Diffamation publique de Bernard Fischer envers moi-même, Michel Dakar, avis public de la part de Michel Dakar.

On m'apprend régulièrement que M. Bernard Fischer, qui est une sorte de militicien professionnel trotskiste sur la place de Paris, et employé scribouillard le jour à la Sécurité sociale du Val d'Oise, répand par divers moyens de communication que je suis d'extrême droite, et cela continuellement, depuis au moins deux années.

Ceci finit à me forcer à répondre publiquement, dont par la publication sur ce site Internet.

Je n'ai jamais été d'extrême droite, ni d'ailleurs d'aucun parti politique, hormi lors d'une brêve inscription au Parti socialiste vers 1987, qui a duré 6 mois, à la section de Rouen, et cela sans avoir payé une seule cotisation.

J'ai été aussi militant pendant environ trois années à la Ligue des droits de l'homme à Paris, section du 19 ème arrondissement, vers 1996, et délégué environ une année pour cette section à la fédération de Paris.

J'ai aussi participé hélas, à cette bouffonnerie de Radio Libertaire ( la radio du milieu des anarchistes d'Etat diffusant sur l'Île de France ) vers les années 1996 - 1997, à deux de ses émissions hebdomadaires.

J'ai participé environ de 1996 à 1999 à un groupe informel, soi-disant radical, égalitariste, libertaire, et activiste dans le domaine des droits sociaux, dont le local était ou est encore dans l'immeuble associatif du 21 ter de la rue Voltaire à Paris 11 ème.

Certains qui se sont essayés à me cataloguer, m'ont classé comme étant de la "ligue des droits de l'homme radicale", et comme démocrate radical. Je leur laisse cette appréciation, moi je refuse de m'enfermer dans une catégorie, ni d'enfermer les autres dans une catégorie.

Monsieur Bernard Fischer se plaît à répandre des diffamations à mon égard, et cela commence à bien faire.

Que ce monsieur sache bien que s'il m'est communiqué un écrit ou autres éléments probants tel qu'un témoignage, au sujet de ses diffamations venimeuses, lâches et constantes à mon égard, je me ferai un plaisir de le faire traduire en justice.

Que ce monsieur comprenne bien que je commence dès à présent à constituer son dossier.

Que ce monsieur sache bien que quand il crache son fiel en l'air, le moment arrive tôt ou tard où ses propres déjections poisseuses finissent par s'étaler sur sa triste figure, et que j'ai décidé maintenant de prendre le temps de m'occuper sérieusement de son cas.

Ceci est aussi une invite à tous ceux qui sont victimes de ce genre d'énergumène, à leur renvoyer leurs étrons que ce type d'êtres bas s'emploient à disséminer autour d'eux.

Michel Dakar, le 5 octobre 2005. "Qui s'y frotte s'y pique", et débarrassons-nous de tous les affreux.

Nota : ce type de plus utilise les arabes et particulièrement les palestiniens, pour tenter de faire sa place dans le milieu politique parisien, et cela laborieusement, depuis, selon ses propres dires, presque vingt ans. Beurk, répugnant.

Mais fout donc la paix aux arabes, espèce de suceurs de vie, d'exploiteur de victimes.