n°
115 – Dossier Des 'Guerres de l'Otan et USA'. -
19-06 : L’Occident et l’apologie du terrorisme.
Aujourd'hui,
face aux ambitions hégémoniques de
l'impérialisme, l'information est une arme au service
de la paix.
Les
médias occidentaux dans leur large majorité
acceptent les versions de l'armée américaine et
ferment les oreilles aux autres sources. .
Dénoncer
ne suffit plus, il faut expliquer, informer, transmettre!
Sa
diffusion est un acte de résistance.
Dossier
: Des ‘Guerres de l'Otan et des USA’.
n° 115
-
19-09
C.De Broeder
& M.Lemaire
"Le'Dossier
des guerre de l'Otan" est visible :
a) sur
nos blogs :
http://journaldeguerre.blogs.dhnet.be/
http://journauxdeguerre.blogs.lalibre.be/
b)
sur le site de Robert Bibeau :
http://www.robertbibeau.ca/palestine.html
c)
sur le site de Eva Resis :
no-war.over-blog.com -
http://no-war.over-blog.com/
Si
vous voulez-me contacter ou obtenir le Journal par
mail une seule adresse : fa032881@skynet.be
Tiré à
part
Tony
Cartalucci & Land Destroyer : Amnesty
International est une agence de propagande du ministère
des affaires étrangères étasunien.
Pour
ceux qui n'ont pas le temps de tout lire voici la conclusion
de l'article : Il
est très clair qu'Amnesty International n'est en aucun
cas un "défenseur des droits de l'Homme",
mais plutôt une insulte à la défense des
droits de l'Homme. Il va sans dire que cette organisation
devrait être boycotté jusqu'à extinction
et au moins identifiée comme étant illégitime
et frauduleuse de par son financement occulte et son
leadership compromis et corrompu.
De
plus, nous, les peuples devons adresser le vrai problème
des violations de nos droits à la base de la société,
parce que c'est faire preuve de folie absolue que de croire
que les organisations d'obédience mondiale, financées
par des intérêts industrio-financiers privés,
faisant écho à l'agenda des gouvernements
motivés par des intérêts très
spéciaux, ont notre intérêt commun et nos
droits en tête lorsqu'elles agissent.
Amnesty
est dirigée par des représentants du ministère
des affaires étrangères étasunien,
financeé par des criminels financiers condamnés
et menace la véritable défense des droits de
l'Homme mondialement.
Souvent
considérée à tort par beaucoup comme
étant la quintessence sur la question des droits de
l'Homme dans le monde, cela pourra choquer certains
d'apprendre qu'Amnesty International n'est en fait qu'un des
plus grands obstacles à la véritable cause et
défense des droits de l'Homme sur cette planète.
Dans un de ses plus récents rapport en 2012 (2012
annual report (page 4, .pdf), Amnesty répète
un de ses plus grands mensonges, qu'elle a l'habitude de
marteler:
"Amnesty
International est financée essentiellement par ses
membres et dons publics. Aucun financement n'est recherché
ou accepté de la part de gouvernements pour enquêter
et faire campagne contre les abus des droits de l'Homme.
Amnesty International est indépendante de tout
gouvernement, idéologie politique, intérêt
économique ou religieux."
Ceci
est catégoriquement faux.
Amnesty
International est en fait non seulement financée et
gérée par des gouvernements, mais aussi par de
très gros intérêts corporatifs, elle n'est
pas seulement impliquée dans des intérêts
politiques et économiques, mais elle est en fait un
outil essentiel utilisé pour perpétuer et
satisfaire ces intérêts particuliers.
Le
financement d'Amnesty International Trouver
les informations à propos du financement d'Amnesty
International sur leur site internet est rendu volontairement
difficile; de manière spécifique et pour
protéger le mythe que cette organisation est
"indépendante". Comme toute opération
criminelle organisée, Amnesty sépare les liens
financiers compromettant au travers toute une série de
manœuvres et d'organisations boucliers. Le site
d'Amnesty stipule:
"Le
travail du secrétariat d'Amnesty International est
organisé en deux entités légales en
accord avec la loi britannique. Celles-ci sont Amnesty
International Limited (AIL) et Amnesty International Charity
Limited (AICL). Amnesty International Limited s'occupe
d'activités charitables pour Amnesty International
Charity Limited, une association enregistrée comme
charitable
C'est
ici, à Amnesty International Limited, que sont mis les
liens avec les gouvernements et les intérêts
industrio-financiers. A la page 11 du rapport et déclaration
financière pour 2011 d'Amnesty International Limited
(2011
Report and Financial Statement (.pdf)
),
il est dit: "
Les
directeurs sont heureux de faire savoir le soutien accordé
par la John
D. and Catherine T. MacArthurFoundation, la OakFoundation,
l'Open Society Georgia Foundation, the Vanguard Charitable
Endowment Programme, Mauro Tunes and American Jewish World
Service.
Le
département britannique pour le développement
international (Governance and TransparencyFund) a continué
de financer un projet éducatif sur les droits de
l'Homme de quatre ans en Afrique. La commission Européenne
(EuropeAid) nous a généreusement récompensé
d'un fond sur plusieurs années pour un travail éducatif
sur les droits de l'Homme en Europe pour Amnesty
International."
De
manière évidente donc, Amnesty prend de l'argent
à la fois des gouvernements et d'intérêts
industrio-financiers, dont un des plus connu, l'Open Society,
est dirigée par le criminel de la finance, repris de
justice George Soros. En Mars 2012, il fut rapporté par
Bloomberg TV que: "Soros avait perdu son procès où
il était accusé de délit d'initié
en France", indiquant également qu'un appel basé
sur une "violation des droits de l'Homme" contre le
spéculateur de Wall Street George Soros avait été
rejeté par la Cour Européenne des Droits de
l'Homme.
Soros, dont l'Open Society finance également
HumanRights Watch et une myriade d'autres associations pour
les "droits de l'Homme", a littéralement
essayé d'utiliser le racket occidental sur les droits
de l'Homme pour se défendre lui-même contre des
accusations de fraude financière et ceci est peut-être
la plus belle et transparente représentation de la
façon dont ce racket opère.
Soros, qui
fut condamné et dut payer une amende pour délit
d'initié en 2002 dans le cas d'actions de la banque
française Société Générale
qu'il avait achetées en 1988, a bâti un empire de
ses activités criminelles mondiales sous couvert de la
cause des "droits de l'Homme". Son soutien d'Amnesty
International, ainsi que celui du gouvernement britannique et
des gouvernements européens, ne vise en fait qu'à
étendre sa nébuleuse influence.
Le
leadership d'Amnesty International Le
leadership d'Amnesty nous donne également des
indications sur son véritable agenda. Suzanne
Nossel,
Directrice Exécutrice pour Amnesty International USA,
par exemple, provient directement du ministère des
affaires étrangères américain, toujours
en total contradiction avec la prétention d'Amnesty
d'être "indépendant" des intérêts
corporatifs et gouvernementaux. Nossel a continué à
promouvoir la politique étrangère des
Etats-Unis, mais simplement de derrière un pupitre
arborant un nouveau logo. Le site internet d'Amnesty
International mentionne de manière spécifique le
rôle de Nossel derrière les résolutions de
l'ONU contre l'Iran, La Syrie, la Libye et la Côte
d'Ivoire, toutes soutenues par le ministère des
affaires étrangères américain.
Mêmes
mensonges, différent pupitre. Suzanne Nossel,
anciennement du ministère des affaires étrangères
US est maintenant directrice exécutif d’Amnesty
International USA. Sa fonction principale de déguiser
les aspirations hégémoniques des intérêts
industrio-financiers mondialistes comme une “défense
des droits de l’Homme” n’a pas changé.
Il
a été grandement documenté comment tout
ceci tourne autour d'un plan échelonné sur
plusieurs décennies, établi par les intérêts
industrio-financiers, pour diviser, détruire et ruiner
ces nations qui ont été un obstacle au
développement de l'hégémonie globale
américaine. Dans le cas spécifique de la Syrie,
il a été révélé que la
catastrophe "humanitaire" courante remonte à
une vicieuse conspiration de 2007 documentée dans le
magazine "New
Yorker"
par le journaliste Seymour Hersh; complot ourdit entre Israël,
les Etats-Unis et l'Arabie Saoudite, qui cherchèrent à
financer, armer et déployer des extrémistes
sectaires en Syrie pour miner et renverser le gouvernement
syrien, tout en sachant pertinemment la tragédie
humaine que cela inmpliquerait.
Les "contributions"
de Nossel ne sont en fait que de simples déguisements
pour une agression militaire ouverte et la poursuite de
l'hégémonie globale des intérêts
industrio-financiers et ce sous couvert de "défense
des droits de l'Homme".
Un simple coup d'œil
au site internet AmnestyUSA.org nous révèle que
chaque front développé par le ministère
des affaires étrangères américain est
aussi prioritaire pour Amnesty International, de manière
bien sûr purement coïncidentelle. Ceci inclut les
rassemblements et les campagnes de soutien aux groupes
d'opposition russes financés par le ministère
(couramment fixé sur l'affaire "PussyRiot"),
la déstabilisation du gouvernement syrien, le
renversement du gouvernement biélorusse et le soutien
de l'icône créé par Wall Street et la City
de Londres Aung San SuuKyi du Myanmar (toujours appelé
par la nomenclature impérialiste britannique et par
SuuKyi elle-même: la "Birmanie"...)
Amnesty
International trahit la véritable défense des
droits de l'Homme. Amnesty
couvre certainement des problèmes qui sont critiques
pour la politique étrangère des Etats-Unis, vers
la fin de leur site internet et au dos de ses rapports. De la
même manière, les médias corporatistes ne
rendent compte que de manière sélective dans
leurs rapports que de problèmes qui coïncident
avec leurs intérêts, alors que d'autres problèmes
sont complètement étouffés voire
complètement ignorés. C'est précisément
parce qu'Amnesty couvre tous les problèmes, mais
sélectionne l'amplification à donner aux
problèmes qui sont importants pour les intérêts
de grosses corporations ou du cartel de la finance, que cela
rend Amnesty un des plus grand frein à une véritable
défense des droits de l'Homme sur Terre.
Fabrication
de la dissidence. “Free PussyRiot”, de manière
ironique, la FIDH est directerment financée par le
ministère des affaires étrangères US, par
la très néoconservatrice US National Endowment
for Democracy (NED) ainsi que l’Open Society de George
Soros. “Russia, stop armstransfer to Syria”. Si le
ministère des affaires étrangères US le
veut, soyez certains qu’Amnesty International, gérée
par ce même ministère, poussera pour des
manifestations et indépendemment de la taille ou de la
légitimité des revendications, attendez-vous à
ce que les médias corporatistes prennent fait et cause
pour elles.
On
donne aux gens la fausse impression que "quelqu'un
observe attentivement les abus concernant les droits de
l'Homme", alors qu'en réalité ce que font
Amnesty et autres organisations du même style, n'est que
la gestion de la perception publique de manière
sélective sur les problèmes d'abus des droits de
l'Homme, fabriquant ou manipulant nombre de cas spécifiquement
afin que ceux-ci cadrent dans l'agenda des intérêts
industrio-financiers idoines. Ceci peut-être apprécié
lorsque des rapports entiers émanant d'Amnesty
International et de HumanRights Watch ne consistent qu'en des
"témoignages" compilés depuis les
dires de membres de groupes d'opposition soutenus par les
Etats-Unis.
Dans le cas très rare où un
rapport inclut des références à des
photos, des vidéos ou des preuves dûment
documentées, tels le rapport de HumanRights Watch de
2011 intitulé "Descente dans le chaos" ( 2011
"Descentinto Chaos" (.pdf)
),
un langage trompeur est volontairement intégré,
couplé avec des passages inutiles afin de favoriser un
journalisme sélectif et de pouvoir faire pirouetter
l'information par non seulement les médias occidentaux,
mais aussi par une myriade de fausses organisations ONG,
financées et gérées par les sponsors et
affiliés d'Amnesty International et HumanRights Watch.
La "Descente dans le chaos" était un rapport
concernant la Thaïlande, qui fut rapidement et amplement
retourné, pirouetté par les fausses ONG du
ministère des affaires étrangères US et
le "défenseur des droits de l'Homme"
Prachatai.
Lorsque le public croit de manière
éronnée que des organisations crédibles
s'occupent de la "défense des droits de l'Homme",
il ne devient pas seulement complice, mais il devient
également négligent de ses propres
responsabilités à examiner objectivement les
abus potentiels et de s'exprimer contre. Les intérêts
industrio-financiers particuliers de Wall Street et de la City
de Londres ont en fait rempli un vide existant, qui aurait dû
être occupé par leurs plus féroces
opposants, au lieu de cela, ce vide est empli d'un racket
soi-disant défenseur des droits de l'Homme de leur
propre création. Ils ont non seulement obtenu une
opportunité facile pour abuser les droits de l'Homme à
l'échelle mondiale, mais ils ont en plus utilisé
leur opposition contrôlée à cet effet pour
attaquer leurs opposants (géopolitiques).
Il
est très clair qu'Amnesty International n'est en aucun
cas un "défenseur des droits de l'Homme",
mais plutôt une insulte à la défense des
droits de l'Homme. Il va sans dire que cette organisation
devrait être boycotté jusqu'à extinction
et au moins identifiée comme étant illégitime
et frauduleuse de par son financement occulte et son
leadership compromis et corrompu.
De
plus, nous, les peuples devons adresser le vrai problème
des violations de nos droits à la base de la société,
parce que c'est faire preuve de folie absolue que de croire
que les organisations d'obédience mondiale, financées
par des intérêts industrio-financiers privés,
faisant écho à l'agenda des gouvernements
motivés par des intérêts très
spéciaux, ont notre intérêt commun et nos
droits en tête lorsqu'elles agissent.
vend.,
31 août 2012
Traduit
par Résistance
71
Tony
Cartalucci Land Destroyer
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