Le vent tourne, mais les dindons resteront toujours des dindons.  

 

Les salopards qui avaient pris la première place et qui torturaient tout le monde, sont en passe d’être détrônés par d’autres salopards ou de finir par travailler totalement pour eux.

Les affaires du ministre suisse de la justice qui promeut la dépénalisation en Suisse du révisionnisme et de Bruno Gollnish en France reniant ses convictions révisionnistes lors d’un procès, sont toutes deux des signes que les temps changent.

Le retour du bâton commence à se faire sentir.

Le travail des révisionnistes a porté ses fruits, mais le goût de ces fruits est plutôt déplaisant.

En effet, la contestation de la vérité officielle du Tribunal militaire international de Nuremberg en 1945, tribunal qui a exprimé comme véridique le génocide des juifs européens au nombre de 6 millions par les nazis, par le procédé des chambres à gaz, et par un plan établi en haut lieu, n’est pas motivée par la recherche de la vérité historique, mais par un marchandage entre carnassiers du pouvoir, dont le but est le même pour tous ces carnassiers, celui de prendre la première place, d’en chasser tout autre, de s’y maintenir, et de dévorer comme pour tout carnassier, l’ensemble de la population.

La menace de faire campagne pour critiquer le Tribunal militaire international de Nuremberg est devenue une sorte de bombe atomique idéologique, qui commence à être brandie régulièrement sous le nez des sionistes, ce qui constitue une sorte de retour de bâton vis à vis des « fatwas » sionistes, lesquelles accusaient d’ignominie suprême les révisionnistes ou plutôt, comme ils les intitulent en très mauvais français : « négationnistes ».

Cela a été la politique de Le Pen jusqu’à ce jour, politique qui est poursuivie par son subalterne Gollnish. Contre quel avantage caché ? Le saura-t-on un jour ?

C’est aussi la politique des russes, qui possèdent une très importante partie des archives relatives aux camps de concentration nazis. Qu’obtiennent les russes des sionistes ?

C’est de temps à autre la politique du gouvernement iranien, qui a peut-être aussi en sa possession de la documentation.

C’est maintenant la politique de la Suisse, qui menace de dépénaliser le révisionnisme en histoire, ce qui si cela arrivait, créerait un bouleversement mondial, un cataclysme idéologique aux conséquences inimaginables. Est-ce la face sous la lumière du jour d’une négociation occulte portant sur le partage du marché bancaire ?

Certains doivent déjà se considérer en très mauvaise posture, et tout le château de cartes est menacé à chaque instant par de plus en plus de comparses qui le chahutent, et qui prennent un malin plaisir à souffler dessus et à ébranler la table.

Mais pour qui recherche l’égalité et l’élimination des carnassiers du genre humain, qu’y a-t-il à y gagner ?

Absolument rien.

Les révisionnistes auront été les dindons de la farce.

La méthode de ces comparses est celle des maîtres chanteurs, tenir leur proie le plus longtemps possible pour la faire chanter le plus longtemps possible et en tirer le plus de profit possible. Il est donc pour eux hors de question de se priver de la cause du chantage.

Ce n’est pas demain la veille que la recherche en histoire sera libre, il y a trop de pouvoir à gagner à la maintenir sous le coup de la loi, et pour certains, paradoxalement, l’addition commence seulement à leur être présentée, une addition qui va aller en s’allongeant, en s’allongeant, en s’allongeant … à l’infini.

Quand aux modestes, ceux qui osent jouer dans la cour des grands, et qui sont parfois réellement empreints d'idéalisme, ce qui est beaucoup plus rare, il y a les chambres judiciaires dites de la presse, où la vérité est l'exception, avec ses juges sionistes mis en forme par le CRIF, le Centre Simon Wiesenthal, "J'accuse", Marc KNOBEL et la LICRA, pour les en empêcher, et réserver ce jeu aux cannibales avides de chair humaine, des gardiens de vivier, en quelque sorte.

 

Ecrit par Michel DAKAR, l’un des responsables du site internet « aredam.net ».