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Titre de cette page :
Des opposants qui arrangent la démocratie occidentale en carton pâte, une revue de détail non exhaustive de cas français. Texte de Michel Dakar, Villequier, le31 janvier 2013
a) Introduction, généralités.
b) Etudes des cas.
1 - L’association DAL - Droit Au Logement (http://www.droitaulogement.org, défend les exclus d’un domicile et promeut les réquisitions des locaux vides) 2 - L’association CAPJO-Europalestine (http://www.europalestine.org , défend les palestiniens et promeut deux états en Palestine, l’un juif l’autre palestinien) 3 - Les associations humanitaires types : AFPAP (http://www.afpap.org , défense des personnes âgées, promouvant l’humanisation des maisons de retraites) ; journaliste associé : François Nénin ; « L’Or gris », Flammarion 2011, CRIIGEN (http://www.criigen.org , dénonciation de la production d’aliments génétiquement modifiés) ; personnalité associée : Gilles-Eric Séralini (chercheur), dernier livre : « Tous Cobayes ! », Flammarion 2012, la mouvance antinucléaire CRIIRAD, la mouvance anti-nucléaire http://www.criirad.org et son élément dérangeant l’Observatoire du nucléaire (http://observ.nucleaire.free.fr).
3 - 1 Introduction 3 - 2 Développement sur chaque cas
4 – Trois individus types de faux-opposants :
4 - 1 Olivier Besancenot du Nouveau Parti Anticapitaliste ex parti trotskiste Ligue Communiste Révolutionnaire contre la société Tazer. 4 - 2 Roberto Saviano en apparence luttant contre la mafia, auteur de « Gomorra » et de « Le combat continu. Résister à la Mafia et à la corruption ». 4 - 3 Le journaliste d’investigation Emmanuel Fansten. Livres : « Scientologie, autopsie d’une secte d’Etat », Robert Laffont 2010, « Les Nouveaux Barbouzes. Enquête sur la privatisation de l’espionnage », Robert Laffont 2012. Une production à suivre, émanant sans doute de commandes des services).
5 - L’hebdomadaire « Le Canard enchaîné
», et son journaliste Claude Angeli (à travers ses actuels
articles sur la Syrie). Le camouflage
du génocide en cours en Syrie :
Texte :
a) - Introduction, généralités.
Il n’est pas nécessaire d’une organisation centralisée secrète et exerçant un pouvoir occulte sur la société pour que toutes les horloges affichent à peu de chose près la même heure. Toutefois il n’y a pas de raison de se priver de mesures actives visant à canaliser l’opinion, à l’encadrer, sinon à franchement la dévoyer. Il n’y a pas non plus de raison de se priver de toute collaboration spontanée, d’ignorer et de ne pas donner de petits coups de pouce à ceux qui d’eux-mêmes vont dans le sens du poils, nagent dans le sens du courant dominant, sentent quelle est la bonne direction pour avoir la bénédiction des « médias », de l’édition, et encore moins de les rejeter. Il n’y a pas non plus de raison de se limiter à ces idiots utiles, en ne créant pas de toute pièce de faux opposants, de faux critiques de la société et de ses pouvoirs, ni d’entretenir de véritables pros de la désinformation agissant sous couvert d’indépendants à l’intégrité inattaquable. Pour résumer, en Occident, il y a ceux qui se sont fourrés d’eux-mêmes la carotte entre leurs fesse, et ceux qui se la sont fait mettre. Certains sont difficiles à départager. Ce texte est une modeste et imparfaite tentative d’exploration du phénomène de l’emprise quasi absolue de la propagande du pouvoir sur la société occidentale, pouvoir absolu, totalitarisme qui s’efforce de se dissimuler sous l’habit de la démocratie. Il y a longtemps qu’en Occident, la mode policière n’est plus la chasse à la dissidence, mais à la fabrication par la police (police prise dans le sens large, d’organisation de gestion de la cité) de sa propre dissidence. C’est vrai que ce procédé n’offre que des avantages. Les authentiques dissidents sont noyés dans une masse de faussaires, au sein desquels on n’arrive pas à les distinguer, et qui ont même pour effet de jeter le doute sur eux. Il n’y a pas de sang, de manifestations évidentes d’arbitraire. La fameuse et précieuse façade démocratique, ce mensonge auquel tient avant tout le totalitarisme occidental, et dont il gave sa population est préservé, et même plus, les authentiques dissidents, du fait même qu’on les laisse s’exprimer, prouvent aux quelques rares gogos qui s’égarent sur leurs sites web, que le régime respecte la liberté d’expression, et qu’ils sont donc bien dans une démocratie. Seulement voilà, il est facile de démontrer le contraire aux quelques rares incrédules qui existent encore, en simplement listant quelques cas de dissidents connus, et en en faisant une rapide critique. Fin de l’introduction, généralités
b) Etudes des cas.
1 - L’association DAL - Droit Au Logement (http://www.droitaulogement.org, défend les exclus d’un domicile et promeut les réquisitions des locaux vides)
Ce qui caractérise le DAL est qu’il est extrêmement connu du grand public, et que sa notoriété et ses actions sont relayées par les grands médias du régime. On peut déjà rapidement et sans la moindre crainte de se tromper estimer que cette organisation ne dérange pas le moins du monde l’ordre du pouvoir, et qu’au contraire même, le DAL conforte cet ordre. Or, le but déclaré du DAL porte sur l’un des secteurs cruciaux de l’ordre financier dominant, l’immobilier. En effet, l’immobilier est le domaine d’investissement le plus sûr des capitaux, le seul d’ailleurs matériel, qui ne peut s’évaporer un jour, partir en fumée, tel les titres. Le secteur géographique du DAL est en premier Paris, où il a été créé, puis le DAL s’est répandu dans les principales villes de province. Le DAL a été créé par les principales organisations politiques et syndicales de la gauche parisienne, associées à une organisation para-religieuse catholique, Emmaüs de l’Abbé Pierre. Cette dernière organisation peut d’ailleurs servir à comprendre le but réel du DAL. Emmaüs a vu le jour pendant la période immobilière difficile de la reconstruction de l’après seconde guerre mondiale, caractérisée par un déficit de logements pour les populations pauvres, modestes ou moyennement aisées, du fait de la longue absence passée de politique du pouvoir dans le logement social, et des destructions opérées par les bombardements anglais et américains des villes françaises pendant l’occupation allemande. La situation était propice à la naissance d’un fort mouvement populaire autonome de prise en main de la population mal logée par elle-même dans le domaine de la construction, ce qui a été le cas. Des mouvements coopératifs égalitaires et autogérés à orientation libertaire, anarchisant, ont vu le jour, et commencé à collecter des fonds mis en commun pour l’acquisition de terrains, de matériaux de construction, commençant à édifier des habitations collectivement et à très bas coût. Face à ce qui était une menace directe à l’ordre économique, et de plus dans les domaines cruciaux de l’investissement immobilier et de la construction, la population échappant à l’emprise du pouvoir dans ces domaines, l’élite a réagit en favorisant les menées d’un religieux activiste, l’Abbé Pierre, issu d’une très riche famille d’industriels lyonnais, qui créa le mouvement Emmaüs, spoliant au passage de son activité assurant sa survie, le monde non encore intégré et quasi sauvage de la récupération des objets usagés, des chiffons, des papiers (les fameux chiffonniers dont l’Abbé a même spolié la dénomination). L’action d’Emmaüs couplée au développement à marche forcé de la construction des grands ensembles, permis de briser net le développement naissant d’un secteur économique non lucratif autogéré de masse dans la population, et radicalement subversif. C’est ce même type de processus qui a été à l’œuvre avec le DAL, dans les années 1980, de manière beaucoup moins vaste, puisqu’il ne s’agissait que d’objectifs plus modestes, dont pour la gauche parisienne de se servir du problème du logement pour gêner la droite et finir par prendre le pouvoir politique à Paris, et éliminer les touts derniers éléments anarchisants du secteurs de la lutte immobilière à Paris. En effet, la situation parisienne à cette époque était marquée par un déficit de logement bon marché pour la frange modeste de la population, l’importance du nombre de locaux non occupés, situation propice comme lors de l’après guerre, à l’apparition de mouvements sociaux authentiques de base échappant aux partis politiques en charge pour le pouvoir financier d’encadrer la population, comme le sont indifféremment les partis de gauche, de droite et leurs respectifs soi-disant extrêmes. C’est la conjonction de ces éléments et de celui incarné par un arriviste avide de sa promotion politique, au passé ambiguë, l’actuel président (à vie) du DAL, qui permis la création de cette association, qui joue le rôle d’encadrement de la population mal-logée ou pas logée du tout, dans la capitale française, et secondairement dans les grands villes de province française. Le prix du mètre carré à Paris, et parmi les plus élevés du monde. L’investissement immobilier à Paris est l’un des tous premiers secteurs d’investissement mondiaux pour l’élite financière mondiale, qui domine toutes les populations. Le DAL a très bien rempli son rôle et continue d’ailleurs de le remplir, à cette époque de récession qui voit de nouveau apparaître à Paris même et dans les villes de province de nombreux cas de gens privés de logements. Grâce au DAL Paris s’est vidé intégralement et en douceur de ses nombreux squats. Maintenant le DAL continue d’encadrer pour le pouvoir financier supranational, au niveau du terrain, tel le contremaître des partis de gauche et de droite français, l’apparition de points de désordres dus à la multiplication des sans-logis, principalement des étrangers implantés de façon récente, en France.
2 - L’association CAPJO-Europalestine (http://www.europalestine.org , défend les palestiniens et promeut deux états en Palestine, l’un juif l’autre palestinien)
Ce qui est étrange avec cette association de défense de la cause palestinienne, qui tient le haut du pavé à Paris, et qui est même la dernière encore en activité (les autres d’obédience « communisto-sioniste » ayant cessé peu à peu d’occuper la rue), c’est justement cette atmosphère bizarre qui à la longue entoure cette association, sa cheftaine inusable, et le fait qu’elle est toujours là, alors qu’on se trouve en régime « crypto-sioniste », soit sous la coupe entière des sionistes en France, et que toutes les organisations authentiquement anti-sionistes, ou réellement pro-palestiniennes ont disparue (Bizarre. Vous avez dit bizarre ? Moi j’ai dis bizarre. Comme c’est étrange …). La bonne gestion par les sionistes de l’encadrement parisien (c’est-à-dire français, en France la province ne comptant pas), voudrait qu’on la remplace par une nouvelle association, mais sans doute que les responsables des manipulations sionistes en France manquent de personnel pour renouveler leur cheptel de faux opposants. La sieure Zémor, juive crypto sioniste, cheftaine de la CAPJO-Europalestine, détentrice d’un passeport israélien, et propriétaire de plusieurs biens fonciers en Palestine occupée, c’est-à-dire spoliés à leurs réels propriétaires palestiniens, vieillit sur pied, et plus le temps passe, plus la longévité de son association la fait apparaître comme un organe des services israéliens, ou bien, ce qui revient au même et même en mieux, comme une création spontanée d’organisation qui dans le domaine de la défense des palestiniens fournit un service si précieux à la cause israélienne que les services israéliens font tout pour la préserver, et même augmenter la notoriété et la crédibilité de la cheftaine et de son organisation, par exemple en lui envoyant les pseudo délinquants de la Ligue de défense juive, dans des opérations d’attentats factices, qui visiblement ne lui ont laissé que peu de bosses et de plaies (il faut quand même ménager la viande, ils ne trouvent pas encore de remplaçant à la hauteur de cette stakhanoviste inlassable de la manipulation). Mais plus le temps passe, et plus cette CAPJO-Europalestine apparaît comme une annexe de l’ambassade d’Israël, simplement du fait de l’évolution du contexte international, comme par exemple avec la tentative laborieuse de l’OTAN de détruire la Syrie, qui est l’une des pièces principales de l’ensemble qui menace Israël et la prédominance occidentale au Proche-Orient, et dont l’existence est une garantie pour la survie des palestiniens. C’est quand même bizarre que la CAPJO fasse comme si l’invasion en cours de la Syrie n’existait pas … Comme c’est bizarre que depuis que les amis des occidentaux, les fameux faux frères musulmans, qu’ils ont placé au pouvoir en Tunisie, en Egypte, et qui ont retourné récemment leur veste à Gaza en faisant leur allégeance au Qatar, la CAPJO ait pu obtenir d’entrer via l’Egypte à Gaza, pour y produire une petite série de reportages assurant sa propagande en France (une manière d’entretenir l’illusion sans doute, il suffit de voir sur les photos le niveau de maturité de ses militants pour savoir que le recrutement de main d’œuvre de base devient difficile pour Zémor). Comme il est bizarre qu’apparaisse dans l’entourage de Zémor, des chantres de l’Arabie Saoudite, laquelle commandite et forme mentalement les fameux faux frères … Le cas de la CAPJO est paradoxal, puisque sa longévité est normalement assimilable à un succès, alors que plus elle dure plus il devient évident, par l’emploi de la logique simple, qu’il s’agit d’une imposture, qui de plus doit devenir de plus en plus pesante pour ses commanditaires, un peu comme si le temps passant, les habits pro palestiniens de Zémor s’effilochaient, s’amincissaient pour laisser apparaître une étoile de David encadrée par deux rayures bleues. Le problème pour les vieux faussaires, est sans doute le recyclage, et aussi la réadaptation mentale à la réalité, après une existence de mensonge …
3 - Les associations humanitaires types :
AFPAP (http://www.afpap.org , défense des personnes âgées, promouvant l’humanisation des maisons de retraites) ; journaliste associé : François Nénin ; « L’Or gris », Flammarion 2011, CRIIGEN (http://www.criigen.org , dénonciation de la production d’aliments génétiquement modifiés) ; personnalité associée : Gilles-Eric Séralini (chercheur), dernier livre : « Tous Cobayes ! », Flammarion 2012. CRIIRAD, la mouvance anti-nucléaire, et son élément dérangeant l’Observatoire du nucléaire (http://observ.nucleaire.free.fr).
3 - 1 Introduction générale
L’AFPAP et François Nénin, le CRIIGEN et Gilles-Eric Séralini, la mouvance CRIIRAD et son élément dérangeant l’Observatoire du nucléaire, sont typiques de la catégorie des faux-opposants spontanés, non créés et non manipulés par les services, et en sont d’autant plus redoutables qu’ils traitent de problèmes très profonds existentiels de société, que le système doit traiter si il veut perdurer. Ils remplissent plusieurs fonctions indispensables pour la conservation en l’état du système, dont celle de provoquer les aménagements nécessaires pour que ce système perdure, de dissimuler les véritables enjeux qui apparaissent à travers chaque cause traitée par ces faux-opposants, et plus globalement de sortir ces causes traitées du contexte global, retirant à la cause considérée son pouvoir de mener à une compréhension de la globalité. En fait, toutes ces organisations qu’on peut au fond définir comme des édulcorants, et dont les plus connues traitent du nucléaire dont la plus médiatique est le CRIIRAD et sa mouvance, sont issues du courant des droits de l’homme, les droits de l’homme pouvant être considérés comme la trame même du tissus de mensonge servant à l’habillage d’un régime entièrement fondé sur la violence sans frein et assumée, violence anoblissante, l’inégalité pensée comme naturelle, l’exploitation la plus brute de tous les êtres par des kleptocrates, l’absence totale d’émotions par rapport à la souffrance d’autrui, et l’absence totale de considération aux vies qui ne sont pas la sienne propre, l’absence totale de questionnement sur ce qu’est l’existence, d’un but, de la recherche de l’harmonie, du lien entre le particulier et le général, l’univers. Le tissus du mensonge des droits de l’homme n’est en quelques sortes que le vêtement de camouflage du chasseur pour approcher sa proie sans éveiller sa suspicion et la mettre en fuite ou se faire charger.
3 - 2 Etudes des cas
3 - 2 - 1 La défense des personnes âgées, et l’humanisation des maisons de retraites
Ce problème est un faux-problème en ce sens qu’on se trouve dans un système où seuls ceux qui sont tout en haut de la société et qui possèdent le réel pouvoir, ont le droit, et non des droits. Il y a ceux qui ont « Le » droit, quant à ceux qui ont des droits, en avoir ainsi plusieurs signifie qu’on n’en a aucun en réalité. Nous sommes entrés en guerre totale et mondiale, et c’est sans doute la première fois dans l’histoire humaine. Cette guerre a pour enjeu les dernières ressources énergétiques, minières (uranium), en terres arables, en eau et autres. Les protagonistes en présence sont sous l’apparence de bloc (Occidentalo-juifs, BRICS – Chine, Russie, inde, Brésil, Afrique du Sud, Iran, Syrie, Venezuela, Corée du nord), les kleptocraties qui dominent locales ces blocs. Toutes les ressources de tous les blocs vont peu à peu être orientées vers le financement de cet état de guerre. Toutes les catégories de populations autres que celle dominante chaque bloc vont être pressurées, dont celles qui peuvent permettre à leurs parents âgés de payer un loyer d’hébergement en maison de retraite équivalent à plusieurs mois de salaire de base d’un actif. Dans ce type de système, il est dans l’ordre des choses que la population soit essorée, et encore plus normal que ceux qui possèdent des biens fassent l’objet de la pressuration la plus forte. Ceux qui ont une fortune qui leur permet de payer en pension de personnes âgées le montant de plusieurs salaires d’actifs sont donc naturellement visés, parmi d’autres couches de populations dites solvables, soit exploitables, légalement expropriables. L’ensemble des populations des couches qui ne possèdent pas le vrai pouvoir dans les blocs antagonistes sont donc destinées à être appauvries, d’une part pour maintenir au pouvoir les kleptocrates dominants, d’autre part pour financer la guerre interne mondiale aux kleptocraties concurrentes. Quant aux membres des kleptocraties dominantes, en ce qui concerne les maisons de retraite et la vieillesse, ceux-là créeront autour d’eux à leur domicile privé un centre de soin personnel, comme l’ex-financier juif Edmond Safra, dans son bunker sur la côte d’Azur. Il est remarquable que les Nénin (dénonciation d’Air France, des maisons de retraite), Séralini (dénonciation des OGM), et l’Homme (dénonciation d’Areva), soit l’objet de menace soit judiciaire (Séralini et L’Homme), ou d’officine para-légale (Nénin), de plus, menaces que les organes de propagande du pouvoir rendent public. Il ne s’agit pour le système que d’accréditer ces personnes et leurs organisations, qui au fond servent le système, et même bien mieux que ne le font des officines comme le DAL ou la CAPJO, tout en restreignant l’action des éléments incontrôlés du système, qui pourraient le mettre en péril. Pour résumer, l’AFPAP – Nénin tend à mettre de l’huile dans les rouages dans l’essorage des couches aisées de la population à travers la captation du patrimoine des personnes âgées appartenant à cette couche, sans attirer l’attention sur la réalité du système social en place, tout en écartant l’attention du contexte global mondial de guerre sans limite et sans fin actuellement enclenchée entre les diverses kleptocraties, concurrentes, alliées entre autres configurations, état de guerre qui va précipité la paupérisation de toutes les couches de population autre que celle de la kleptocratie. De plus, l’action de l’AFPAP-Nénin peut se résumer à l’objectif d’humaniser en quelques sortes l’abattoir à vieux, mais est-il humain et bénéfique d’humaniser un abattoir, c'est-à-dire de rendre moins perceptible sa finalité ? C'est-à-dire de consolider sa fonction, de la rendre acceptable ? En ce qui concerne les animaux, il est soutenable qu’il faille fermer les abattoirs, et se tourner vers le végétarisme. En ce qui concerne les vieux, il faut trouver un autre système que celui de leur encagement dans les silos à vieux, qui ne sont autres que des salles d’attente de la mort, ce qui est la dénomination sans hypocrisie des maisons de retraite, doublé maintenant de la dénomination d’« extracteur de patrimoine », qu’elles soient de luxe ou modeste. Mais cela suppose une remise à plat de la totalité du système social, et cela est évité grâce à des entités comme celle de l’AFPAP-Nénin. Cela fait de ce type d’associations dites de la « société civile », auto-créées, telles l’AFPAP, CRIIGEN, CRIIRAD-Observatoire du nucléaire, les plus redoutables piliers de l’ordre que ces associations disent combattre. Nous entrons là dans le domaine de la perversion la plus accomplie des organes de répression du système, à côté de laquelle les perversions des organes de police politique des fameux nazis et soviétiques étaient gentilles. Ces organisations et le type d’individus qui s’y associent ou qui les chapeautent, sont le second étage de la fusée de la propagande du régime, le premier étage étant constitué des autres telles le Droit au logement et la CAPJO pro palestinienne, dont l’effet pro-régime est bien plus facile à entrevoir. Toutes ces catégories sont utilisées pour l’entretien vital de l’illusion démocratique dont le régime imprègne les esprits en Occident (il n’y a guère plus que dans les anciens bars d’alcooliques rustiques et malséants, ou dans les routiers, que ne fréquentent pas les bobos consommateurs câblés et innervés directement sur le Grand ordinateur central Big Bouffeur, que l’on peut encore voir des messages libres, sur bois sculptés de panneaux produits en série, indécents, politiquement incorrects, qui faisaient quasiment partie du décor obligatoire de ce genre de lieux, avec inscrit « La dictature c’est ferme ta gueule, la démocratie c’est cause toujours », juste à côté d’une affichette représentant un vagabond sur un chemin avec comme légende « il faisait crédit »). Le troisième étage de la fusée de la propagande de l’entretien de l’illusion démocratique du régime est constitué de l’organisation de mouvements de contestation de masse, comme celle qui a lieu en ce moment contre la construction de l’aéroport international de Nantes, qui est une opération tout bénéfice, car sans le moindre enjeux stratégique ni implication d’aucune sorte sur l’ordre global, qui permet d’attirer la foule nationale des révoltés en manque d’action en zone rurale là où ils ne dérangent que les pauvres animaux et ne créent pas d’embouteillages, qui dévie l’attention publique de l’état de guerre perpétuelle dans lequel on se trouve engagé et qui va peu à peu paupériser toutes les couches de la population hormis celle réellement dominante, que du profit, et qui, bien sûr, permet de prouver aux gogos qu’on se trouve bien en démocratie puisque de simple jeunes niais peuvent impunément défier les centaines de gendarmes d’un état parmi ceux qui possèdent les forces armées les plus aguerries et les mieux équipées. L’enfumage est parfait, et la masse accourt. Pendant ce temps, les opérations secrètes françaises pullulent au Mali, au Niger, en Syrie, en Somalie, en Afghanistan, et sans doute partout ailleurs dans le monde. Il n’y a qu’à voir comment l’appareil général de propagande relaye ce « nouveau Larzac » pour comprendre immédiatement que le régime non seulement y trouve son intérêt, mais que même il l’organise.
3 - 2 - 2 Le CRIIGEN (http://www.criigen.org , dénonciation de la production d’aliments génétiquement modifiés) ; personnalité associée : Gilles-Eric Séralini (chercheur), dernier livre : « Tous Cobayes ! », Flammarion 2012.
Le mouvement d’opposition aux OGM et pesticides, dont le CRIIGEN et Séralini sont parties prenantes, peut sembler totalement au-delà de toute critique quant à sa compromission avec le régime, dont le lobby des OGM-pesticides est l’une des composantes majeures. C’est justement cette compromission qu’il faut considérer qui pourrait faire qu’en réalité le mouvement anti OGM-pesticides serait de fait un des plus précieux suppôt du régime. Cela transparaît à travers le livre de Séralini « Tous Cobayes ! », où on apprend que les études de Séralini pour démontrer la nocivité des OGM et des pesticides ont été financées par la grande distribution (qui est l’un des protagonistes au centre du pouvoir du régime), dont il eut sans doute au-delà du simple financement, l’appui politique et stratégique, et que Séralini eut l’appui de l’ONG américaine Greenpeace, « paix verte », cette entité occidentale dont la réelle nature reste à explorer, mais qu’intuitivement, à l’instar des Human Rights Watch, Amnesty International, et autres Fédération internationale des droits de l’Homme, organisations de la même classe d’importance, on pourrait classer dans la catégorie des organisations crypto étatiques, mises en place par les services spéciaux ou manipulée postérieurement à leur création par ces services, ce qui revient au même, dans le cas de Greenpeace, il s’agirait des services américains, la CIA. La question qui se pose avec des démarches comme celle de Séralini est peut-on se contenter de s’opposer sur le plan du seul aspect technique et de plus dans un domaine spécifique, au régime ? Et si on le peut, comme le démontre Séralini, quelle est la conséquence concrète pour le régime ? Il est clair qu’on peut répondre que cette conséquence est bénéfique pour le régime. En effet, le régime, et donc le lobby OGM-pesticide est gagnant de l’activité de Séralini, car Séralini accomplit le travail que ne font pas les centres de recherche de l’industrie OGM-pesticides, le fruit de ces recherches permettant à l’industrie OGM-pesticides d’orienter ses menées vers la création d’OGM acceptables et de pesticides tolérables, ce qui finira bien par arriver. Séralini est une sorte de soupape de sûreté du lobby OGM-pesticides, un garde-fou qui permet de canaliser les forces brutes à l’œuvre dans cette industrie, vers le chemin d’un avenir pérenne. Quand on ne s’affronte pas au régime dans son essence on ne fait que le renforcer. Cela explique cette presque incroyable situation où l’on voit quelques individus dont des politiciens de carrière (écologistes) intimement parties prenantes du régime, s’opposer à un des plus puissants secteurs industriels et financiers du régime, et ne pas se trouver l’objet des opérations classiques des services spéciaux que ce secteurs possède, radicales pour éliminer les gêneurs. Le lobby OGM-pesticides sait bien que Séralini lui est indispensable, elle le maintien simplement dans les limites de son choix, le protège même, et assure même sa promotion. Le financement de Séralini par le lobby de la grande distribution peut même apparaître comme un financement indirect du lobby OGM-pesticides. Quant à la mystérieuse organisation Greenpeace dont la radiographie reste à faire, son rôle est là à relever, et à rajouter dans son dossier. Au-delà des simples problèmes techniques de nuisances pour la santé que posent les OGM-pesticides, ce que Séralini ne fait juste qu’aborder quasi subsidiairement, alors que c’est là l’essentiel, est l’objectif unique de la production d’OGM-pesticides. Cet objectif est intimement lié à l’idéologie du régime, cet objectif est constitutif de la stratégie fondamentale du régime, de son but unique, la domination sans partage et définitive. La création d’OGM-pesticides et le remplacement par des plantes naturelles vivrières auto-reproductrices par des plantes OGM vivrières qui ne peuvent se ressemer, partout dans le monde, a pour seul but la domination finale de la planète. Ceux qui contrôleront ce secteur contrôleront par le biais vital de l’alimentation tous les peuples de la planète. Il n’y a pas d’autres raison à la recherche sur les OGM-pesticides. Ne pas fonder son opposition sur ce fait qui est fondamental revient à l’occulter, comme le fait Séralini. Les OGM-pesticides ne sont qu’une des armes de la panoplie occidentale dans la conquête planétaire. Séralini en ne dénonçant pas cette guerre et cette arme est de fait un soutien à ce programme de conquête, dont il participe à l’occultation. On peut même imaginer dans cette optique que les laboratoires OGM-pesticides occidentaux travaillent à rendre indécryptable les séquences génétiques qu’ils greffent au sein des chromosomes des plantes qu’ils modifient, de façon à en interdire la duplication par les laboratoires des régimes ennemis aux Occidentaux. Quand même, arriver à faire gober cette fable, selon laquelle le petit Séralini, le petit CRIIGEN et quelques politiciens écologistes français, défient le secteur de la chimie pharmacie, l’un des quelques secteurs au centre du pouvoir occidental, égal en puissance aux plus puissants, comme celui de l’armement et de l’énergie, disposant de leurs propres services d’espionnage et d’action, et auxquels obéissent les services classiques étatiques. On peut même imaginer la dissémination clandestine par des raids d’avions sans pilote furtifs des terres arables ou des cultures en territoires ennemis (Chine, Syrie, Iran, Venezuela par exemple), avec des semences d’OGM non reproductibles.
3 - 2 - 3 Les anti-nucléaires, dont le CRIIRAD http://www.criirad.org et son élément dérangeant l’Observatoire du nucléaire (http://observ.nucleaire.free.fr)
Les anti-nucléaires européens sont une partie du mouvement d’écologie politique Vert. Les Verts sont un parti de gouvernement, important au niveau de l’Europe, où ils sont l’une des composantes pro-OTAN des assemblées européennes, c'est-à-dire du maintien de l’Europe comme vassal des Etats-Unis et d’Israël. La mouvance anti-nucléaire française est donc anti-nationaliste et sioniste. Toutes les institutions européennes mises en place par les américano-juifs visent à empêcher la venue d’une Europe politique et militaire oeuvrant pour ses propres intérêts et non ceux des USA et d’Israël. C’est dans ce sens que toutes les organisations anti-nucléaires participent à la lutte contre l’indépendance des européens et leur émancipation du judéo-sionisme, en entravant la mise en place d’un dispositif européen nucléaire, militaire et civil, global à l’Europe, le nucléaire étant qu’on l’apprécie ou non facteur d’indépendance vis-à-vis des puissances dominantes mondiales, dont les USA et Israël, la Russie, la Chine. Il est intéressant de remarquer que toutes ces organisations dites de la société civile anti-nucléaire ne se prononcent pas sur la question du nucléaire iranien ; l’Iran étant la seule puissance de la région clé du Proche-Orient capable de briser l’asservissement des populations de cette région par les américano-juifs. La raison de ce silence des CRIIRAD et autres est que si elles prenaient position contre le nucléaire iranien cela dévoilerait leur qualité d’organisation supplétives des organes politiques de l’OTAN, qu’elles devraient par équilibre adopter la même attitude vis-à-vis du nucléaire israéliens, lequel dépasse en importance le nucléaire de l’ensemble des pays européens dotés de l’armement atomique. Cela rendrait encore plus visible que ces organisations relèvent de l’appareil politique global de l’Otano-sionie. Il reste qu’il faut bien traiter du problème du nucléaire, car la seule position raisonnablement possible si on veut que l’espèce humaine perdure comme toutes les autres formes de vie sur la planète, est qu’il faut cesser toute production d’énergie par le nucléaire, bannir toute arme atomique ou utilisant du métal radioactif comme l’uranium dit « appauvri », et mettre en place une industrie mondiale du retraitement définitif de tout le matériel radioactif produit par l’Homme depuis le commencement de l’ère atomique. Il ne faut pas rêver. Le nucléaire est devenu synonyme d’indépendance par rapport aux menées invasives et destructrices de l’Occident. Vouloir restreindre le nucléaire à l’Occident, ce qui est la position de fait de ces organisations anti-nucléaire européennes ou américaines, comme la douteuse Greenpeace, revient à favoriser en sous-main la poursuite de la guerre de conquête mondiale de l’Occident, et particulièrement au sein de ce conglomérat nommé Occident, de son noyau américano-juif. Il faut mieux que tout disparaisse plutôt que cette guerre de conquête aboutisse à la victoire de ce conglomérat, car alors, l’ampleur et la durée du cauchemar seront portées à un paroxysme inimaginable. Il faut mieux même favoriser la défaite de l’Occident face aux autres entités monstrueuses que sont les géants asiatiques chinois et indiens, et l’entité étatico-mafieuse russe. Pour la raison simple, que ce qui est en face de l’Occident n’est pas durable, et se disloquera rapidement, à la différence de l’installation occidentale. Pourquoi ? Parce que le régime occidental possède l’intelligence de se nourrir de son opposition interne et fait son miel même de celle la plus radicale qui soit, ce qui n’est d’évidence pas le cas du camp anti-occidental. Par exemple, l’auteur de ce site participe à l’affermissement de la puissance américano-juive en écrivant ces lignes. C’est la dernière arme psychologique qui a pris place dans l’arsenal occidental, qui est la plus redoutable, que de laisser la bride sur le cou des dissidents, je parle de ceux qui sont authentiques, et non pas de la pléthore qui soit naît spontanément, orientée par son odorat qui la guide vers le compte bancaire ou la mansuétude des médias, ou bien ceux fabriqués dans les laboratoires de recherche DGM (Dissidence Génétiquement Modifiée), des services spéciaux occidentaux, et l’arme psychologique peut avec justesse être dénommée la Reine des armes. Pour finir, il est juste d’attirer l’attention sur quelques sites internet qui sont réellement anti-nucléaire, par opposition à ceux de la mouvance des services otano-sionistes (tirés du fichier sur le site aredam.net http://www.aredam.net/revue.html : Authentiques : http://aipri.blogspot.com
(unique, sur le nucléaire) Catégorie spéciale "factices
médiatiques du régime", pour la façade anti-nucléaire
(servent à encadrer les gogos-bobos militants) :
4 – Trois individus types de faux-opposants :
4 - 1 Olivier Besancenot du Nouveau Parti Anticapitaliste ex parti trotskiste Ligue Communiste Révolutionnaire contre la société Tazer.
L’appareil général de propagande du régime a payé dernièrement une nouvelle tranche de créditation à Olivier Besancenot, la figure la plus populaire du parti NPA Nouveau Parti Anticapitaliste, ex parti trotskiste LCR Ligue Communiste Révolutionnaire. Cette campagne de promotion a consisté en des menées d’espionnage de la part de la société Tazer qui commercialise en France une arme à impulsion électrique, menées à l’encontre de Besancenot, Besancenot ayant exprimé publiquement que ce type d’arme est parfois mortel, et laisse en général des séquelles souvent irréversibles, la société Tazer ayant mandaté une officine des services para secrets pour espionner Besancenot, ce qui fut - par quel biais extraordinaire ! - dévoilé, ce qui mena Besancenot à poursuivre en justice la société Tazer pour atteinte à la vie privée, et à poursuivre de même l’officine en question (les services secrets deviennent donc très peu secrets quand le régime désire anoblir l’un de ses comparses en charge d’encadrer le bas peuple, en lui taillant un costume de victime de son devoir de défense de ce dernier). Le NPA, comme les autres mouvements politiques d’extrême gauche en France, sont les bras articulés des partis centraux de gauche, et servent à ratisser sur ses marges, la population qui tend à échapper à l’emprise des parti centraux de gauche, moins bien lotie que sa clientèle de classe moyenne. L’action de ces partis pseudo extrémistes est essentielle dans le maintien de l’ordre en France. Il en est de même pour les partis centraux de droite et d’extrême droite. L’autre rôle de ces partis pseudo extrémistes (de droite et de gauche), est de canaliser l’énergie des inadaptés au régime, en les engageant dans des activités dites militantes, en les enrégimentant dans des structures où ils deviennent faciles à contrôler (militant-militaire-milice), et même plus, qui les mettent au service du régime et du maintien de son ordre. Cela est devenu particulièrement visible en ce qui concerne le NPA de Besancenot avec l’implication évidente du NPA dans la campagne de destruction de la Syrie engagée par le bloc Otano-sioniste occidental. Il n’est nul besoin d’argumenter plus avant sur Besancenot, le NPA, Lutte Ouvrière ou l’ultime caricature dans ce domaine qu’est le POE – Parti Ouvrier Européen, ex PT - Parti des Travailleurs, qui n’est qu’une officine de manipulation de la CIA et des services spéciaux français et annexe du Parti Socialiste, Lutte ouvrière étant elle spécialisée dans la cause palestinienne via son agente israélienne Olivia Zémor, chef de l’association CAPJO-Europalestine. Ces officines ne trompent que les irréductibles imbéciles, qui sont arrivés au stade d’une inconscience qualifiable de pathologique, où il n’y a aucun argument capable de leur rendre une lucidité qu’ils n’ont sans doute jamais eut. Mais Besancenot n'est qu’une première étape facile permettant d’aborder d’autres cas bien plus intéressants, complexes et riches de faux-opposants, tels Roberto Saviano spécialisé dans la lutte contre la mafia en Italie, et Emmanuel Fansten, écrivain (« Scientologie, autopsie d’une secte d’Etat », Robert Laffont 2010, et « Les Nouveaux barbouzes. Enquête sur la privatisation de l’espionnage », Robert Laffont 2012). Pour en finir avec le cas Besancenot, il faut noter le petit service que ce dernier a accessoirement livré au régime en ne dénonçant pas l'existence et le caractère nouveau de la police politique qui est devenue à la fois étatique et privatisée, et que c'est ce nouveau conglomérat qui reste à définir qui est en charge de la gestion réelle sociale et politique de la population. Il s'est contenté comme si c'était une affaire anodine, d'attirer l'attention sur une officine présentée comme ayant outrepassée ses prérogatives. Il n'a surtout pas évoqué que ceux qui ne pensent pas comme il faut ou dont l'activité dérange réellement le régime ont à faire eux avec des méthodes qui n'ont rien à voir avec la petite pratique d'espionnage à laquelle a eut à faire le Besancenot de service.
4 - 2 Roberto Saviano, en apparence engagé dans la lutte contre la mafia en Italie, auteur des livres « Gomorra » et de « Le combat continu. Résister à la Mafia et à la corruption ».
Roberto Saviano doit sa renommée à son livre sur la mafia napolitaine « Gomorra », paru en 2007, suivi d’un film "grand spectacle" tiré de ce livre. Il serait depuis sous protection policière permanente, c’est du moins ce qu’indique l’éditeur de son dernier livre, Robert Laffont « Le Combat continue. Résister à la Mafia et à la corruption », 2012. Saviano dérange donc officiellement la mafia italienne. Mais ce qui dérange chez le personnage de Saviano commence à filtrer à travers son dernier livre, dont la lecture laisse échapper une autre réalité que celle que le pouvoir veut que le public accepte de cet auteur. Le plus difficile pour la tenue de personnages factices est de parvenir à maintenir leur illusion sur la durée. Quel est le travail essentiel que le régime demande à Saviano ? Ce travail est d’occulter l’essentiel. Saviano est en charge de dénoncer la mafia, tout en entraînant l’attention du grand public dans une direction où il ne voit pas ce que le phénomène mafieu peut révèler sur la réalité du régime. Le travail de Saviano est vital pour le régime. Qu’est-ce que Saviano occulte sur la réalité du régime ? Cela apparaît à la lecture d’un précieux livre écrit par le fils du général Carlo Alberto dalla Chiesa, Nando dalla Chiesa : « Meurtre imparfait. L’Affaire dalla Chiesa », éditions Liana Levi, Paris 1984. Cela apparaît de même à travers le film de la journaliste Sabina Guzzanti, « Draquila, l’Italie qui tremble », diffusé en 2010. Le général Carlo Alberto dalla Chiesa fut assassiné par la mafia sicilienne à Palerme en 1982. Ce fut lui qui enclencha le processus politico-judiciaro-policier qui mena à l’admission de la réalité du phénomène mafieux en Italie, à sa prise en compte, à la création d’organisations étatiques centralisées de lutte contre la mafia, à l’élaboration et à la promulgation d’un dispositif de lois spécifiques au crime mafieux, et aux premières défaites de la mafia depuis l’action de Mussolini, à la disparition du parti de la Démocratie Chrétienne et au départ de son chef Andreotti, les deux étant totalement inféodés à la mafia. Or, une partie essentielle de ce que dénonce le fils du général dalla Chiesa est l’existence de la loge P2, c'est-à-dire l’existence d’un pouvoir occulte en Italie, qui détient la réalité du pouvoir. C’est au fond ce qui est le plus important dans le livre de Nando dalla Chiesa, la révélation de l’existence de ce pouvoir réel, qui est structuré comme un réseau, autour d’un ou plusieurs centres, agglomérant des potentats issus de la police, de la justice, des services secrets, de l’armée, de l’administration, de la politique, des milieux économiques privés, des mafias, de l’église catholique etc … Il est aussi clair que la dissolution formelle de la loge P2 a immédiatement entraîné sa continuité par la création d’une organisation identique réunissant les mêmes acteurs. Ce qui peut aussi apparaître dans le livre de Nando dalla Chiesa, comme un détail au regard de l’envergure de ce qui précède, mais qui est aussi essentiel, est la réalité de l’écrivain sicilien Leonardo Sciascia, comme celle d'un véritable compagnon de route de la mafia, qui sous couvert de dénoncer la mafia a toute sa carrière durant servit à entretenir le doute sur le fait même de son existence, lui rendant ainsi le plus inestimable des services. Il est clair que Sciascia est un pur satellite de la mafia, un de ses membres associés. A travers le cas de Sciascia on peut prendre conscience que la mafia possède de même que les états, son propre service de propagande et de désinformation, doté d’un personnel d’une très grande compétence, Sciascia ayant réussi sa vie durant à tromper quasiment tout le monde et à freiner la prise de conscience générale sur la réalité de l’existence d’une organisation criminelle spécifique dénommée mafia, envers laquelle les mesures classiques de lutte contre le crime organisé sont inopérantes, et qu’on doit combattre avec des mesures spécifiques. De nombreuses autres omissions du Saviano, révélatrices de la réalité du régime italien, apparaissent grâce au film de Sabina Guzzanti « Draquila, l’Italie qui tremble », diffusé en 2010, réalisé à la suite du tremblement de terre en Italie, qui a détruit la ville d’Aquila dans les Abruzzes. On y apprend que Berlusconi, dont le parti Forza Italia a pris la relève de la Démocratie Chrétienne qui a du être dissoute, est tenu par la mafia, et cela dès le démarrage de sa carrière comme agent immobilier. Ces informations sont données de la bouche même du fils du mafieux historique et rénommé Vito Ciancimino, Massimo, Vito Ciancimino ayant été le grand spécialiste de l’urbanisme à Palerme à l'époque dite du "sac de Palerme", que la mafia a investi plusieurs milliards de lires dans le gigantesque programme immobilier auquel Berlusconi a participé au début de sa carrière « Milano 2 », que l’église catholique jouit sans réticence d’avantages octroyées par le milieu mafieux de Berlusconi, que l’Italie a mis en place une organisation identique à celle de la FEMA des USA, en charge d’organiser les secours de masse en cas de catastrophe, la « Protection civile », ce qui dans les deux cas se traduit par la perte pour la population des droits élémentaires et des garanties civiles et politiques, allant jusqu’à la mise en place de camps de concentration gardés militairement, et la privation de la liberté fondamentale d’aller et de venir. Quant au tremblement de terre d’Aquila qui fit plusieurs centaines de morts, des signes avant coureurs de sa venue avaient été observés par les spécialistes, et c’est sciemment que les autorités italiennes n’ont pas ordonné l’évacuation préventive de la population, de façon à pouvoir ordonner autoritairement après le séisme qui était attendu son enferment dans des camps, permettant la réalisation d’une opération financière de construction de grande ampleur. Le film de Guzzanti diffuse des conversations téléphoniques enregistrées par la gendarmerie, où on entend des mafieux se réjouir du futur séisme imminent et se moquer ouvertement du sort futur des habitants qui se trouveront pris dans le séisme. De cela aussi Saviano occulte la réalité, alors qu’un chapitre entier de son dernier livre traite du tremblement de terre d’Aquila. Voilà quelques aspects de la réalité que Saviano est en charge d’occulter. On peut dire que Saviano a pris la relève de Sciascia, comme Forza Italia a pris la relève de la Démocratie Chrétienne, et Berlusconi d’Andreotti. Au fait, quel est maintenant le nouveau nom de la loge P2 ? Or, ce qui se passe en Italie, se passe de même dans les autres pays du bloc occidental, et ce qui est révélé par les occultations volontaires de Saviano concerne de même les autres pays du bloc occidental. Il est de même intéressant de consulter le site internet wikipedia, qui est l’un des organes mondiaux de désinformation du régime occidental (la fameuse "encyclopédie libre"), en ce qui concerne Sabina Guzzanti (qui elle dérange véritablement), présentée distraitement comme une adepte de mouvements sectaires (Soka Gakaï, Zen Nicchiren), le tremblement de terre d’Aquila, et le nouveau Sciascia Roberto Saviano.
4 - 3 Le journaliste d’investigation Emmanuel Fansten. Livres : « Scientologie, autopsie d’une secte d’Etat », Robert Laffont 2010, « Les Nouveaux barbouzes. Enquête sur la privatisation de l’espionnage », Robert Laffont 2012. Une production à suivre, émanant sans doute de commandes des services).
Emmanuel Fansten, noms de code : « Le Petit Poucet » et « La Fève », c’est-à-dire « Pousse-fèves ». Comment comprendre le phénomène Fansten ? Premièrement à travers son premier nom de code : « Le Petit Poucet ». En effet, il suffit de suivre la piste, jalonnée par ses livres semés toutes les deux années dans le terreau éditorial, piste qui mène là où nos bons amis des services veulent qu’on s’attache à certains éléments du décor de carton pâte de notre démocratie-univers Potemkine. Ce qui signifie en clair que la Scientologie on en a rien à foutre, comme des Nouveaux barbouzes. Passons donc à l’essentiel. L’essentiel se situe dans le second nom de code de Fansten qui est « La Fève ». Le second nom de code d’Emmanuel, surnom qui est contenu dans le premier, à la mode des poupées russes ; « La Fève » - car comme la fève dans la galette des rois, ce n’est pas la galette qui importe, c'est-à-dire le sujet apparent du livre, soit pour le moment la Scientologie et les officines privées d’espionnage, mais ce que ces livres tels des galettes des rois, renfermement comme fèves, comme « poisons dormants », comme pilules à faire gober au peuple Gogo (les nouveaux décérébrés par google, wikipedia et autres réseaux sociaux), ces fèves qui serviront à alimenter la rumeur qui fabrique la vérité, à livrer des extraits aux érudits ou aux moteurs de recherches orientés qui feront office de doctes références placées universitairement entre guillemets accompagnées des mentions indispensables permettant l’identification du livre, de son auteur, de l’éditeur, de la date d’édition, du numéro de page etc … Voici pour illustrer la méthode plusieurs fèves sorties des premiers livres de notre Pousse-fèves des services. Aux autres connaisseurs de sortir d’autres fèves de Pousse-fèves. Première fève (une énorme qui déborde de la galette). De la page 143 à 146 du livre de Pousse-fèves sur la Scientologie, il y est question du tandem Cotten-Bédrouni. D’un simple coup d’œil, ce qui est là occulté apparaît comme primordial, soit la tentative première dans l’histoire contemporaine, d’intrusions de certaines sectes comme la Scientologie et Raël dans la mouvance antisioniste et pro-palestinienne centrale française, à Paris, et même au-delà, dans certains milieux révisionnistes. Il est douteux que ces sectes qui ne peuvent exister que dans le cadre d’une société occidentale d’un capitalisme dominateur et ravageur dont elles sont l’unes des expressions parmi les plus abouties, se soient trouvées soudainement une fibre, une sensibilité pour les victimes dont elles font leur nourriture, soient devenues subitement pro-palestiniennes. On les imagine plutôt proche de l’entité et de son lobby, soit des carnassiers, qui sont directement aux commandes de la pompe à fric du pouvoir occidental. Il aurait été intéressant, et même essentiel de relever cette première implication de sectes à dimension politique internationale dans le secteur crucial mondial du Proche-Orient et de son cœur en fusion (pour le moment encore sous contrôle avant que qu’il ne se « fukushimatise » ou se « tchernobylise ») l’entité et la Palestine. De même qu’il aurait été intéressant de creuser le personnage Bédrouni, une sorte d’ectoplasme inconsistant, un factotum à tout faire, une marionnette flasque, supposée être le responsable d’un des premiers « sites pièges » mis en place par les services pour musulmans, antisionistes et pro-palestiniens, l’historique « stcom.net » (un autre s’y est depuis ajouté « alterinfo.net »), Bédrouni qu’on retrouve interviewé sur le site du Hezbollah, Bédrouni qu’on a pu voir opportunément poursuivi en justice par l’une des officines sionistes dite antiraciste et condamné pour ses activités antisionistes, à la mode Zémor, pour lui tailler un habit de valeureux résistant. Deuxième fève, plus discrète et plus complexe. La seconde fève apparaît encore à la dégustation du premier livre de Pousse-fève sur la Scientologie, mais renvoie bizarrement dans l’avenir au second « Les Nouveaux barbouzes », comme quoi on pourrait bien avoir affaire à une structuration de la tâche de Pousse-fève sur la durée. Pages 54 et 55 du livre sur la Scientologie, apparaissent les noms d’Yves Bertrand, l’ex-patron des Renseignements Généraux (RG) et du commissaire Patrick Rougelet des RG qui a servi sous Bertrand. Les RG sont l’une des plus vicieuses polices politiques françaises, qui en compte au minimum 5 (Les RG centraux assemblés à l’ex-DST actuelle DCRI, les RG de la préfecture de police de Paris, la DPSD, la DRM, la DGSE). Tous ces organismes outrent leurs vocations officielles manipulent la population, au niveau politique et agissent en ignorant et même détruisant les droits fondamentaux inhérents à la citoyenneté. Les RG de la préfecture de police de Paris sont particulièrement spécialisés à cause de leur situation géographique centrale et de la présence à Paris de toutes les têtes dirigeantes des associations, partis, mouvements et autres, dans la manipulation de la vie politique française. On peut dire que la vie politique française est entièrement entre les mains des polices politiques, spécialement de celle de la préfecture de police de Paris. Et encore, ce qui apparaît là n’est sans doute que la face visible d’un phénomène beaucoup plus puissant et occulte, qui s’étend sur tout le monde occidental. Patrick Rougelet, l’ex-commissaire des RG est l’un des cas exceptionnels et cela au niveau même mondial, de transfuge ayant apporté son témoignage, d’une police politique. Il n’y a aucun membre de la CIA qui l’a fait. Il existe un membre du KGB qui a accomplit ce chemin, et dont le parcours est passionnant du fait de l’intégrité et du courage du personnage, Viktor Orekhov (livre biographique de Nicolas Jallot, collection « Les documents » chez Stock, 2011, « Viktor Orekhov Un dissident au KGB »). On ne connaît pas d’autres cas au niveau mondial de « repentis » authentiques des services spéciaux et de polices politiques. Patrick Rougelet a écrit un livre décrivant son périple et le mal qu’il a eut à s’extirper des griffes des RG, ce qu’il a pu réaliser uniquement grâce à l’aide du Parti Socialiste et de l’avocat Arnault de Montebourg (R.G. La Machine à scandales », Albin Michel 1997. Ce livre est un document unique, d’une valeur inestimable. Ce qui apparaît aux pages 54 et 55 du livre sur la Scientologie de Fansten-Pousse-fève décrit Rougelet comme auteur d’un livre « au vitriol » sur les RG et sur son patron Yves Bertrand, livre qu’il aurait écrit suite à une animosité personnelle à l’égard de Bertrand, que Rougelet a usé de manœuvres déloyales vis-à-vis de Bertrand, allant jusqu’à espionner sa vie privée, et plus ou moins habilement, que Rougelet a été sinon un adepte de la Scientologie, du moins un instrument plus ou moins conscient de la secte. Son livre est cité en note de bas de page mais déconsidéré par ce qui précède. Or, il est clair qu’à la lecture du livre de Patrick Rougelet, on a affaire au parcours d’une personne pour qui sa tâche, son service, la personnalité de Bertrand, plus généralement celles de beaucoup de ses collègues et chefs, devenaient de plus en plus insupportables au regard de sa sensibilité, jusqu’à mener à la rupture. Il en a été de même pour le russe Orekhov. C’est pour cette raison qu’un homme politique comme de Montebourg, après beaucoup de réticences, a accepté de prendre en charge la défense de Patrick Rougelet, et cela malgré les menaces directes qu’il a lui-même subi bien qu’il fut relativement protégé par son statut d’avocat et son appartenance au cercle central du Parti Socialiste. Il s’est agit d’une véritable entreprise de sauvetage en ce qui concerne Patrick Rougelet, qui sans des aides extérieures puissantes y aurait laissé sa peau. Le livre de Patrick Rougelet bien qu’ancien (1997) continue de déranger, et il faut pour les services continuer à le déconsidérer. C’est une rareté qu’on se doit de lire et d’en propager la connaissance de l’existence et son contenu. Il existe donc une catégorie à part de livres, qui regroupe ceux qui ont traversé un mur qui ne doit pas être traversé, les transfuges, transfuge du KGB section politique, transfuge des RG français, transfuge de l’OAS (« J’ai tué pour rien », auteur à rechercher sur google), transfuge de la mafia (« Un Homme d’honneur » auteur anonyme, récit d’un simple soldat de la mafia sicilienne). Tous ces vécus sont uniques, et ces récits sont inappréciables, c’est pourquoi Emmanuel Fansten apparaît clairement par ce qu’il exprime au sujet de Patrick Rougelet comme un simple factotum de la police politique. Autres fèves de Fansten-Pousse-fèves : En vrac, car elles sont secondaires au regard des deux premières, et l’énumération doit commencer à être fastidieuse, de plus d’autres que l’auteur de ce texte doivent être mieux à même pour tamiser les ouvrages de Pousse-fève : Livre « Les Nouveaux barbouzes » (2012, Robert Laffont) : Brouillage des cartes vis-à-vis de l’affaire du suicide de Pierre Bérégovoy en 1993 (ministre des finances de Mitterrand puis premier ministre), dont on peut douter en tant que suicide (page 68), évènement qui mériterait un vrai travail d’investigation, et non pas quelques phrases et adjectifs tels que « sulfureux », « pour qui l’idée de complot va rapidement virer à l’obsession après les attentats du 11 Septembre - avec un S majuscule s’il vous plaît !!! », pour qualifier - entre autres délicatesses - un policier qui pense que ce suicide entre dans la liste impressionnante des « crimes d’Etat » de l’époque Mitterrand. Suit l’évocation d’une enquête de ce même policier (Hubert Marty, lequel au regard de la hargne de Pousse-fève doit dire quelques vérités), sur Yvon Colonna qui aurait bénéficié de protections policières. Ce qui est aussi caché là, par Pousse-fève, c’est l’existence d’un phénomène similaire à la mafia sicilienne, en Corse, ce qui n’a rien à voir avec ce qu’on nomme le « crime organisé », phénomène de mafia corse déniée par la classe politique, phénomène qui imprègne cette classe, des parties de l’administration dont la police et les services secrets, (mafia qui a prospéré derrière une simple façade de mouvements nationalistes politiques progressistes, en France de plus le milieu criminel est entièrement sous le contrôle de la mafia corse, aucun gang d’importance ne peut exercer son activité sans l’assentiment de la mafia corse sur tout le territoire français). Plus rapidement et en vrac : Page 74 du livre « Les Nouveaux barbouzes », accréditation de la réalité d’Action directe et de son chef Jean-Marc Rouillan (encore l’époque Mitterrand), comme d’authentiques révolutionnaires, alors que tout porte à les considérer comme de simples agents d’exécutions, des services spéciaux de Mitterrand, exécutions à prendre dans le sens d’assassinats, soit d’assassins d’Etat (affaire Besse et Audran, liées à d’encore obscures affaires de financement de partis, sans doute d’enrichissement personnel, de corruption à très haut niveau, et de nucléaire). Les années Mitterrand ont été l’occasion d’un record inégalé en crimes d’Etat et magouilles diverses. Page 153 à 156 (Les Nouveaux barbouzes) Blanchiment de l’organisme public dénommé CNCIS et de son président Paul Bouchet, en charge de contrôler la légalité des écoutes téléphoniques, une farce, il n’est pas besoin de s’étendre plus sur ce sujet et de se fatiguer à argumenter, il n’y a que les irréductibles imbéciles qui peuvent perdre leur temps à saisir ce genre d’administration pour savoir si ils sont espionnés, comme pour saisir la CNIL pour connaître le contenu de son dossier aux RG. Par contre, on peut s’amuser à le faire simplement pour moquer les services qui vous espionnent, en leur brandissant l’attestation de ces pieux organismes comme quoi vous êtes vierge de toute investigation. Enfin, cerise sur le gâteau, Fansten-Pousse-fève dénie de façon indirecte par son livre « Les Nouveaux barbouzes », qui ne traite que du domaine économique, que l’appareil de répression politique secret s’est de même privatisé, et que la persécution des dissidents et de ceux qui dérangent idéologiquement l’ordre occidental est sous-traitée à des officines privées, peut-être les mêmes que celles qui exercent dans le domaine économique. Le dissident est donc devenu un marché profitable, et il est probable que ces officines exagèrent même l’importance et l’influence de certains dissidents auprès de leurs commanditaires, de façon à voir proroger leurs contrats pour leur nuire. Les dissidents sont devenus en quelques sortes les vaches à lait de certaines officines. Il est à noter dans le livre de Fansten-Pousse-fève « Les Nouveaux barbouzes », le nombre important de citations concernant l’hebdomadaire dit satyrique, censé être indépendant, et spécialisé dans la dénonciation des scandales politiques et financiers « Le Canard enchaîné ». Cela introduit à la dernière partie de ce texte.
5 - L’hebdomadaire « Le Canard enchaîné », et son journaliste Claude Angeli (à travers ses actuels articles sur la Syrie). Le camouflage du génocide en cours en Syrie.
Chaque semaine, Le Canard Enchaîné produit un article signé de son ancien rédacteur en chef Claude Angeli, sur la guerre mené par l’Occident sioniste contre la Syrie, cela dans le cadre de l’actuelle guerre mondiale engagée ouvertement par l’Occident sioniste depuis le 11 septembre 2001 (sous l'appellation guerre contre le terrorisme) dont le but est d’installer une hégémonie totale et à très long terme, dans l’idéal définitive, sur la planète entière, pour accaparer la totalité de ses ressources vivrières, minières, en énergie, en eau, alors que la Chine, principalement, et d’autres puissances étaient en voie d’ascension, et représentaient la menace de devoir partager ces ressources. L’actuelle guerre de Syrie s’inscrit donc dans une planification guerrière à long terme et globale, dont les étapes furent l’Irak dès 1990 puis 2003, l’Afghanistan en 2001, la Lybie en 2011, puis la Syrie. La Syrie représente le verrou qui bloque toute avancée hégémonique dans la région centrale au niveau mondial qu’est le Proche-Orient, ainsi que le verrou qui entrave l’instauration d’une domination entière de l’entité sioniste sur cette même région centrale. Le but de guerre tactique en ce qui concerne la Syrie est sa destruction en tant qu’Etat, son morcellement en région indépendantes (environ 5), fondée sur une homogénéité religieuse et ethnique, alors qu’on a actuellement en place un Etat laïque dans lequel cohabitent pacifiquement plusieurs populations, qui de plus se reconnaissent comme membre de la communauté syrienne. Le régime assure de même une équivalence homme-femme, un niveau d’éducation et de soins comparable à ceux de l’Occident. De plus, la Syrie est le seul Etat arabe indépendant face aux sionistes et à l’Occident, l’Irak et la Lybie ayant été détruits. La Syrie est aussi l’allié en première ligne de l’Iran et du Liban libre des Occidentaux sionistes. Toutes ces raisons font que la destruction de la Syrie est l’objectif central de la guerre de conquête mondiale entreprise depuis 1990 par les Occidentalo-sionistes. Le succès de la guerre contre la Syrie sera la régression de la population ex-syrienne de plusieurs siècles, sa paupérisation, l’instauration de régime rétrogrades religieux, anti-féministes. La guerre menée contre la Syrie est réalisée par l’intermédiaire de personnages hybrides d’un type nouveau, des aventuriers mi-mercenaires purement vénaux mi-fanatiques religieux, d’un fanatisme si total qu’ils ne conçoivent comme seul rapport avec ceux qui ne partagent pas leur foi, que de les détruire. Ces mercenaires sont conditionnés et recrutés dans le réseau de mosquées des pays du tiers-monde et en Occident, tenu par à la fois les services spéciaux occidentalo-sionistes et leurs alliés des pays du golfe arabique, principalement le Qatar et l’Arabie Saoudite. L’autre allié de poids du bloc occidentalo-sioniste est la Turquie, qui héberge les bases arrières des mercenaires fanatiques, ainsi que secondairement la Jordanie. Le type de guerre entreprise pour venir à bout de la résistance syrienne est une guerre d’usure économique sur la durée, basée sur l’effondrement du tissus socialo-économique, les opérations des mercenaires fanatiques visant à détruire peu à peu tout le réseau marchand, industriel, financier, l’ensemble des infrastructures, des administrations, des écoles, des hôpitaux, des voies de communication, d’assassiner en masse les individus possédant un niveau de formation supérieure, les cadres du régime, en résumé tout ce qui représente la richesse d’une population et qui permet de l’organiser, d’assurer sa cohésion et sa cohérence. On peut dire que l’opération otano-sioniste en cours actuellement en Syrie est un génocide. Au regard de cette réalité, voilà ce que dit de la guerre de Syrie Claude Angéli, dans deux articles du Canard Enchaîné des 2 et 9 janvier 2013.
5 - L’hebdomadaire « Le Canard enchaîné », et son journaliste Claude Angeli (à travers ses actuels articles sur la Syrie). Le camouflage du génocide en cours en Syrie : Interpellation publique sous la forme d'une lettre ouverte adressée à Claude Angeli : Lire la lettre :
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