Elargissement de la notion de désinformation, l'objet unique de la recherche existentielle de Vladimir Volkoff.
Texte de Michel Dakar, chercheur autonome en politique globale, Villequier, le 24 décembre 2017.
http://www.aredam.net/elargissement-de-la-notion-de-desinformation-l-objet-unique-de-la-recherche-existentielle-de-vladimir-volkoff.html





1 - L'origine de la désinformation.

L'origine de la désinformation est l'apparition du langage humain. La conclusion de la recherche de Noam Chomsky, qui est que toutes les langues humaines ont un tronc commun, est erronée. Ce qui est commun à toutes les langues humaines est la désinformation. La désinformation est la structure, la trame de l'étoffe du langage. Sans désinformation pas d'étoffe du langage, pas de langage humain.


2 -
Qu'est-ce que la désinformation.

Vladimir Volkoff, que je considère comme l'un des jalons dans la voie de la dissipation du brouillard du mensonge dans lequel baigne l'espèce humaine depuis l'apparition du langage (avec d'autres dont Georges
Adrien (Darien), George Orwell, Ronald David Laing), il y a quelques millions d'années (personne ne peut dire même approximativement quand est apparu le langage), définit la désinformation comme l'art de placer ses propres pensées dans l'esprit d'un ou d'autres. Il est à relever immédiatement que l'existence de cet art n'est possible que parce que la langage est structuré sur la désinformation (on peut dire que désinformation = langage humain), et que ceux qui possèdent l'art de la désinformation ne font qu'utiliser leur sensibilité spéciale au mensonge, soit pour le combattre (ils sont très rares), soit pour le renforcer. L'auteur de ce texte combat le mensonge, et communique ce texte à ceux qui renforcent le mensonge, dans le but de les désinformer afin qu'ils hâtent eux-mêmes leur disparition.


3 -
Qu'est-ce que placer ses propres pensées dans l'esprit d'un ou d'autres.

C'est altérer la réalité jusqu'à la substituer totalement par un monde imaginaire. Placer ses propres pensées dans l'esprit d'un autre est détruire la réalité. La désinformation est la destruction de la réalité. Une espèce comme celle humaine qui ne communique plus que par la désinformation est une espèce qui ne vit plus dans la réalité, mais dans un monde imaginaire dont elle ne peut plus s'échapper. Cela ne peut que la mener à son auto-destruction. La seule sortie possible de cet univers mensonger permettant de retrouver la réalité est l'auto-destruction de l'espèce. L'autre nom de la réalité est la vérité. Le réel est vrai. L'imaginaire est mensonge, désinformation.


4 -
La plus ancienne institution de la désinformation et ce qu'elle révèle des origines de la désinformation.

Cette
institution est la religion. On peut dire que religion = désinformation. On peut dire que la religion est donc apparue avec le langage qui est désinformation, que langage est religion ou religion est langage, et que désinformation, langage et religion sont une chose unique. Le plus ancien corpus religieux est celui du proche-orient, dont les avatars encore actifs sont le judaïsme et ses dérivés, le christianisme et l'islam.

L'iconographie chrétienne renseigne sur le passage de la réalité au mensonge qu'a connu l'espèce humaine. Cette iconographie illustre la torah, le livre des juifs. L'image du paradis, de l'espèce chassée du paradis pour cause de mensonge (le serpent étant le symbole du mensonge, par sa langue bifide, séparée en deux), retrace le passage d'une époque où l'espèce humaine vivait en symbiose dans le monde, ce que les écologistes nomment la coévolution, ou les politologues la coexistence. Il apparaît là l'élément primordial de l'art de la désinformation, qui est l'inversion. En effet, ce qui est décrit comme le vecteur du mensonge est le serpent. Le serpent
symbolise le monde animal, ou encore de façon plus globale, la vie symbiotique de l'espèce humaine. C'est cette vie symbiotique qui est désignée comme étant le mal, le mensonge, la désinformation, la cause du malheur et de l'état de souffrance propre à l'humanité, alors que c'est l'apparition du langage qui est désinformation, religion, qui est en réalité la cause du malheur et de l'état de souffrance propre à l'humanité et que ne connaissent pas les autres formes de la vie. On pourrait en venir à penser que le langage est apparu chez une espèce inadéquate, ou encore trop tôt chez cette espèce.


5
- La plus récente institution de la désinformation et ce qu'elle révèle des origines de la désinformation.

Cette institution est la paléoanthropologie et la préhistoire, soit la science des origines de l'espèce humaine. Elle révèle comme pour la religion le principe primordial de l'art de la désinformation qui est l'inversion. Extrait du livre de Pascal Picq, Lucy et l'obscurantisme, page 219, titre : « La fabuleuse histoire des hominoïdes ». Qualifier de fabuleux l'itinéraire d'une
espèce de cauchemar, en passe de détruire toutes les formes de vie sur sa planète originelle et elle-même (l'unique forme de vie apparue sur Terre en passe de réaliser le biocide intégral terrestre, et que Picq qualifie de fabuleuse! … espèce représentée dans le film de Ridley Scott, Alien, par ce monstre extraterrestre qui n'est que la projection de l'être humain, monstre qui va anéantir tous les membres de l'équipage du Nostromo (nous autres)), dont l'histoire n'est qu'une lassante narration répétitive et sans surprise de massacres, de vices et de peines, est typique du procédé primordial de l'art de la désinformation : l'inversion. On peut voir là que religion et science sont deux aspects d'un même art, celui de la désinformation. Toutefois, ce livre d'un scientifique qui n'est qu'une opposition en miroir de la religion, soit un acte de concurrence entre deux secteurs rivaux dans la désinformation, révèle à son chapitre « L'évolution des primates et des singes », page 213 à 219, cet état de symbiose entre les formes de vie directement pré-humaines et leur milieu arboricole, les arbres dépendant des pré-humains pour leur survie, et vice-versa, au point qu'on pourrait parler d'une forme de vie unique, primates ou singes et arbres.

Ce livre révèle un autre élément fondamental de la désinformation de la science de la préhistoire et de la paléoanthropologie, par le qualificatif de « primate », qui signifie « premier », premier dans l'échelle de valeurs des formes de vie, la plus évoluée. Nous sommes encore là devant la manifestation de la pierre de touche de l'art de la désinformation, l'inversion, le mal devenant le bien, le jour la nuit, le criminel la victime et la victime le criminel, la réalité le mensonge, la dernière des formes de vie, l'unique intrinsèquement nuisible destructrice d'elle-même et des autres formes de vie, devenant la première (primate). Quant à l'actuelle dénomination de l'espèce humaine homo sapiens sapiens (sapiens signifiant sage, sensé, intelligent) … Comme s'il pouvait exister une seule forme de vie qui ne soit pas intelligente, sage et sensée … Il y a quand même un sérieux problème avec les primates du genre homo, et que la catégorie « sensée » ne veut pas regarder en face. Nous sommes atteints de la maladie du singe. Il a visiblement très mal supporté sa descente sur terre. Il rêve toujours de sa vie dans les feuillages, et son orgueil n'est que dérisoire compensation. En effet, nul ne sait le cheminement exact des formes de vie directement pré-humaines entre la vie symbiotique avec les grandes plantes que sont les arbres, et la vie au sol que les désinformateurs que sont les paléoanthropologues caractérisent par la bipédie, comme nul ne sait à quel moment est apparu sans doute graduellement le langage. On peut simplement faire le lien entre perte de la symbiose - langage ou désinformation - destructivité.


6 - Comment maximaliser de façon absolue l'art de la désinformation.

Ce passage devrait intéresser les officines néfastes vendant de la désinformation « clés en main », les services dits secrets étatiques étant de plus en plus supplantés par des officines privées à but lucratif, en charge de la destruction psychique de pans entiers de l'humanité.

Seul ceux qui aiment la vie à travers toutes ses formes, animales, végétales et autres, ainsi que la forme de vie humaine à ses premiers stades quand elle est encore intègre (jusqu'à environ deux ans), savent où taper pour détruire de façon absolue la psychée humaine, ce qui est l'objectif de tous les pouvoirs planétaires humains en place. Tout comme le fœtus passe par tous les stades de l'évolution des espèces ayant précédé l'humain, l'enfant humain passe par les différents stades de l'évolution des espèces ayant précédé l'humain. Avant environ deux ans, le petit humain se comporte quasiment comme les formes de vie non-humaines, symbiotiques. C'est avant deux ans que les officines doivent intervenir, soit pendant la période du psychisme symbiotique, car après c'est trop tard, il restera toujours enfoui même chez les plus veules et soumis à la propagande des pouvoirs, un fond de réalisme qui ne demande qu'à s'éveiller. C'est la destruction de la « sensibilité symbiotique » qu'il faut viser. C'est ce que la torah des juifs, la bible des chrétiens et le coran des musulmans d'une certaine manière, dénomment le « péché originel ». Le nerf du mal à extirper est le sens symbiotique qui existe dans toutes les formes de vie, depuis les plus petites, virus, bactéries, en passant par les plus statiques, les plantes, les arbres, aux plus grosses et mobiles, les insectes et animaux. Mais pour être encore plus global, se sens symbiotique appartient à ce que les anciens chinois dénommaient le QI (tchi), et les anciens indiens l'énergie cosmique. Tout est vie, intelligence. Il n'y a pas d'un côté la matière morte et de l'autre la vie, la pensée, comme le voient les gens du Livre. Le tao yin chinois et l'ayurveda indien s'emploient à raviver ce sens symbiotique, à réintégrer l'humain dans l'univers, à le réinsérer dans le flux de vie.

Voilà le grand chantier du 21ème siècle pour les officines spécialisées dans la destructivité, celle de l'appareil psychique des moins de deux ans. Et qu'on ne vienne pas jouer les vierges effarouchées, tous les pays occidentaux, les israéliens, les russes et d'autres qu'on ignore, ne se gènent pas pour expérimenter de toutes les façons possibles les manières de dégrader et de détruire la vie et se servent pour cela de cobayes humains.


7 - Etat des connaissances en sciences de l'esprit.

Ce qu'on dénomme les sciences de l'esprit, psychologie, psychiatrie et la fumisterie dénommée psychanalyse, ignorent la désinformation qui est la trame du tissu humain psychique, et peuvent être considérées comme des organes de désinformation, à l'instar de la religion et des sciences de l'homme telle la paléoanthropologie.

La fumisterie dénommée psychanalyse permet de mettre en évidence un domaine où devrait se diriger les officines spécialisées dans la destruction de la psychée humaine et du sens symbiotique. Ce domaine est celui des rêves. Les rêves sont produits par le travail de restitution du réel par l'esprit pendant le sommeil. Il s'agit d'une lutte entre le sens symbiotique profond existant en chacun de nous, ce sens dirigeant l'esprit vers la réalité, et le mensonge ambiant global normal qui s'oppose à la réalité, ainsi que le mensonge spécifique que porte tout individu (à travers son histoire personnelle, son environnement familial). Les rêves sont le fruit de l'effort d'extirpation du mensonge.


8 - Conclusions.

8 - 1 Les officines de la mort de la psychée humaine doivent donc travailler sur les enfants de moins de deux ans, sur les rêves, sur le langage, sur les connaissances antiques chinoises et indiennes portant sur l'énergie (le QI en chinois). Ces officines de la mort de l'esprit pourraient avantageusement visionner le documentaire de Pan Nalin, Ayurveda de 2001, vers sa 39ème minutes. Des techniques de blocages de la circulation de l'énergie vitale ont été élaborées par les anciens chinois et indiens. Or, l'énergie vitale et le sens symbiotique sont étroitement articulés. Je ne doute pas que le 21ème siècle verra la mise au point de techniques permettant à l'instar des dentistes, de dévitaliser l'être humain, ce qui est le rêve de tout pouvoir et de ses officines spécialisées. Le sens symbiotique est ce qui relie tout ce qui est, l'existant étant un état de symbiose. Gregory Bateson est l'un des premiers à l'avoir formulé dans son livre : La nature et la pensée - Vers une écologie de l'esprit.

8 - 2 Il faut retenir que langage et pensée sont une chose unique, et que la trame du tissu du langage humain étant la désinformation, la trame du tissu de la pensée est aussi désinformation, que notre mode de pensée est donc intrinsèquement générateur de désinformation, ce qui explique que la population soit si réceptive à toute désinformation. Il faut aussi ne pas omettre que tout désinformateur est partie intégrante du processus de désinformation, qu'il est lui-même à la fois le poison et l'empoisonné, et que le type d'individu qui œuvre dans ces officines n'existe que dans un univers fantasmé totalement clos et qu'il a rompu radicalement et définitivement avec la réalité.

8 - 3 Aucun des mouvements politique d'instauration d'un ordre viable de type symbiotique, qui est l'ordre naturel, tels l'anarchie et le socialisme, issus des premiers « niveleurs » anglais du 17ème siècle, et des « égaux » du révolutionnaire français Gracchus Babeuf du 18ème siècle, n'avaient conscience que leur propre mode de penser et leur langage était eux-mêmes générateurs de désinformation, et que sans cette prise en compte, ils ne pouvaient que reconduire l'ordre ancien. Il en est de même du mouvement Taiping chinois du 19ème siècle, et des mouvements socialistes russe et chinois du 20ème siècle.

8 - 4 Le problème de fond de l'espèce humaine : la fondation d'un ordre égalitaire socio-politique.
L'unique aspect qui différencie les animaux dénommés comme tels (animaux-animaux) par les animaux dits par eux-mêmes humains (animaux-animaux-humains), est que la hiérarchie chez les animaux-animaux est à chaque instant remise en question. La seule espèce animale où la hiérarchie immuable est intériorisée par ses membres est celle des animaux-animaux-humains. Ce travail d'intériorisation est effectué par le moyen du langage. Cette intériorisation est donc probablement apparue avec l'apparition du langage. L'immobilisme hiérarchique n'est pas naturel. Mais il fallait justifier, faire paraître logique (de logos, parole en grec), l'immobilité hiérarchique. La désinformation a été donc inhérente au langage dit humain. Langage dit humain et désinformation, ou autrement possiblement dénommée illogisme, se sont inextriquablement entremélés, au point de pouvoir énoncer que langage humain est désinformation, et que le mental de l'animal-animal-humain est structurellement illogique, mensonger, manipulateur. L'illogisme est un non-langage, la désinformation est un illogisme, la désinformation est un non-langage, qui se fabrique l'apparence du langage. La religion est l'institution de la non-langue humaine. L'espèce animale-animale-humaine est la seule espèce animale qui ne communique pas. Au fond, l'espèce animale-animale-humaine a perdu sa capacité au langage, en quittant sa vie arboricole.
On peut se rendre compte simplement par l'observation, que l'ordre égalitaire est naturel, car ce type d'ordre a permis l'existence des espèces, jusqu'à l'évolution à l'espèce animale-animale-humaine. Chez les animaux-animaux, la hiérarchie est mobile et ne sert qu'à la bonne organisation du groupe et à la sauvegarde de chacun des individus. Tous les membres d'un groupe animal accèdent aux ressources vitales selon leurs besoins. Il n'y a pas de classes dans les troupeaux, et de catégories d'animaux sous-alimentées jouxtant des catégories bien ou suralimentées. Il n'y a que chez les animaux-animaux-humains que cela se produit.
Tout le travail de fond de l'animal-animal-humain est de regagner l'ordre égalitaire. Soit l'animal-animal-humain regagnera l'ordre égalitaire et il survivra, soit il disparaîtra. Le mensonge se perpétue par les institutions de l'inégalité, dont la plus ancienne est la religion, laquelle n'est que la matérialisation du verbe mentir. Mentir est un non-verbe, le Livre (des dits trois monothéismes) est un non-livre, perpétuant une non-communication par une non-langue. La fameuse « novlangue » du 1984 d'Orwell est une non-langue. L'ordre inégalitaire est non-viable et on commence à ne plus pouvoir se masquer cette évidence malgré les efforts gigantesques pour ne pas la constater. Seul l'ordre égalitaire est viable et cet ordre doit englober l'animal-animal-humain et ses rapports avec l'ensemble de la vie. L'animal-animal-humain doit laisser l'espace libre aux autres formes de vie pour qu'elles existent, se développent, évoluent indépendemment d'elle-même, de façon autonome (par la création de continents non-humains), et doit renoncer à toute domination et exploitation de toutes formes de vie (agriculture et animaux), et au-delà, de tout ce qu'elle considère comme des ressources appropriables. Il faut se résoudre à tout revoir.

Au fond, l'espèce animale-animale-humaine doit réapprendre à parler, à penser, à être. Elle a perdu jusqu'à sa capacité à être. Elle n'a plus sa place dans l'univers.


9 - Documents
de désinformation récents en rapport avec le texte :

Article :

« Comment une cellule secrète de Facebook manipule les opinions publiques » de Shelley Kasli, paru le 28 décembre 2017 sur internet à l'adresse suivante :
http://www.voltairenet.org/article199197.html .
Shelley Kasli est de façon non-équivoque un agent de désinformation indien au service des russes ou/et des chinois. Toutefois, son travail de désinformation mérite d'être exploré car renfermant de nombreuses informations. De plus, il travaille pour la sauvegarde de son propre peuple, et assure le renforcement de l'équilibre entre les puissances destructrices opérant sur la planète, équilibre qui pour le moment interdit que l'une d'entre elles l'emporte et instaure un cauchemar planétaire définitvement sans issue, ce qui est l'objectif ouvertement proclamé de l'axe
Israël-US avec Jérusalem comme centre planétaire.

Page 37 du numéro week-end du Parisien reproduite en annexe : « Facebook atteint les 2 milliards d'utilisateurs », avec la photographie de l'abject Mark Zuckenberg, « cofondateur du réseau social n°1 », l'autre cofondateur, le vrai et unique
étant certains services spéciaux israélo-US (ceux du 11/9/2011?). Mark Zuckenberg est programmé, comme la bonne marionnette qu'il est, par les services israélo-US, comme future président des USA, à l'instar de ce qu'était Obama.

Livre :

« La face cachée du pape François », de Paul Ariès, 2016, éditions Max Milo. Paul Ariès dénonce le catholicisme, et secondairement évoque le protestantisme et
l'islam. Sa zone aveugle (glaucome idéologique ?) est le judaïsme et sa concrétisation politique le sionisme, alors que les deux sont incontournables en Occident et par là sur toute la planète. Il est « ami » des Femens et des « Je suis Charlie », deux faits de manipulations des services spéciaux de l'axe Israël-US. On peut en déduire sans grands risques d'erreurs, qu'il est un agent en France du conglomérat Soros, en charge de désintégrer la cohésion des pays européens, afin de permettre la prise de guerre des richesses européennes. L'Ariès, le missile de croisière furtif issu des ateliers israélo-US, est une arme psychologique dans la guerre menée par l'axe Israël-US contre les pays européens pour briser ce qui leur reste d'autonomie. Toutefois, son livre de désinformation contre le catholicisme comporte de nombreuses informations (il faut toujours cela pour faire passer le poison). Paul Ariès y révèle un esprit aussi vicieux et vicié que celui des hauts dirigeants catholiques. Ariès est un véritable cas de manuel à étudier, et qui devrait être proposé aux étudiants des écoles de désinformation, comme l'est l'ouvrage bi-millénaire du chinois Sun Tzu L'art de la guerre. Il est vrai que le christianisme et son aspect spécifique qu'est le catholicisme, sont particulièrement sévère dans l'immonde.

Mais on aurait bien aimé pour la mise en perspective, soit une vision globale, c'est à dire réaliste, avoir le même genre de travail sur la caste des rabbins (les non-juifs sont des animaux, c'est un devoir sacré de les dominer, de les tromper et de les déposséderet quand même, le judaïsme étant le moule du christianisme et de l'islam, son esprit constitue leur squelette idéologique ; ces trois religions ont le même squelette), et pourquoi pas sur l'indouisme qui est une monstruosité égale (ses massacreurs fanatiques de masse, ses 200 millions d'intouchables, ses 300 millions de très très pauvres, ses 500 millions de pauvres, ses femmes brulées vives … son bain religieux omniprésent avec ses milliers de dieux et ses brahmanes immaculés). Laissons de côté l'islam car on n'a pas besoin de l'Ariès pour en connaître la teneur. Il y a en effet pléthore d'autres missiles même pas furtifs provenant du même tonneau que l'Ariès pour déglinguer cette fumisterie, le même tonneau de plus fabriquant les « djihadistes », faisant semblant de les combattre, organisant « leurs » attentats dont le Charlie et autres Bataclan, et j'en passe, et pour finir, le même tonneau sortant les Facebook, Zuckenberg et autres Clinton, Obama et Macron.

Paul Ariès, a contrario de Shelley Kasli, est un traître à son propre peuple et facilite
la conquête de la planète par l'une des puissances concurrentes qui se la disputent (celle Israël-US), favorisant ainsi l'instauration d'un ordre planétaire hégémonique unique et absolu et l'entrée de l'humanité dans un ère de cauchemar sans issue.

Paul Ariès est un personnage particulièrement néfaste, et ce type de personnage doit
être dénoncé publiquement comme criminel planétaire, d'autant qu'il se drappe dans le politiquement correct dominant; bienpensant, altruiste et humaniste, irréprochable, façonné par les idéologues trotskistes sorosiens, propagande déversée à flots gigantesques et continus sur toute la population mondiale par l'appareil de propagande de masse de l'axe Israël-US et qui intoxique mentalement maintenant des milliards d'individus.

Il est très très en avance sur les désirs encore informulés
des agences juives de manipulation, allant jusqu'à évoquer dans son livre sur le pape François, un délit pénal spécifique d'antisémitisme (ne pas aimer les juifs est donc un délit). Page 203 : « L'antisémitisme est un délit puni sévèrement par la loi : l'auteur encours jusqu'à un an de prison et 45 000 euros d'amende. ». Ce délit n'existe pas en France et même sur toute la planète. Ariès plaçe là les juifs au-dessus des autres catégories, qui n'ont droit toutes confondues qu'à un article du code pénal réprimant la provocation à la haine raciale, et non à un article spécifique qui de plus oblige à les aimer (et les discrimine !). L'Ariès omet que les populations du proche-orient, dont les arabes, dont ceux palestiniens qui sont les descendants des indigènes originels de Palestine (descendants des vrais juifs eux !), Palestine dénommée actuellement Israël, sont des sémites, révélant par là son mépris pour les arabes, son soutien larvé à l'entité raciste israélienne, et donc son racisme global sous-jacent. Triste personnage qui mérite bien sa médaille du « juste » (juste = trop court, étroit ; dictionnaire Le Robert ). Sans compter que pour les vrais intellectuels le terme de sémite ne recouvre qu'un type de langue et n'a rien à faire avec l'ethnie, la race, la religion et autres fadaises. L'auteur de ce texte, par exemple, est descendant des vrais sémites. Dans sa région de naissance est encore parlé l'antique langue araméenne, la langue parlée par le juif Jésus Christ. L'hébreu était la langue liturgique comme l'actuel latin. Cela, le grand intello Ariès s'en contrefiche. L'araméen, langue sémite, était aussi la langue internationale utilisée pour les échanges entre puissances, dont l'Egypte, celles de Mésopotamie, du plateau iranien, du nord syrien dans l'actuelle Turquie, les grecques et la phénicienne.

L'unique voie politique qu'il est possible de suivre pour l'instant vers l'instauration planétaire d'un ordre égalitaire est de soutenir
l'équilibre des forces des monstruosités qui se disputent la planète (principalement israélo-US, russe, chinoise ; l'Inde étant une colonie israélo-US, comme l'Europe (grâce aux Ariès), l'Afrique et l'Amérique du Sud étant partagés). Quand ces monstruosités se dévorent entre elles, la vie continue et tout reste possible. Si l'une l'emporte, alors il vaut mieux se suicider ou la guerre atomique.


10 - Annonce du prochain texte :

Le tao yin chinois
 ; ses implications et ses applications politiques.

http://www.aredam.net/le-tao-yin-chinois-ses-implications-ses-applications-politiques.html