L'avenir politique de la France COUTTE Alain Article tiré du site Internet : http://www.mercure5s5i.com/lenouveaumonde/index.html 28 juillet 2005 Ce que n'oseront jamais écrire les grands médias français « politiquement corrects » par crainte de perdre la publicité de Publicis , nous vient directement d'Israël et plus particulièrement du grand quotidien Ha'aretz , connu pour sa qualité journalistique et ne pas utiliser la langue de bois, que nous saluons comme étant une (la seule) preuve de démocratie en Israël. La banque d'investissement « Cukierman & Co. » que possède la famille Cukierman crée un groupe européen pour devenir majoritaire de la tristement célèbre banque Leumi, impliquée dans une escroquerie d'indemnisations des victimes du génocide nazi selon les déclarations de son Président Edouard Cukierman, le fils du non moins tristement célèbre Roger Cukierman, également Président du CRIF . La famille Cukierman - fort discrète au demeurant - est considérée par Ha'aretz qui est certainement très bien informé, comme étant l'une des plus riches familles de France. Edouard Cukierman pense que les relations d'affaires entre la France et Israël vont connaître une amélioration rapide du au réchauffement des relations symbolisé par la visite du Premier ministre Sharon à Paris. Selon lui, Nicolas Sarkozy est aussi un signe positif, car il est considéré comme très sympathique envers Israël [Ndlr : on a bien compris que le probable futur Président de la République est un sioniste qui n'est plus à convaincre…]. Il a également indiqué que l'élection de Sarkozy serait une volte-face sans précédent dans les relations entre la France et Israël et, a-t-il rajouté, que Sarkozy a récemment indiqué à Roger Cukierman qu'il se rendrait en Israël en début d'année prochaine effectuer une conférence organisée par Cukierman & Co. Toujours selon Edouard Cukierman, la situation est en train de changer avec de récents contrats signés entre les entreprises françaises et israéliennes alors que jusqu'à présent les seuls investissements étaient des opérations d'achats immobiliers, dont un mandat de 150 millions de dollars pour un acheteur français qui recherche une propriété. Espérons qu'à ce prix là, notre acquéreur aura payé, avant son départ, tous ses impôts, certains ayant la fâcheuse tendance d'oublier ce « petit détail »…
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