Communiqué au sujet de l'agression de Ginette Hess Skandrani, de la part du site aredam.net.
Ginette Hess Skandrani a été agressée à son domicile le 25 octobre 2006 au soir, par deux personnes qui ont sonné à sa porte, et qui quand il leur fut ouvert, lui ont porté des coups de casques sur le visage, lui ouvrant l'arcade sourcillière, et d'autres coups sur les jambes, les mains et les bras. Un troisième équipié était resté en poste au rez-de-chaussée de l'immeuble, et sans doute un ou d'autres devaient certainement être en couverture et faire le guet dans la rue. Ginette Hess Skandrani est l'une des rares militantes politiques encore indépendantes en France, et "à sa manière" réellement intègre. Elle exerce son activité dans le domaine du soutien psychologique à la population de Palestine, et a entrepris de dénoncer systématiquement le génocide en cours de cette population, génocide opéré par les suprématistes juifs. Certains assimilent ces agresseurs à des éléments des milices juives, telles le Bétar ou la LDJ. Pour l'équipe analytique du site aredam.net, ces milices juives ne sont en réalité que des organisations similaires à celles des forces para policères d'Amérique latine, dont les plus connues étaient ou sont toujours les "Escadrons de la mort" brésiliens. Pour l'équipe du site aredam.net, il est très clair que ces équipes d'agresseurs para policiers, juifs ou pas, travaillent en étroite collaboration et sont articulées avec le complexe de ce qu'on peut nommer la "police politique" en France, complexe constitué des RG, de la DST, de l'anti terrorisme, de la fameuse Brigade du Château des Rentiers à Paris 13ème dite avec l'humour torve propre au Parquet de Paris de "protection de la personne et des libertés publiques", et des organisations politiques trotskistes françaises de maintien de l'ordre social comme la LCR, LO et le PT, la CNT, et autres structures, complexe qui est aussi en relation et qui agit de concert avec la "Propagande générale" occidentale dite "média libre" et ses journalistes qui ne sont que de simples flics en civil (comme le bien connu patron de "Reporters sans frontières" Alain Ménard-Ténardier, qui édite les placards muraux d'empoisonnement politique intitulés "Qui Vive"), et les services spéciaux étrangers israéliens et nord-américains. Pour cette raison, il est vain d'espérer une dissolution de ces milices juives, car c'est comme demander les dissolutions de la Préfecture de police de Paris et des Ministères de l'Amour et de la Vérité, des places Beauveau et Vendôme. Quelle serait en particulier la raison de l'agression de Ginette Hess Skandrani ? Simplement sans doute faire un rappel à la réalité à la frange d'activistes politiques indépendants encore existante en France (l'association des "derniers êtres humains", rappeller à ces activistes que l'état de démocratie est entièrement fictif, et qu'ils sont en liberté étroitement surveillé et toléré (comme des poissons dans un bocal dont on peut retirer à chaque moment l'eau), qu'ils sont des sortes d'animaux en voie d'extinction, une sorte d'espèce protégée contenue dans une réserve comme ce qui existe en Afrique, espèce en voie naturelle d'extinction (grâce à la transformation industrielle de l'ensemble de la population en larves déconscientisées), activistes qui remplissent leur rôle de figurants et d'animateurs de notre façade de simulacre de démocratie, tant que cette façade de simulacre est utile et doit durer, c'est à dire tant que la crise pétrolière ne sera pas ouvertement enclenchée et que la classe moyenne occidentale qui assure l'inertie du système ne disparaîtra pas, classe moyenne qui est entretenue par le pillage du tiers-monde. L'épuisement du pétrole qui est très proche, environ 5 années selon beaucoup, provoquera la désagrégation de la classe moyenne occidentale, et donc une totale déstabilisation politique, et la nécessité du passage du simulacre démocratique à une dictature militaire franche. C'est ce qui se prépare déjà depuis une dizaine d'années, avec comme prétexte le terrorisme islamique. Il n'y a pas à craindre une future révolte politique constructive et libératrice de la part de la classe moyenne occidentale paupérisée (cette classe moyenne a en effet dépassé le stade de l'annihilation mentale grâce à l'appareil intensif d'anéantissement psychologique du télévisuel et du show-bizness, et grâce à la pratique non-stop du gavage des oies dite "consommation"), mais des réactions incontrôlées et incontrôlables, comme celles d'un troupeau de moutons décervelés et désorientés, qui auraient perdu tous leurs repères, devenus follement agressifs, et qui briseraient les barrières de leur enclos en se jettant aveuglément contre elles (il va falloir l'armée à tous les coins de rue). C'était exprimée l'opinion de l'équipe d'aredam.net. En prévision de ces petits tracas, qui entraîneront l'effondrement général de l'Occident en tant que camp, car ce camp ne doit sa cohérence qu'au butin pris sur le tiers-monde qu'il se partageait (principalement le pétrole), butin qui va bientôt disparaître, chaque groupe de pouvoir, chaque clan, cherche à se présenter au moment du début de cet effondrement, dans la position de force maximum, pour pouvoir le mieux résister à la crise et être parmi les survivants. C'est à l'évidence la politique de l'Etat d'Israël, qui illustre caricaturalement cette détermination, cherchant frénétiquement à se renforcer avant que le camp occidental dont dépend entièrement sa survie, n'éclate. Tout frein mis à ce renforcement de l'Etat d'Israël est donc une menace pour la survie même de cet Etat, comme les activités politiques d'opposition aux crimes de cet Etat, même simplement limitées dans le domaine du symbolique, comme la dénonciation chaque dernier samedi de chaque mois, à la Fontaine des Innocents à Paris, aux Halles, du génocide opéré sur la population de Palestine par les suprématistes juifs d'Israël, car cette dénonciation ne peut avoir que pour effet de géner l'élimination des palestiniens, ou du moins de ralentir cette élimination. Le petit groupe politique auquel appartient Ginette Hess Skandrani est en effet le seul en France à oser appeller un chat un chat, un génocide un génocide, et des génocideurs des génocideurs. Ce qui est tristement comique dans cette affaire, et que la crise générale ne sera pas simplement pétrolière et politique, mais surtout écologique, et que les survivants de la crise pétrolière et politique devront vivre dans un monde détruit, sinistre et invivable, se dirigeant eux-mêmes vers une lente, inexorable, douloureuse et désespérante agonie. Les vainqueurs seront ceux qui souffriront le plus longtemps dans un univers de cauchemard. Les raisons subsidiaires à l'agression de Ginette Hess Skandrani, sont à comprendre au regard de la série des agressions qui ont frappé ceux qui semblent s'opposer aux suprématistes juifs, comme le comique troupier Dieudonné et l'écrivaillon Alain Sornette. La tactique des suprématistes juifs, qui ont visiblement une connaissance de la psychologie manipulatoire en politique, est de focaliser l'attention du public sur des "personnalités", afin de rendre secondaire leur message politique. Cette technique réussit particulièrement bien en s'en prenant à des personnes qui sont connues pour être avide de reconnaissance, de promotion sociale (ce qui provient certainement d'un complexe infantile d'infériorité entraînant une immaturité constitutive, et une incapacité à exister au-dehors du regard des autres, les regards des autres devenant leur colonne vertébrale qui leur permet de se tenir droit, de paraître être adulte, de marcher seul). La qualification de cette méthode de diversion du message politique dérangeant pourrait être la "promotion-agression-diversion". Si la personne visée n'en n'a pas conscience et ne s'oppose pas à ce procédé en recentrant volontairement l'attention focalisée sur elle sur son message politique, cette tactique est imparable. Tout dépend de l'authenticité et de la sincérité de la motivation de la personne visée, si elle est réellement profondément touchée par ce qu'elle dénonce, ou si ce n'est qu'un prétexte pour assurer sa propre promotion. Cette tactique de "promotion-agression-diversion' joue sur les faiblesses humaines. Une autre raison plus banale de ces "agression-promotion-diversion" est d'induire une possible radicalisation du milieu visé afin de provoquer de sa part à des actes ou à des propos qui excèdent les limites du code pénal, et pouvoir les réprimer "légalement". Il s'agit tout simplement de provocation pour justifier la répression. Pour finir, selon certains qui se veulent bien informé, dont le trotsko infiltré Vertja (Javert en verlan, du nom de ce personnage de flic qui passe sa vie à persécuter Jean Valjean et qui finit par se suicider en se jettant dans la Seine, personnage tiré du roman de Victor Hugo "Les Misérables"), encore connu sous les pseudos de "Le Pécheur" ou "La Truite" ou "Le Goupillon" (à cause de sa tronche), il existerait une cellule de liaison au niveau national assurant l'interface entre tous les multiples services officiels et para officiels de contrôle policier de l'agitation politique libre. Cette cellule se nommerait "Hypo-Kamp". En feraient partie les RG Zentor et Pêt-Gaz, et bien sûr l'inévitable Vertja. Signé : Le pôte à tous, et qui les emmerde tous.
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