Qu'est-ce que placer ses propres
pensées dans l'esprit d'un ou d'autres.
C'est
altérer la réalité jusqu'à la
substituer totalement par un monde imaginaire. Placer ses
propres pensées dans l'esprit d'un autre est détruire
la réalité. La désinformation est la
destruction de la réalité. Une espèce
comme celle humaine qui ne communique plus que par la
désinformation est une espèce qui ne vit plus
dans la réalité, mais dans un monde imaginaire
dont elle ne peut plus s'échapper. Cela ne peut que la
mener à son auto-destruction. La seule sortie possible
de cet univers mensonger permettant de retrouver la réalité
est l'auto-destruction de l'espèce. L'autre nom de la
réalité est la vérité. Le réel
est vrai. L'imaginaire est mensonge, désinformation.
4
- La plus
ancienne institution de la désinformation et ce qu'elle
révèle des origines de la désinformation.
Cette
institution est la
religion. On peut dire que religion =
désinformation. On peut dire que la religion est donc
apparue avec le langage qui est désinformation, que
langage est religion ou religion est langage, et que
désinformation, langage et religion sont une chose
unique. Le plus ancien corpus religieux est celui du
proche-orient, dont les avatars encore actifs sont le judaïsme
et ses dérivés, le christianisme et
l'islam.
L'iconographie chrétienne renseigne sur
le passage de la réalité au mensonge qu'a connu
l'espèce humaine. Cette iconographie illustre la torah,
le livre des juifs. L'image du paradis, de l'espèce
chassée du paradis pour cause de mensonge (le serpent
étant le symbole du mensonge, par sa langue bifide,
séparée en deux), retrace le passage d'une
époque où l'espèce humaine vivait en
symbiose dans le monde, ce que les écologistes nomment
la coévolution, ou les politologues la coexistence. Il
apparaît là l'élément primordial de
l'art de la désinformation, qui est l'inversion. En
effet, ce qui est décrit comme le vecteur du mensonge
est le serpent. Le serpent symbolise
le monde animal, ou encore de façon plus globale, la
vie symbiotique de l'espèce humaine. C'est cette vie
symbiotique qui est désignée comme étant
le mal, le mensonge, la désinformation, la cause du
malheur et de l'état de souffrance propre à
l'humanité, alors que c'est
l'apparition du langage qui est désinformation,
religion, qui est en réalité la cause du malheur
et de l'état de souffrance propre à l'humanité
et que ne connaissent pas les autres formes de la vie. On
pourrait en venir à penser que le langage est apparu
chez une espèce inadéquate, ou encore trop tôt
chez cette espèce.
5 -
La plus récente
institution de la désinformation et ce
qu'elle révèle des origines de la
désinformation.
Cette institution est la
paléoanthropologie et la préhistoire, soit la
science des origines de l'espèce humaine. Elle révèle
comme pour la religion le principe primordial de l'art de la
désinformation qui est l'inversion. Extrait du livre de
Pascal Picq, Lucy et l'obscurantisme, page 219, titre :
« La fabuleuse histoire des hominoïdes ».
Qualifier de fabuleux l'itinéraire d'une
espèce de cauchemar, en passe de
détruire toutes les formes de vie sur sa planète
originelle et elle-même (l'unique forme de vie
apparue sur Terre en passe de réaliser
le biocide intégral terrestre, et que Picq qualifie de
fabuleuse! … espèce représentée
dans le film de Ridley Scott, Alien,
par ce monstre extraterrestre qui n'est que la projection de
l'être humain, monstre qui va anéantir tous les
membres de l'équipage du Nostromo (nous autres)), dont
l'histoire n'est qu'une lassante narration répétitive
et sans surprise de massacres, de vices et
de peines, est typique du procédé primordial de
l'art de la désinformation : l'inversion. On peut
voir là que religion et science sont deux aspects d'un
même art, celui de la désinformation. Toutefois,
ce livre d'un scientifique qui n'est qu'une opposition en
miroir de la religion, soit un acte de concurrence entre deux
secteurs rivaux dans la désinformation, révèle
à son chapitre « L'évolution des
primates et des singes », page 213 à 219,
cet état de symbiose entre les formes de vie
directement pré-humaines et leur milieu arboricole, les
arbres dépendant des pré-humains pour leur
survie, et vice-versa, au point qu'on pourrait parler
d'une forme de vie unique, primates ou singes
et arbres.
Ce livre révèle un autre
élément fondamental de la désinformation
de la science de la préhistoire et de la
paléoanthropologie, par le qualificatif de « primate »,
qui signifie « premier », premier dans
l'échelle de valeurs des formes de vie, la plus
évoluée. Nous sommes encore là devant la
manifestation de la pierre de touche de l'art de la
désinformation, l'inversion, le mal devenant le bien,
le jour la nuit, le criminel la victime et la victime le
criminel, la réalité le mensonge, la dernière
des formes de vie, l'unique intrinsèquement nuisible
destructrice d'elle-même et des autres formes de vie,
devenant la première (primate). Quant à
l'actuelle dénomination de l'espèce humaine homo
sapiens sapiens (sapiens signifiant sage, sensé,
intelligent) … Comme s'il pouvait exister une seule
forme de vie qui ne soit pas intelligente, sage et sensée
… Il y a quand même un sérieux problème
avec les primates du genre homo, et que la catégorie
« sensée » ne veut pas regarder
en face. Nous sommes atteints de la maladie du singe. Il a
visiblement très mal supporté sa descente sur
terre. Il rêve toujours de sa vie dans les feuillages,
et son orgueil n'est que dérisoire compensation. En
effet, nul ne sait le cheminement exact des formes de vie
directement pré-humaines entre la vie symbiotique avec
les grandes plantes que sont les arbres, et la vie au sol que
les désinformateurs que sont les paléoanthropologues
caractérisent par la bipédie, comme nul ne sait
à quel moment est apparu sans doute graduellement le
langage. On peut simplement faire le lien entre perte de la
symbiose - langage ou désinformation -
destructivité.
6 - Comment maximaliser de
façon absolue l'art de la désinformation.
Ce
passage devrait intéresser les officines néfastes
vendant de la désinformation « clés
en main », les services dits secrets étatiques
étant de plus en plus supplantés par des
officines privées à but lucratif, en charge de
la destruction psychique de pans entiers de l'humanité.
Seul
ceux qui aiment la vie à travers toutes ses formes,
animales, végétales et autres, ainsi que la
forme de vie humaine à ses premiers stades quand elle
est encore intègre (jusqu'à environ deux ans),
savent où taper pour détruire de façon
absolue la psychée humaine, ce qui est l'objectif de
tous les pouvoirs planétaires humains en place. Tout
comme le fœtus passe par tous les stades de l'évolution
des espèces ayant précédé
l'humain, l'enfant humain passe par les différents
stades de l'évolution des espèces ayant précédé
l'humain. Avant environ deux ans, le petit humain se comporte
quasiment comme les formes de vie non-humaines, symbiotiques.
C'est avant deux ans que les officines doivent intervenir,
soit pendant la période du psychisme symbiotique, car
après c'est trop tard, il restera toujours enfoui même
chez les plus veules et soumis à la propagande des
pouvoirs, un fond de réalisme qui ne demande qu'à
s'éveiller. C'est la destruction de la « sensibilité
symbiotique » qu'il faut viser. C'est ce que la
torah des juifs, la bible des chrétiens et le coran des
musulmans d'une certaine manière, dénomment le
« péché originel ». Le
nerf du mal à extirper est le sens symbiotique qui
existe dans toutes les formes de vie, depuis les plus petites,
virus, bactéries, en passant par les plus statiques,
les plantes, les arbres, aux plus grosses et mobiles, les
insectes et animaux. Mais pour être encore plus global,
se sens symbiotique appartient à ce que les anciens
chinois dénommaient le QI (tchi), et les anciens
indiens l'énergie cosmique. Tout est vie, intelligence.
Il n'y a pas d'un côté la matière morte et
de l'autre la vie, la pensée, comme le voient les gens
du Livre. Le tao yin chinois et l'ayurveda indien s'emploient
à raviver ce sens symbiotique, à réintégrer
l'humain dans l'univers, à le réinsérer
dans le flux de vie.
Voilà le grand chantier du
21ème siècle pour les officines spécialisées
dans la destructivité, celle de l'appareil psychique
des moins de deux ans. Et qu'on ne vienne pas jouer les
vierges effarouchées, tous les pays occidentaux, les
israéliens, les russes et d'autres qu'on ignore, ne se
gènent pas pour expérimenter de toutes les
façons possibles les manières de dégrader
et de détruire la vie et se servent pour cela de
cobayes humains.
7 - Etat des connaissances en
sciences de l'esprit.
Ce qu'on dénomme les
sciences de l'esprit, psychologie, psychiatrie et la
fumisterie dénommée psychanalyse, ignorent la
désinformation qui est la trame du tissu humain
psychique, et peuvent être considérées
comme des organes de désinformation, à l'instar
de la religion et des sciences de l'homme telle la
paléoanthropologie.
La fumisterie dénommée
psychanalyse permet de mettre en évidence un domaine où
devrait se diriger les officines spécialisées
dans la destruction de la psychée humaine et du sens
symbiotique. Ce domaine est celui des rêves. Les rêves
sont produits par le travail de restitution du réel par
l'esprit pendant le sommeil. Il s'agit d'une lutte entre le
sens symbiotique profond existant en chacun de nous, ce sens
dirigeant l'esprit vers la réalité, et le
mensonge ambiant global normal qui s'oppose à la
réalité, ainsi que le mensonge spécifique
que porte tout individu (à travers son histoire
personnelle, son environnement familial). Les rêves sont
le fruit de l'effort d'extirpation du mensonge.
8 -
Conclusions.
8 - 1 Les officines de la mort de la
psychée humaine doivent donc travailler sur les enfants
de moins de deux ans, sur les rêves, sur le langage, sur
les connaissances antiques chinoises et indiennes portant sur
l'énergie (le QI en chinois). Ces officines de la mort
de l'esprit pourraient avantageusement visionner le
documentaire de Pan Nalin, Ayurveda de 2001, vers sa 39ème
minutes. Des techniques de blocages de la circulation de
l'énergie vitale ont été élaborées
par les anciens chinois et indiens. Or, l'énergie
vitale et le sens symbiotique sont étroitement
articulés. Je ne doute pas que le 21ème siècle
verra la mise au point de techniques permettant à
l'instar des dentistes, de dévitaliser l'être
humain, ce qui est le rêve de tout pouvoir et de ses
officines spécialisées. Le sens symbiotique est
ce qui relie tout ce qui est, l'existant étant un état
de symbiose. Gregory Bateson est l'un des premiers à
l'avoir formulé dans son livre : La nature et la
pensée - Vers une écologie de l'esprit.
8
- 2 Il faut retenir que langage et pensée sont une
chose unique, et que la trame du tissu du langage humain étant
la désinformation, la trame du tissu de la pensée
est aussi désinformation, que notre mode de pensée
est donc intrinsèquement générateur de
désinformation, ce qui explique que la population soit
si réceptive à toute désinformation. Il
faut aussi ne pas omettre que tout désinformateur est
partie intégrante du processus de désinformation,
qu'il est lui-même à la fois le poison et
l'empoisonné, et que le type d'individu qui œuvre
dans ces officines n'existe que dans un univers fantasmé
totalement clos et qu'il a rompu radicalement et
définitivement avec la réalité.
8
- 3 Aucun des mouvements politique d'instauration d'un ordre
viable de type symbiotique, qui est l'ordre naturel, tels
l'anarchie et le socialisme, issus des premiers « niveleurs »
anglais du 17ème siècle, et des « égaux »
du révolutionnaire français Gracchus Babeuf du
18ème siècle, n'avaient conscience que leur
propre mode de penser et leur langage était eux-mêmes
générateurs de désinformation, et que
sans cette prise en compte, ils ne pouvaient que reconduire
l'ordre ancien. Il en est de même du mouvement Taiping
chinois du 19ème siècle, et des mouvements
socialistes russe et chinois du 20ème siècle.
8
- 4 Le problème de fond de l'espèce humaine : la
fondation d'un ordre égalitaire
socio-politique. L'unique aspect qui différencie les
animaux dénommés comme tels (animaux-animaux)
par les animaux dits par eux-mêmes humains
(animaux-animaux-humains), est que la hiérarchie chez
les animaux-animaux est à chaque instant remise en
question. La seule espèce animale où la
hiérarchie immuable est intériorisée par
ses membres est celle des animaux-animaux-humains. Ce travail
d'intériorisation est effectué par le moyen du
langage. Cette intériorisation est donc probablement
apparue avec l'apparition du langage. L'immobilisme
hiérarchique n'est pas naturel. Mais il fallait
justifier, faire paraître logique (de logos, parole en
grec), l'immobilité hiérarchique. La
désinformation a été donc inhérente
au langage dit humain. Langage dit humain et désinformation,
ou autrement possiblement dénommée illogisme, se
sont inextriquablement entremélés, au point de
pouvoir énoncer que langage humain est désinformation,
et que le mental de l'animal-animal-humain est
structurellement illogique, mensonger, manipulateur.
L'illogisme est un non-langage, la désinformation est
un illogisme, la désinformation est un non-langage, qui
se fabrique l'apparence du langage. La religion est
l'institution de la non-langue humaine. L'espèce
animale-animale-humaine est la seule espèce animale qui
ne communique pas. Au fond, l'espèce
animale-animale-humaine a perdu sa capacité au langage,
en quittant sa vie arboricole. On peut se rendre compte
simplement par l'observation, que l'ordre égalitaire
est naturel, car ce type d'ordre a permis l'existence des
espèces, jusqu'à l'évolution à
l'espèce animale-animale-humaine. Chez les
animaux-animaux, la hiérarchie est mobile et ne sert
qu'à la bonne organisation du groupe et à la
sauvegarde de chacun des individus. Tous les membres d'un
groupe animal accèdent aux ressources vitales selon
leurs besoins. Il n'y a pas de classes dans les troupeaux, et
de catégories d'animaux sous-alimentées jouxtant
des catégories bien ou suralimentées. Il n'y a
que chez les animaux-animaux-humains que cela se produit.
Tout le travail de fond de l'animal-animal-humain est de
regagner l'ordre égalitaire. Soit
l'animal-animal-humain regagnera l'ordre égalitaire et
il survivra, soit il disparaîtra. Le mensonge se
perpétue par les institutions de l'inégalité,
dont la plus ancienne est la religion, laquelle n'est que la
matérialisation du verbe mentir. Mentir est un
non-verbe, le Livre (des dits trois monothéismes) est
un non-livre, perpétuant une non-communication par une
non-langue. La fameuse « novlangue » du
1984 d'Orwell est une non-langue. L'ordre inégalitaire
est non-viable et on commence à ne plus pouvoir se
masquer cette évidence malgré les efforts
gigantesques pour ne pas la constater. Seul l'ordre égalitaire
est viable et cet ordre doit englober l'animal-animal-humain
et ses rapports avec l'ensemble de la vie.
L'animal-animal-humain doit laisser l'espace libre aux autres
formes de vie pour qu'elles existent, se développent,
évoluent indépendemment d'elle-même, de
façon autonome (par la création de continents
non-humains), et doit renoncer à toute domination et
exploitation de toutes formes de vie (agriculture et animaux),
et au-delà, de tout ce qu'elle considère comme
des ressources appropriables. Il faut se résoudre à
tout revoir.
Au fond, l'espèce
animale-animale-humaine doit réapprendre à
parler, à penser, à être. Elle a perdu
jusqu'à sa capacité à être. Elle
n'a plus sa place dans l'univers.
9 - Documents
de désinformation récents en
rapport avec le texte :
Article :
« Comment
une cellule secrète de Facebook manipule les opinions
publiques » de Shelley Kasli, paru le 28 décembre
2017 sur internet à l'adresse suivante :
http://www.voltairenet.org/article199197.html
. Shelley Kasli est de façon non-équivoque un
agent de désinformation indien au service des russes
ou/et des chinois. Toutefois, son travail de désinformation
mérite d'être exploré car renfermant de
nombreuses informations. De plus, il travaille pour la
sauvegarde de son propre peuple, et assure le renforcement de
l'équilibre entre les puissances destructrices opérant
sur la planète, équilibre qui pour le moment
interdit que l'une d'entre elles l'emporte et instaure un
cauchemar planétaire définitvement sans issue,
ce qui est l'objectif ouvertement proclamé de l'axe
Israël-US avec Jérusalem comme
centre planétaire.
Page 37 du numéro
week-end du Parisien reproduite en annexe : « Facebook
atteint les 2 milliards d'utilisateurs », avec la
photographie de l'abject Mark Zuckenberg, « cofondateur
du réseau social n°1 », l'autre
cofondateur, le vrai et unique étant
certains services spéciaux
israélo-US (ceux du 11/9/2011?). Mark Zuckenberg est
programmé, comme la bonne marionnette qu'il est, par
les services israélo-US, comme future président
des USA, à l'instar de ce qu'était
Obama.
Livre :
« La face cachée
du pape François », de Paul Ariès,
2016, éditions Max Milo. Paul Ariès dénonce
le catholicisme, et secondairement évoque le
protestantisme et l'islam. Sa zone
aveugle (glaucome idéologique ?) est le judaïsme
et sa concrétisation politique
le sionisme, alors que les deux sont
incontournables en
Occident et par là sur toute
la planète. Il est « ami »
des Femens et des « Je suis Charlie »,
deux faits de manipulations des services spéciaux de
l'axe Israël-US. On peut en déduire sans grands
risques d'erreurs, qu'il est un agent en France du conglomérat
Soros, en charge de désintégrer la cohésion
des pays européens, afin de permettre la prise de
guerre des richesses européennes. L'Ariès, le
missile de croisière furtif
issu des ateliers israélo-US, est une arme
psychologique dans la guerre menée par l'axe Israël-US
contre les pays européens pour briser
ce qui leur reste d'autonomie. Toutefois, son livre de
désinformation contre le catholicisme comporte de
nombreuses informations (il faut toujours cela pour faire
passer le poison). Paul Ariès y révèle un
esprit aussi vicieux et vicié que celui des hauts
dirigeants catholiques. Ariès est un véritable
cas de manuel à étudier, et qui devrait être
proposé aux étudiants des écoles de
désinformation, comme l'est l'ouvrage bi-millénaire
du chinois Sun Tzu L'art de la guerre. Il est vrai que le
christianisme et son aspect spécifique qu'est le
catholicisme, sont particulièrement
sévère dans l'immonde.
Mais
on aurait bien aimé pour la mise en perspective, soit
une vision globale, c'est à dire réaliste, avoir
le même genre de travail
sur
la caste des
rabbins
(les non-juifs sont des animaux, c'est un devoir sacré
de les dominer, de les tromper et de les déposséder
…et
quand même, le judaïsme étant
le
moule du christianisme et de l'islam, son esprit constitue
leur squelette idéologique ; ces trois religions
ont
le même
squelette),
et pourquoi pas sur l'indouisme qui est une monstruosité
égale (ses massacreurs
fanatiques
de masse, ses 200 millions d'intouchables, ses 300
millions
de très très pauvres, ses 500
millions
de pauvres, ses femmes brulées vives … son bain
religieux omniprésent avec ses milliers de dieux et ses
brahmanes immaculés). Laissons de côté
l'islam car on n'a pas besoin de l'Ariès pour en
connaître la teneur. Il y a en effet pléthore
d'autres
missiles même pas furtifs provenant
du
même tonneau que l'Ariès pour déglinguer
cette fumisterie, le même tonneau de plus fabriquant les
« djihadistes », faisant semblant de les
combattre, organisant « leurs »
attentats dont le Charlie et autres Bataclan, et j'en passe,
et pour finir, le même tonneau sortant les Facebook,
Zuckenberg et autres Clinton, Obama et Macron.
Paul
Ariès, a contrario de Shelley Kasli, est un traître
à son propre peuple et facilite
la
conquête de la planète par l'une des puissances
concurrentes qui se la disputent (celle Israël-US),
favorisant ainsi l'instauration d'un ordre planétaire
hégémonique unique et absolu et l'entrée
de l'humanité dans un ère de cauchemar sans
issue.
Paul Ariès est un personnage
particulièrement néfaste, et ce type de
personnage doit
être
dénoncé publiquement comme criminel planétaire,
d'autant qu'il se drappe dans le politiquement correct
dominant; bienpensant, altruiste et humaniste, irréprochable,
façonné
par les idéologues trotskistes sorosiens, propagande
déversée à flots gigantesques
et
continus
sur
toute la population mondiale par l'appareil de propagande de
masse de l'axe Israël-US et qui intoxique
mentalement
maintenant des milliards d'individus.
Il est très
très en avance sur les désirs encore informulés
des
agences juives de manipulation, allant jusqu'à évoquer
dans
son livre sur le pape François, un délit pénal
spécifique d'antisémitisme (ne pas aimer les
juifs est donc un délit). Page 203 :
« L'antisémitisme
est un délit puni sévèrement par la loi :
l'auteur encours jusqu'à un an de prison et 45 000
euros d'amende. ».
Ce délit
n'existe
pas en France et même sur toute la planète. Ariès
plaçe là les juifs au-dessus des autres
catégories, qui n'ont droit toutes confondues qu'à
un article du code pénal réprimant
la
provocation à la haine raciale, et non à un
article spécifique qui de plus oblige à les
aimer (et les discrimine !). L'Ariès omet que les
populations du proche-orient, dont les arabes, dont ceux
palestiniens
qui sont les descendants des indigènes originels de
Palestine (descendants des vrais juifs eux !),
Palestine dénommée actuellement Israël,
sont des sémites, révélant
par
là son mépris pour les arabes, son soutien larvé
à l'entité raciste israélienne,
et
donc son racisme global sous-jacent. Triste personnage qui
mérite bien sa médaille du « juste »
(juste = trop court, étroit ; dictionnaire Le
Robert ).
Sans
compter que
pour
les vrais
intellectuels
le
terme de sémite ne recouvre
qu'un
type de langue et n'a rien à faire avec l'ethnie, la
race, la religion
et
autres fadaises. L'auteur de ce texte, par exemple, est
descendant des vrais sémites. Dans sa région de
naissance est encore parlé l'antique langue araméenne,
la langue parlée par le juif Jésus Christ.
L'hébreu était la langue liturgique comme
l'actuel latin. Cela, le grand intello Ariès s'en
contrefiche. L'araméen, langue sémite, était
aussi la langue internationale
utilisée
pour les échanges entre puissances, dont l'Egypte,
celles
de
Mésopotamie, du plateau iranien, du nord syrien dans
l'actuelle
Turquie, les grecques
et
la phénicienne.
L'unique voie politique qu'il
est possible de suivre pour l'instant vers l'instauration
planétaire d'un ordre égalitaire est de soutenir
l'équilibre
des forces
des
monstruosités
qui
se disputent la planète (principalement israélo-US,
russe, chinoise ;
l'Inde étant une colonie israélo-US, comme
l'Europe (grâce aux Ariès), l'Afrique et
l'Amérique du Sud étant partagés). Quand
ces monstruosités
se
dévorent
entre
elles, la vie continue et tout reste possible. Si l'une
l'emporte, alors il vaut mieux se suicider ou la guerre
atomique.
10
- Annonce du prochain texte :
Le tao yin chinois ;
ses implications et ses applications
politiques.
http://www.aredam.net/le-tao-yin-chinois-ses-implications-ses-applications-politiques.html
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