Une première conséquence de la défaite de Syrie Le début de la contestation de la véracité du fait historique de l' « holocauste » des juifs par les nazis, par la Russie, et au-delà par la Chine et les autres pays émergents, soit par les 9/10ème de l'humanité, à travers un article du site officiel russe La Voix de la Russie, du 27 septembre 2013. Cet article du site officiel russe : http://french.ruvr.ru/ (La Voix de la Russie), peut être interprété comme le fait que la contestation de la véracité de l’événement historique reconnu en Occident et considéré comme le plus sacré, qu'il est interdit de contester sous peine de châtiments judiciaires (prison et amendes exorbitantes), auquel tout citoyen occidental a l'obligation morale et légale de croire, qui est situé au-delà des cadres constitutionnels de la liberté de pensée et de s'exprimer, dénommé religieusement « holocauste », soit l'extermination des juifs européens par les nazis, au nombre de 6 millions, dans des enceintes remplies du gaz mortel cyanure d'hydrogène (dispositifs dénommés « chambres à gaz »), installés dans les camps de concentration, commence maintenant à être étendu au-delà de l'Iran, par la Russie, et donc à l'ensemble des pays n'appartenant pas au bloc occidental, soit aux 9/10ème de l'humanité. Ceci est un signe de la perte réelle de puissance du bloc occidental dominé par les américano-sionistes, puissance qui seule leur permettait par la violence d'imposer à l'humanité entière leur écriture de l'histoire, écriture réalisée dans le seul but de culpabiliser moralement l'ensemble du corps humain, afin de légitimer sa mise en esclavage, l'extermination de peuples entiers, et le pillage de toutes les ressources de la planète à leur unique profit.
27 septembre 2013 Rohani : reconnait-il l'Holocauste ?Par La Voix de la Russie | Le président iranien Hassan Rohani a reconnu que l'Holocauste était un fait historique, et l'a déclaré mardi dans une interview à la chaîne de télévision CNN. Cette information est démentie par la chaîne iranienne Fairs. Ces déclarations contradictoires mettent en cause la réalité de l'Holocauste.Hassan Rohani a reconnu le massacre des juifs par les nazis qu’il est un crime majeur, affirme le ministre une correspondante de CNN sur sa page Facebook, où elle a publié l’interview du président. Entre-temps, les Iraniens rejettent le mot « holocauste » dans le discours de leur chef. « Nous condamnons tout crime contre l’humanité commis au cours de l’histoire. Cela concerne les crimes nazis contre les juifs et les autres peuples. Mais les définitions et explications reviennent aux spécialistes et pas à moi, qui n’est pas historien », voilà l’expression exacte d’Hassan Rohani. En réalité, ce discours relève de la position officielle de Téhéran, souligne Sergueï Sereguithcev, expert de l’Institut du Proche Orient. La position iranienne sur l’Holocauste reflète la lutte idéologique dans le pays, menée depuis 1979. La majorité iranienne et certains musulmans tiennent au « mythe de l’holocauste » où l’holocauste joue un rôle primordial dans la reconnaissance d’Israël dans l’arène internationale. Sans lui, les Etats-Unis et leurs alliés européens pourraient abandonner le pays à jamais. La légitimité du pays repose sur le complexe de culpabilité des Européens et Américains en raison de nombreux crimes commis contre les juifs au cours de la Seconde guerre mondiale. Dans le cas différent, les pays occidentaux auraient soutenu une collectivité étatique sioniste qui fait un génocide arabe sur les territoires conquis. C’était la position de l'ex-président Mahmoud Ahmadinejad qui lui était plus éloquent. Selon lui, l’holocauste est « le mensonge basé sur des déclarations arbitraires et mythiques », « c’est lui qui était à l’origine de l’occupation sioniste de la Palestine ». Peu disposé à commencer sa présidence par une confrontation, son successeur Rohani se prononce plus diplomatique à ce sujet, fait remarquer Choïbm Bahman, chercheur à l’Institut des recherches iraniennes de Téhéran. La rétorque de Rohani est l’antithèse absolue des paroles d’Ahmadinejad. Il est évident, la politique étrangère du nouveau président est autre, plus douce à l’égard de l’Occident. Elle vise à effacer les tensions autour des conflits actuels. C’est une nouvelle étape dans l’histoire diplomatique entre l’Iran et les pays occidentaux. Dans pas longtemps, nous verrons si l’Occident saisira l’occasion de résoudre ces problèmes, notamment, celui du programme nucléaire iranien. Les négociations entre l’Iran et l’Agence Internationale de l'Energie Atomique se sont déroulées vendredi. Les parties sont satisfaites des résultats.
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