De : Michel DAKAR
Paris, le 18 juillet 2006
A : Cour européenne
des droits de l’homme,
STRASBOURG.
Requête contre la FRANCE,
pour son soutien à l’instauration mondiale
du droit de génocide, et de l’attitude raciste,
mis en œuvre graduellement par les sionistes.
Affaire de la fausse menace de mort fabriquée par le CRIF, la police
politique de la rue du Château des Rentiers à Paris, et par
le Parquet de Paris, fausse menace de mort imputée par eux à
Michel DAKAR, et des vraies menaces de mort portées à l’encontre
de Michel DAKAR par des agents sionistes protégés par l’appareil
judiciaire et policier français, le tout dans le but que Michel
DAKAR abandonne son action contre le génocide du peuple de Palestine
organisé par les sionistes, et son action contre le racisme sioniste.
Cette présente requête est publiée sur le site Internet
: http:// aredam.net
,
à son fichier spécifique :
http://
aredam.net / cedh-strasbourg-crif-racisme-genocide-mondialisation.html.
Cette présente requête est jointe aux dossiers de l’affaire
CODEIG, en civil n° d’appel RG 05/19027 à la 1ère
chambre civile de la Cour d’appel de Paris audience du 10 octobre
2006, en pénal à la 6ème chambre du T.G.I. de Versailles
n° de parquet 0600901700 audience du 18 septembre 2006, et en pénal
à la 17ème chambre du T.G.I. de Paris n° de parquet
0533908084 audience du 29 mars 2007.
Cette requête est déposée
pour atteintes envers Michel DAKAR par l’Etat français à
ses droits reconnus aux articles de la Convention européenne de
sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales,
qui suivent :
Droit à la vie (article 2)
Droit à un procès équitable (article 6)
Droit à un recours effectif (article 13)
Ces atteintes à ces droits, ont été réalisées
par l’appareil répressif français (police et justice),
agissant pour l’appareil de guerre sioniste, en raison de l’opposition
active de Michel DAKAR, depuis décembre 2001, à l’exécution
de masse du peuple palestinien par les sionistes, dont les sionistes du
CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France).
Cette exécution de masse se nomme dans le code pénal français
et en droit international, un « génocide ».
1 - Exposé des faits, introduction :
Ce qui se passe en Palestine répond exactement
à tous les critères de la définition du crime de
génocide, telle que l’avait donnée l’inventeur
même du terme génocide, en 1944, Raphaël Lemkin, dans
son livre « Axis Rule in Occupied Europe : Laws of Occupation, Analysis
of Government, Proposals for Redress », édité aux
USA.
Raphaël Lemkin était un juriste juif polonais réfugié
aux USA pendant la dernière guerre mondiale, fuyant l’invasion
nazie de la Pologne.
Les critères de LEMKIN pour reconnaître un génocide
sont ceux qu’on retrouve dans la définition du crime de génocide
de la Convention de l’ONU du 9 décembre 1948 à son
article II : destruction planifiée d’une population par un
Etat, opérée par : meurtres de membres du groupe, atteinte
grave à l’intégrité physique ou mentale de
membres du groupe, soumission intentionnelle du groupe à des conditions
d’existence devant entraîner sa destruction totale ou partielle,
mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe, transfert
forcé d’enfants du groupe à un autre groupe.
Raphaël Lemkin avait pris en considération
aussi les destructions des structures économique, politique, sociale
et culturelle du groupe, et son acculturation, soit la perte provoquée
de façon intentionnelle de son identité. Pour lui, une population
victime de génocide pouvait continuer à exister physiquement
si les individus qui la composent perdent l’identité propre
à leur groupe d’appartenance. C’est ce que le président
algérien a récemment évoqué en parlant de
la colonisation française comme d’un génocide culturel.
Raphaël Lemkin avait pris comme exemple typique de génocide,
celui du peuple irlandais par le gouvernement anglais.
Le cas du génocide de Palestine est l’un des exemples incontestables
de génocides actuellement en cours, avec celui des tibétains,
et des peuples indigènes des forêts tropicales de la planète
(énumération non exhaustive). Mais à la différence
des autres génocides en cours, et ce qui fait l’unicité
du génocide des palestiniens par les sionistes, c’est que
sa réalité est déniée par les plus hautes
autorités publiques occidentales, déni qui dévoile
que ces autorités publiques occidentales sont sous la totale sujétion
des sionistes.
La définition du crime de génocide de Raphaël Lemkin,
a servi pour fonder les attendus du Tribunal militaire international de
Nuremberg en 1945 qui a permis à ce tribunal de condamner les criminels
nazis, et a conduit à l’élaboration d’une nouvelle
norme juridique mondiale, celle du crime contre l’humanité.
La Convention de l’ONU du 9 décembre 1948 pour la prévention
et la répression du crime de génocide, et l’article
211-1 du code pénal français qui réprime le crime
de génocide, reprennent les critères retenus par Raphaël
Lemkin dans sa définition du génocide.
La définition de Raphaël LEMKIN du crime de génocide
s’applique parfaitement à ce qui fonde le sionisme, lequel
expose à la lumière éclatante du soleil de Palestine
à l’opinion publique mondiale, ses caractères fondateurs
et structurels, soit le racisme et le droit de génocide.
En automne 2006, les sionistes européens ont comme projet de faire
approuver un texte aux députés européens, assimilant
toute critique envers l’Etat d’Israël, en particulier
relativement à l’anéantissement programmé des
palestiniens, à une manifestation d’antisémitisme,
qui devra être réprimée par les tribunaux. Ce texte
devra servir de référence auprès des Etats membres
de l’Union européenne, afin que ces Etats mettent en conformité
leurs législations répressives internes avec le contenu
de ce texte.
Pour la première fois dans l’histoire
de l’humanité il sera alors officiellement criminel de s’opposer
à l’anéantissement programmé d’un peuple
par un Etat, ce qui reviendra à entériner une politique
de génocide, soit à instaurer le droit de génocide.
L’Etat d’Israël et les sionistes, ouvrent ainsi la voie
à l’instauration mondiale du droit de génocide, soit
au droit de conquête, d’exploitation, et au-delà de
colonisation. Cela ouvre la voie à l’instauration comme norme
sociale de l’attitude raciste. Le racisme apparaît clairement
là pour ce qu’il est, soit comme la justification de la domination
et de l’exploitation. Le droit de génocide et le racisme
constituent plus fondamentalement le droit d’exclusion.
Il est à remarquer que toute société fondée
sur la sacralisation de la propriété, ce qui est le cas
de la nôtre, recèle cachée dans ses fondations, le
droit d’exclusion, car le droit de propriété est par
définition un « droit excluant ». C’est le droit
d’exclure autrui de la jouissance d’un bien. Cela conduit
logiquement au droit d’exclure autrui de tout bien, soit de la vie,
soit à l’échelle des masses, au génocide et
au racisme. Le racisme est l’attitude qui justifie le droit d’un
être qui se considère comme supérieur, d’anéantir
un être considéré comme inférieur, relativement
à l’appartenance des individus à une masse.
Le raciste est apporté par les religions :
Ce qui est spécifique à la religion juive, c’est qu’elle
prône ouvertement un racisme divin, puisque tout rabbin conditionne
ses ouailles à se considérer comme les élues de dieu.
Dieu est l’entité suprême, l’autorité
transcendante, irréelle, inaccessible et donc indiscutable. C’est
le principe absolutiste même de la violence, de la force, du non-droit.
Les non-juifs sont donc des non-élus, soit des êtres inférieurs.
Le judaïsme prône de même clairement la sacralité
du droit de propriété, propriété qui est dénommée
« terre promise », thème qui est le socle même
du sionisme et du judaïsme.
Le judaïsme est en réalité la seule religion honnête,
en cela qu’elle est la seule à exposer au jour ce que toutes
les autres religions conservent de façon honteuse et secrète.
Le judaïsme est le révélateur de toutes les autres
religions. C’est le modèle des religions.
L’objet de toute religion est la légitimation
de la suprématie et de la subjugation, dans le but de se faire
côtoyer pacifiquement dominant et dominés au sein d’une
même société.
Dans le cas du judaïsme, cette coexistence pacifique doit avoir lieu
au sein même de la société juive, entre juifs pauvres
et juifs riches (l’écart est immense), et aussi au sein d’un
même monde (la planète terre), entre les juifs et les non-juifs.
La dénomination de judaïsme change dans ce dernier cas en
celle de sionisme.
La nécessité d’une religion n’apparaît
que pour les sociétés de type inégalitaires, structurées
par la hiérarchie. La religion est la violence mentale répandue
sur les masses pour faire accepter la soumission. C’est l’art
d’inculquer l’esprit de soumission.
Dans notre société, la propriété (issue du
droit d’exclure) provient du commerce. Le commerce, autrement nommé
capitalisme, est issu du droit d’affaiblir autrui ; droit de faire
du profit à son encontre, de l’exploiter, d’extraire
d’autrui un « bénéfice ». Le client subit
donc un « maléfice ». La notion de commerce «
équitable », n’est qu’une tromperie de la Propagande.
L’instauration du droit de génocide et de l’attitude
raciste, ne sont que l’aboutissement du capitalisme. Le commerce
et la propriété ; le capitalisme, ne se fondent en dernier
ressort que sur l’exclusion, soit l’élimination d’autrui,
et le racisme qui justifie moralement cette exclusion.
Il est logique dans cette société raciste et génocidaire
de constater maintenant la destruction généralisée
en cours de l’environnement, de toutes les autres formes de la vie,
et des cultures et des civilisations. C’est le génocide global,
ou le biocide final.
Ces destructions sont un aboutissement naturel pour un système
fondé sur le droit de propriété. Ce droit se compose
selon le code civil français des droits d’user et d’abuser
d’un bien. Le droit de propriété est donc définit
comme un droit illimité, ce qui autorise une expansion et une extension
perpétuelle. Le droit de propriété et de commercer
sont le droit de dominer, et la domination est par essence sans limite.
C’est un mode d’être à la fois totalitaire et
suicidaire.
Cette requête est donc la relation du combat de Michel DAKAR contre
la tentative par la société capitaliste, raciste et génocidaire,
via les sionistes qui en sont devenus le cœur, dont ceux de leur
repère nommée Israël, de l’établissement
mondial du droit de génocide et de l’attitude raciste, soit
du droit d’exclusion sans limite, soit du totalitarisme et de la
non-vie. C’est un combat contre l’avancée mécanique
du néant, vers la mort de l’esprit.
Car c’est de la mort de l’esprit qu’il
s’agit. En effet, il est à remarquer que le fait religieux
reprend une importance cruciale, à notre époque qu’on
pourrait définir comme étant celle d’une agonie, agonie
dont les parties les plus éduquées de la population sont
de plus en plus conscientes, conscience qui peu à peu qui se répand
aussi dans la masse, malgré la Propagande.
Face à un état d’agonie qui
semble à tous inéluctable, il n’y a comme seul recours
que l’instauration d’une inconscience généralisée.
Or, c’est le rôle de la religion d’imposer l’inconscience,
et comme la religion qui domine incontestablement maintenant toutes les
autres est le judaïsme, c’est au judaïsme que ce rôle
ultime à l’époque de l’Agonie, du biocide final,
est dévolu.
L’inconscience volontairement provoquée par les religions
provient de la détermination des religions à imposer l’ignorance
chez le dominé de son état dominé, d’exploité,
de spolié de son travail, de son intelligence, bref, de sa vie
entière, au profit de celui qui le domine. L’ignorance est
avant tout celle de son statut réel social, soit de sa propre réalité.
Mais la contrepartie inévitable de l’inconscience générée
par toute religion sur les individus de la masse dominée, est l’inconscience
des dominateurs, puisqu’ils ne peuvent ignorer ainsi autrui, les
dominés, sans ignorer le contexte général dont les
dominés ressortent, soit la réalité, et donc s’ignorer
eux-mêmes (les dominants), lesquels font aussi partie de cette réalité.
Tout régime inégalitaire ; fondé sur la domination
d’une partie de la population sur une autre, ne subsiste que par
le maintien dans l’inconscience des individus quels qu’ils
soient, dominants ou dominés.
L’adage du philosophe et poète arabe (aveugle), atypique,
du 11ème siècle, qui a vécu à Alep en Syrie,
et en Irak, Abril Ala Ma’arri, résume bien cette situation
:
« Les habitants de la planète se divisent en deux : ceux
qui ont un cerveau mais pas de religion et ceux qui ont une religion mais
pas de cerveau ».
On peut mesurer le niveau d’imposture actuel et la déchéance
de toute pensée, l’avancée vers la disparition de
l’esprit, quant au regard de ce sage, on ose considérer comme
des philosophes un Bernard Henri Levy, lequel est même pressenti
pour entrer à l’Académie française, ou un Alain
Finkielkraut, qui ne sont que de très médiocres agents de
la Propagande.
2-1 Exposé des faits : Développement
:
Fin décembre 2001, je publiai sur le site internet que je dirigeai
« equidence.org », site que j’ai depuis abandonné,
un texte et des dessins, ayant trait au pétrole, à l’Etat
d’Israël, au Moyen-Orient, et aux USA. (Pièce jointe
n° 1).
Le 31 mai 2002, je déposai par courrier postal, une plainte auprès
du ministre de la Justice, avec pour demande qu’il la transmette
avec ordre de poursuivre, à son subalterne, le procureur de la
République à Paris. Cette plainte visait l’Agence
juive, pour son organisation du génocide des palestiniens, par
l’action de l’Agence juive de promotion de l’émigration
de juifs français, dans les territoires palestiniens reconnus comme
tels par l’ONU, cette organisation implantant selon un article du
journal Le Monde, des colons français dans ces territoires. (Pièce
jointe n°2).
Fin juin, je reçus un avis de demande d’audition, adressé
par le service de police de Paris, nommé à l’époque
BEAP (Brigade d’enquête sur les atteintes à la personne),
service situé au 122 /126 rue du Château des Rentiers à
Paris 13ème (Pièce jointe n° 3).
Ce service de police dépend de la section A4 du parquet de Paris,
section dite « de la presse et des libertés publiques ».
Ce service policier est renommé pour persécuter les opposants
au génocide en cours en Palestine. Les instances directrices de
ce service travaillent en collaboration étroite avec les sionistes
en France.
Par exemple, la signataire de l’avis que je reçus, émanant
de la BEAP, la commandante de police Gisèle ARBAUD BOGGIO, l’un
des deux piliers ouvriers de ce service, l’autre étant le
capitaine Jean-François VAN DE VEN, était en relation régulière
avec le fameux rabbin Gabriel FARHI, du Mouvement juif libéral
de France, ce rabbin ayant simulé une agression « antisémite
», opérée par un musulman au cri d’ «allah
akbar ! » (dieu est grand !), au sein même de sa synagogue.
Cette simulation était destinée à accroître
la répression des musulmans et des arabes en général,
qui sont les plus sensibles au génocide de Palestine. Cette répression
aurait pris le prétexte des caractères supposés antisémite,
nazi et terroriste des opposants au génocide des Palestiniens.
Il y eut ainsi en France, durant quelques années
(2002 à 2005), une série d’attentats « antisémites
», fabriqués de toutes pièces par les sionistes. Certains
furent plus catastrophiques pour la cause sioniste, que les autres. Celui
du rabbin FARHI fut très très catastrophique, comme celui
de l’incendie de l’école juive de Gagny, mis en œuvre
pour toucher la prime d’assurance, et surtout, celui du RER D, et
de sa volontaire spontanée, elle aussi auto-agressée, une
mytho-nymphomane opportuniste, raciste et à la limite débile,
nommée Marie Léonie LEBLANC. Marie LEBLANC fut quand même
reçue et félicitée par Nicole GUEDG, une sioniste
forcenée nommée au poste gouvernemental de « Secrétaire
d’Etat aux droits des victimes », qui forçait ses fonctionnaires
subalternes non-juifs à manger kasher, et qui devrait bientôt
intégrer le Conseil d’Etat.
Le service de police BEAP, comme toutes les entreprises « intègres
» de ce genre, change régulièrement de nom. Il s’est
depuis 2002 métamorphosé en BASLP (Brigade des affaires
sanitaires et des libertés publiques), pour ensuite et pour le
moment stagner en BRDP (Brigade de répression des atteintes à
la personne). Son ancien chef, le commissaire Thomas de RICOLFIS, dirige
à présent un service européen de lutte contre le
terrorisme, service sans doute dédié aussi, au nom de l’
« humanisme », des « libertés publique »,
de la lutte contre les « atteintes à la personne »,
et autres « affaires sanitaires », à la persécution
des opposants au racisme israélien et au génocide de Palestine.
2-2 Exposé des faits : Mes rapports personnels
avec le service parisien de la police politique anti-antisioniste et pro-racisto-génocidaire
BEAP – BASLP – BRDP :
Je suis président de l’association RDM (Réhabilitation
de Daniel MILAN), dont l’objet est de rendre son honneur à
Monsieur Daniel MILAN. Monsieur MILAN est un militant libertaire et antisioniste
vivant à NICE (sud de la France), qui œuvre plus largement
dans le domaine de l’humanisme, des droits humains, et de l’antiracisme.
C’est pourquoi il est classé comme nazi par la propagande
sioniste.
Daniel MILAN a été torturé du 1er octobre 2001 au
3 octobre 2001, sur ordre de l’association sioniste « J’ACCUSE
», dirigée par Marc KNOBEL, membre du CRIF et du centre américain
Simon Wiesenthal. L’association « J’ACCUSE » est
domiciliée chez l’avocat parisien Richard SEBBAN.
Monsieur MILAN avait adressé un fax à
l’association « J’ACCUSE » constitué d’un
dessin critiquant les effets attendus des attentats gouvernementaux israélo-américains
dits du 11 septembre 2001, opérés au World Trade Center
(Centre mondial du Commerce à New-York) et au Pentagone (Washington)
aux USA.
Monsieur MILAN a été torturé par taillades de son
dos par une arme tranchante, par l’électricité, par
des coups portés à la tête, par étranglement,
par privation de nourriture et de soins, et des médicaments indispensables
à sa santé.
Ces tortures ont été réalisées par la police
nationale française de NICE, sous les ordres directs du lieutenant
Robert PINHOUET. M. Robert PINHOUET a été promu en 2003
par l’actuel ministre de l’Intérieur français,
Nicolas SARKOZY. M. Robert PINHOUET qui est maintenant capitaine, a été
nommé récemment à l’antenne de police du quartier
de NICE nommé « Les Moulins », juste en face du domicile
de Daniel MILAN, ce qui fait que M. MILAN est confronté quotidiennement
avec son tortionnaire, ce dernier jouissant de l’impunité,
ce qui constitue une menace pour la sécurité physique de
Daniel MILAN.
L’affaire des tortures de Daniel MILAN fait l’objet d’une
requête soumise en ce moment à la Cour européenne
des droits de l’homme (CEDH).
Cette requête a été déposée pendante
le 19 mai 2003, et définitivement le 21 mars 2005. Son numéro
d’enregistrement est : 7549 / 03.
Or, nous avons eu récemment la preuve que les tortionnaires policiers
de Nice, ont reçu leurs directives de Paris, et de la BEAP. En
effet, un document a été présenté à
Daniel MILAN, lors de la restitution de son matériel informatique,
confisqué par la police en octobre 2001, restitution qui eut lieu
à son domicile le 4 juillet 2002. Sur ce document figuraient les
indications suivantes :
« MME FUSINA 01 55 75 23 77 PROCEDURE BEAP 2001 00713 »
Le numéro de téléphone correspond à celui
d’un poste de la BEAP.
2-3 Exposé des faits : Un autre rapport
entre moi-même et la BEAP-BASLP-BRDP.
J’ai été poursuivi sur ordre du procureur de Paris,
Yves BOT, en décembre 2003, pour « antisémitisme »
et « négationnisme », suite à mes incessantes
activités de dénonciation du génocide de Palestine.
J’ai eu tardivement accès à mon dossier judiciaire.
J’ai pu constater que ce dossier était entièrement
falsifié.
J’ai déposé une plainte pour cette falsification,
délit qui est nommé en droit « faux en écriture
publique », ce qui lorsque l’auteur est magistrat est non
plus un délit mais un crime qui doit être jugé par
les assises.
Il est à noter que M. Yves BOT a connu un ascension fulgurante,
passant de simple substitut (1990 à Caen) à procureur général
en moins de trois ans (Le Mans), suite à son obéissance
dans une affaire d’attentats organisés par le service de
police politique militaire anciennement dénommé «
Sécurité militaire » (service qui est le pendant des
« Renseignements généraux » civils), service
actuellement dénommé « DPSD » (voir l’affaire
Michel LAJOYE, condamné à la prison à vie pour un
attentat à l’explosif sans explosif, sans victime, sans dégât
matériel, sans partie civile et sans témoins cités
aux assises de Caen – juin 1990, sur réquisitions du substitut
Yves BOT).
Ces attentats servaient à accréditer la thèse que
le nazisme existait toujours, ce qui permettait en dernier ressort de
légitimer la répression des opposants au sionisme, au nom
de la lutte contre l’antisémitisme et de la résurgence
nazie. La DPSD opérait sans doute sur ordre des services spéciaux
sionistes.
Yves BOT a ensuite été pressenti (1990) pour devenir Directeur
des affaires criminelles et des grâces au ministère de la
Justice, poste qu’il ne put occuper du fait de l’opposition
de François Mitterrand. On lui offrit comme consolation, un poste
créé spécialement pour lui, « conseiller spécial
» auprès de Pierre Méhaignerie, ministre de la justice
(1993).
Après avoir été procureur
général à Nanterre, il a été placé
au poste clé de procureur de la République à Paris,
et il est actuellement à celui stratégique de procureur
général près la cour d’appel de Paris.
Yves BOT est un simple ustensile utile et docile du gouvernement. Il offre
l’avantage d’être absolument dénué du
moindre atome d’indépendance et d’autonomie. Il a de
plus été vice-président du syndicat de magistrats
APM (Association professionnelle des magistrats), dont le président
Alain TERRAIL (avocat général près la cour de cassation),
a été condamné pour publication de propos antisémites
dans la revue du syndicat APM (novembre 2000 à la 17ème
chambre du TGI de Paris – propos visant un autre magistrat, Albert
Levy, « Tant va Lévy au four qu’à la fin il
se brûle »). L’APM était financée par
le milliardaire marchand d’armes et intégriste juif (achat
en nombre d’exemplaires de la revue du syndicat APM), Arcady GAYDAMAC,
le même qui a tenté récemment et sans succès
d’acheter le quotidien France Soir.
Les falsifications de mon dossier judiciaire ont été opérées
sous la responsabilité d’Yves BOT, via la section A4 du parquet
de Paris, section spécialisée (les « libertés
publiques »), mais sur ordre du gouvernement de l’époque,
agissant lui-même sur injonction du CRIF.
Ces falsifications extrêmement grossières, même caricaturales,
ont été sans doute réalisées par des membres
de la section A4 en collaboration avec l’équipe de policiers
de la BASLP de l’époque.
2-4 Exposé des faits : L’affaire
des juges « félons » parisiens ; BONNAL, TREBUCQ, COTTE.
Il est à noter que le juge Nicolas BONNAL, de la 17ème chambre
du TGI de Paris, qui m’a condamné en 2004 à 5000 euros
d’amende et à un mois de prison (pour l’instant avec
sursis) pour mes activités de dénonciation du racisme sioniste
et du génocide de Palestine, condamnation sous les prétextes
classiques d’ « antisémitisme » et de «
négationnisme », n’a pu qu’être conscient
de ces falsifications grotesques, lesquelles auraient dû entraîner
l’annulation de la procédure. J’ai dû à
nouveau comparaître devant ce même magistrat complaisant et
dévoyé, le 13 juillet 2006 à la même 17ème
chambre du TGI de Paris, pour une audience de fixation, pour encore mes
activités interdites (en substance, la création d’une
association CODEIG de lutte contre tous les racismes et tous les génocides,
dont le génocide dénié de Palestine, entraînant
la demande par le Parquet de Paris de dissolution à priori au civil
de l’association CODEIG, ce qui est non-seulement illégal,
mais surtout anticonstitutionnel, entraînant la poursuite au pénal
sur le contenu même des statuts de l’association, ce qui est
illégal puisque les statuts d’une association sont par définition
libres, entraînant la poursuite sur plainte du ministre de la justice
même, à Versailles, pour ma dénonciation publique
via Internet d’actes écrits illégaux du magistrat
Sylvie KACHANER, laquelle a requis contre l’association CODEIG,
poursuite toute aussi illégale et de plus absurde, et tout cela
toujours sous le prétexte de lutter contre l’antisémitisme
et le négationnisme, et tout cela toujours sur l’ordre des
hyper racistes et des hyper génocideurs sionistes, qui doivent
m’observer à l’aide d’un miroir grossissant).
Une requête en récusation va donc bientôt être
déposée auprès du premier président de la
cour d’appel de Paris, à l’encontre de M. Nicolas BONNAL
(article 668 alinéa 9 du code de procédure pénale)
ainsi qu’une plainte pour complicité de faux en écriture
publique, puisque le juge BONNAL avait le devoir de dénoncer (article
40 du code de procédure pénale), ce crime qu’il ne
pouvait manquer de constater, au procureur de la République à
Paris, Yves BOT.
Ces affaires concernant Nicolas BONNAL seront
bien sûr menées toutes deux, jusque devant la Cour européenne
des droits de l’homme.
Les juges Laurence TREBUCQ, de la 11ème
chambre de la cour d’appel de Paris, et Bruno COTTE de la cour de
cassation ont eu à connaître de la suite de cette affaire.
Ils ont sciemment ignoré ces faux, devenant donc eux-mêmes
complices de faux en écriture publique, cela afin de couvrir le
génocide de Palestine. Cela rend ces juges de plus complices de
génocide. En effet, la juge TREBUCQ ainsi que le juge COTTE étaient
informés de l’existence de ces faux, puisque j’avais
joint au dossier judiciaire à partir de l’appel, ma plainte
avec constitution de partie civile pour ces faux.
Ces deux derniers fonctionnaires professionnels du droit ont eux aussi
failli à leur devoir de dénonciation au procureur de la
République des délits et des crimes dont ils ont la connaissance
(article 40 du code de procédure pénale).
Deux autres procédures vont donc être engagées incessamment
contre Laurence TREBUCQ, procédures qui seront aussi menées
à la CEDH.
Voici les documents falsifiés par la section A4 du parquet de Paris,
dirigée par l’actuel procureur général près
la cour d’appel de Paris Yves BOT, et les policiers de l’ex-BASLP,
actuelle BRDP, dirigée à l’époque par le commissaire
Thomas de RICOLFIS, actuellement à la tête d’un service
européen de lutte contre le « terrorisme » islamo-arabe.
Détails des documents truqués :
1 - (Pièces jointes n° 4 et n° 5, numéros en bas
de page 125 et 126).
Procès verbal de constat d’une visite du site Internet equidence.org
daté du 20 octobre 2003, du substitut David PEYRON. En annexe à
ce procès verbal figure une liasse de feuillets imprimés
depuis l’Internet.
Comme absolument tout document imprimé
depuis l’Internet, doivent figurer en bas de chaque page l’identification
du fichier Internet (nom du site et nom du fichier spécifique de
ce site), et la date de sa visite. Pas un seul des feuillets annexés
au procès verbal du substitut David PEYRON ne possède ces
indications. Une découpe a donc été opérée,
afin d’ôter la date réelle de visite du site, qui n’a
pu avoir lieu sans aucun doute le 20 octobre 2003. Ce procès verbal
est sans aucun doute possible un faux.
Etrangement, il a semblé important sept
jours plus tard au parquet de Paris, d’établir un autre procès
verbal pour le même site. Etrangement ce procès verbal a
été réalisé par un second substitut.
2 - (Pièces jointes n°6 et n° 7, numéros en bas
de pages 56 et 57).
Procès verbal de visite du site Internet « equidence.org
», par le substitut François CORDIER le 27 octobre 2003,
ou le « procès verbal universel ».
Ce procès verbal tient en une phrase, « accédons au
site equidence.org et en extrayons les textes et dessins que nous annexons
au présent », sans spécifier le nombre total de ces
documents annexés, ni la composition (par exemple nombre de feuillets,
recto ou verso ou les deux, si ils sont dactylographiés, ou si
ce sont des dessins, et autres …) de ces documents annexés,
ni la description même succincte de chacun de ces documents, ce
qui autorise à adjoindre au procès verbal par exemple tous
les documents présents à la Très Grande Bibliothèque
de France, ainsi que ceux qui existent dans le monde entier, dans le présent
et dans l’avenir, et à n’importe lequel des moments
de la procédure, et même encore maintenant bien que cette
procédure soit close et que j’ai été condamné.
Autant dire qu’un tel procès verbal n’a aucune valeur
légale, qu’il n’est absolument pas probant, et qu’il
ne peut être retenu lors d’une procédure. Si un tel
procès verbal a été établi, c’est que
le substitut CORDIER a rechigné à faire un faux, et qu’il
l’a mal fait sciemment. C’est à son honneur et cela
prouve que les sionistes ne tiennent pas encore parfaitement le parquet
de Paris, et qu’il y existe encore une résistance à
leur encontre. Il faut noter de même que le numéro de procédure
qui figure sur le premier certificat, celui de David PEYRON, comporte
un faux numéro de procédure.
Il faut remarquer que dans le cas du procès verbal de François
CORDIER, les documents annexés issus d’Internet, comportent
bien l’intitulé du site et du fichier spécifique de
ce site, ainsi que la date de visite du site.
3 – (Pièce jointe n°8, numéro en bas de page 51).
Courrier adressé par la section A4 du parquet de Paris, daté
du 10 novembre 2003, et dont le tampon d’arrivée à
la BASLP est raturé. On ne peut savoir si le mois figurant sur
le tampon d’arrivée est janvier (01) ou novembre (11).
4 – (Pièce jointe n°9, numéro
en bas de page 15).
Courrier adressé à la BASLP par la section A4 du parquet
de Paris daté du 8 janvier 2004, et tamponné par la BASLP
comme réceptionné le 7 janvier 2004 (sans commentaire).
2-5 Exposé des faits : La première affaire de menaces de
mort ; celle dont je serais auteur, affaire qui a été inventée
par le CRIF, le Parquet de Paris et la police politique de la rue du Château
des Rentiers (du CRIF).
C’est par ce dossier judiciaire falsifié en 2003, précédemment
évoqué, que je compris seulement en février 2005,
lorsque je pus avoir pour la première fois accès à
ce dossier, juste avant l’audience en appel de la condamnation par
le juge BONNAL, que j’étais sous le coup depuis 2002 d’une
poursuite diligentée par la BASLP – BEAP, sur ordre du CRIF,
poursuite secrète, dont la BEAP ne m’avait pas informé
en 2002.
J’étais poursuivi pour « menace de mort », sur
plainte du CRIF.
Cette poursuite pour « menace de mort », apparaissait dans
un document du dossier judiciaire, un procès verbal de la BASLP,
daté du 17 décembre 2003. (Pièce jointe n° 10).
La référence du Parquet de Paris pour cette affaire apparaissait
dans un second document de ce même dossier, document daté
du 12 mars 2002.
Cette référence était : 02 066 0160/3. Ce document
était intitulé « Soit transmis », et était
adressé au service des archives. (Pièce jointe n°11,
numéro en bas de page 124).
Ainsi j’ai pu faire l’objet une procédure
restée secrète pendant trois années, sans en être
informé, procédure qui me faisait soupçonner d’être
un criminel.
Lorsqu’en juin 2002, la commandante de police de la BEAP, Gisèle
ARBAUD BOGGIO, m’avait demandé de venir la voir, c’était
selon elle pour une diffusion publique d’un texte et des dessins
accompagnant ce texte. Ce texte et ces dessins avaient traits au Proche-Orient,
au pétrole, aux USA et à Israël, et à divers
génocides ayant lieu sur la planète.
(revoir la Pièce jointe n°1).
J’avais alors refusé de me déplacer, arguant lors
d’une conversation téléphonique tenue avec la commandante
ARBAUD BOGGIO que cette convocation n’avait pas d’objet sérieux.
La commandante avait accepté de se contenter d’un courrier
de ma part. Selon la commandante, l’incrimination susceptible d’être
retenue à mon encontre était « injure par voie postale
», et elle n’avait même pas évoqué d’injure
à caractère raciste.
En décembre 2003, lorsque j’ai rencontré la commandante
ARBAUD BOGGIO, j’ai compris que ce texte et ces dessins, bien que
portant des mentions claires quant à leur provenance (en bas de
la première page : nom de l’association EDE déclarée
à la Préfecture de police de Paris et dont je suis le président,
et à côté de chaque dessin, intitulé du fichier
du site Internet sur lequel ces dessins étaient diffusés,
site Internet portant de plus les coordonnées postale de l’association
EDE ! – revoir la Pièce jointe n° 1), avaient été
placés dans une chemise en carton contenant des menaces de morts
et des écrits antisémites anonymes, que le CRIF affirmait
avoir reçu, ce qui permettait, par un procédé inédit
( ?) et curieux, qu’on peut qualifier « par promiscuité,
ou par amalgame de papier », de me poursuivre pour écrits
antisémites et menaces de mort. Cette manœuvre qui a duré
quand même de 2002 à 2005, était opérée
par les subalternes de la BEAP-BASLP-BRDP-Section A4 du parquet de Paris.
Donc j’étais l’objet d’une procédure depuis
des années, dont je n’étais pas informé, gardée
secrète, comme sous la royauté. Si je n’avais pas
eu connaissance de cette « entourloupe », je serais toujours
poursuivi pour « menaces de mort » et propos antisémites.
Je demandai en février 2005 une décision au sujet de cette
procédure, au Parquet de Paris (Pièce jointe n° 12).
Le parquet de Paris classa sans suite par courrier
daté du 11 mars 2005 cette procédure (Pièce jointe
n° 13).
Cette « entourloupe » continue malgré le classement
sans suite à produire ses effets recherchés, puisque je
suis toujours mentionné dans un autre dossier judiciaire (celui
en cours à Versailles), comme étant défavorablement
connu par la police, pour avoir fait l’objet d’une information
pour « menace contre personne sous condition » (qu’est-ce-que
cela peut bien vouloir dire ? Est-ce qu’il y aurait en plus une
affaire de chantage qu’on garde pour le moment secrète ?).
(Pièce jointe n° 14).
Le dossier judiciaire de Versailles est celui d’une poursuite diligentée
par le Parquet de Paris, sur ordre direct du ministre de la Justice, à
Versailles (plainte personnelle du ministre de la justice au procureur
de la République à Versailles, pour éviter la requête
en dépaysement obligatoire, devant être déposée
devant la cour de cassation - pratique du saucissonnage d’une même
affaire et renvoi devant plusieurs juridictions et différents juges
pour affaiblir le droit à la défense), pour entraver la
création de mon association (CODEIG – Compréhension
et dépassement de l’idée de génocide), dont
l’objet est la lutte contre les génocides et le racisme,
dont le génocide opéré par les sionistes en Palestine,
et le racisme sioniste.
L’affaire CODEIG sera jugée à la 6ème chambre
du TGI de Versailles, le 18 septembre 2006 à 9 heures, par le juge
Philippe DAVID.
Les poursuites judiciaires concernant CODEIG, ont la particularité
d’attenter au droit constitutionnel.
En effet, en France les statuts des associations sont entièrement
libres.
Le Conseil constitutionnel a même rendu une décision historique
le 16 juillet 1971 à ce sujet, rappelant cette liberté.
Cette décision rappelait qu’on ne peut demander la dissolution
d’une association avant qu’elle ait commencé à
agir, et seulement d’après ses actes.
C’est pourtant ce qu’essaye d’obtenir
le Parquet de Paris au Tribunal civil à Paris, où il a fait
appel, après avoir été débouté en première
instance par un juge respectueux du droit, et encore indépendant,
le juge Jacques GONDRAN de ROBERT.
Comme on ne peut être poursuivi au pénal sur la teneur des
statuts d’une association, puisque les statuts sont par définition
totalement libres.
C’est pourtant ce qui m’arrive à Paris à la
17ème chambre en ce moment.
Comme on ne peut être poursuivi pour la critique publique des écrits
d’un magistrat ayant participé à cette poursuite illégale,
puisque cela revient à être poursuivi pour dénonciation
publique d’une acte illégal de magistrat, ce qui est pourtant
ce qui m’arrive à Versailles.
L’ensemble de l’affaire CODEIG sera évidemment porté
devant la CEDH.
Le procureur de la République à Paris tente, pour obtenir
la dissolution de CODEIG, d’obtenir une condamnation au pénal
à Versailles, avant le passage en octobre en appel au civil de
CODEIG. Je rappelle que le jugement en première instance au civil
a été défavorable au parquet, le juge ayant refusé
la demande de dissolution à priori de l’association, et ayant
même ordonné la parution immédiate de l’association
au Journal officiel. Le parquet imagine ainsi impressionner les juges
de la cour d’appel, en leur présentant une condamnation au
pénal en relation avec l’association, de façon à
ce qu’ils annulent le jugement favorable à l’association
obtenu en première instance.
Ceci est grave, car cela revient à instaurer
la primauté du pénal sur le civil, alors que le code pénal
découle du code civil, ce qui revient à instaurer officiellement
un régime fondé sur la force, sur la violence dite «
légale », et non plus sur le droit.
Le juge Philippe DAVID de Versailles a reporté sans donner d’explication
l’audience de jugement prévue le 26 juin 2006 à Versailles,
le 18 octobre 2006, rendant plus improbable le rendu d’une condamnation
avant la date d’appel au civil qui est le 10 octobre 2006.
Il faut aussi constater que malgré la décision
du juge d’ordonner la parution immédiate des statuts de CODEIG
au Journal officiel, l’administration du premier ministre qui a
autorité sur le Journal officiel, refuse cette parution, malgré
qu’elle ait encaissé mon chèque de publication, ce
qui est du vol, comme la Préfecture de police de Paris, qui est
sous les ordres de Nicolas SARKOZY, un sioniste notoire qui semble dominer
tout le gouvernement, refuse de transmettre au Journal officiel le dossier
de parution. Il faut aussi remarquer un fait inouï, c’est que
le procureur de Paris a censuré sur l’Internet la publication
du jugement et de ses attendus, favorables à l’association
CODEIG, ce qui est parfaitement illégal. En France, la décision
d’un juge n’est pas respectée par les sionistes.
De même, l’affaire de faux en écritures publiques,
perpétrés par le Parquet de Paris, sera bientôt portée
devant la CEDH (le pourvoi est actuellement examiné par la cour
de cassation).
Pour conclure, en France, on applique non plus le droit français,
ni même la Constitution française, mais le droit et la Constitution
sionistes, soit le droit de racisme et le droit de génocide, soit
l’anti-droit.
Nous entrons dans la période historique du non-droit mondial sans
limite.
2-6 Exposé des faits : Mes plaintes à
l’encontre du CRIF pour dénonciation calomnieuses, et organisation
de génocide.
Le 17 mars 2005, je déposai plainte à l’encontre du
CRIF, auprès du Procureur de la République à Paris,
pour dénonciation calomnieuse, en raison de sa plainte à
mon encontre pour « menaces de mort » déposée
en 2002, plainte que le Procureur avait gardée secrète pendant
trois années, et classée sans suite en 2005, à ma
demande, lorsque je me suis rendu compte de l’existence de cette
plainte. (Pièce jointe n° 15).
Le 1er avril 2005, le Parquet de Paris classait
« sans suite » ma plainte pour dénonciation calomnieuse
à l’encontre du CRIF, soit en moins de deux semaines, alors
que la plainte du CRIF n’avait aucun fondement. (Pièce jointe
n° 16).
Le 18 avril 2005, en réponse à ce « classement sans
suite », j’adressai un courrier rectificatif au Parquet de
Paris, concernant l’incrimination de ma plainte initiale contre
le CRIF, retenant non plus la seule « dénonciation calomnieuse
», mais la « complicité de génocide »
dans l’affaire du génocide du peuple de Palestine auquel
le CRIF collabore en France, complicité dans ce génocide
qui se manifeste par les manœuvres auxquelles se livre le CRIF pour
persécuter sous le prétexte de lutte contre l’antisémitisme,
et la fabrication de fausses menaces de mort, ceux qui dénoncent
les génocideurs sionistes, et le racisme sioniste. (Pièce
jointe n° 17).
Le 25 avril 2005, (lettre du parquet datée du 13 avril 2005, et
postée le 25) le Parquet me faisait connaître par courrier,
sa décision à ne pas me suivre dans mes démarches
contre le CRIF, soit de se faire son protecteur, ou plutôt en réalité,
d’obéir à ses ordres. Cela revient à considérer
que le Parquet de Paris, lequel n’est qu’une administration
sans aucune autonomie, et qui est soumise directement au gouvernement
français, est complice dans le génocide en Palestine organisé
par les sionistes, sionistes dont le CRIF est l’une des organisations
maîtresses en France, comme le gouvernement français est
complice dans ce génocide, complicité obtenue par soumission
aux sionistes, dont au CRIF et à son président Roger CUKIERMAN,
auquel le gouvernement français obéit servilement. (Pièce
jointe n° 18).
Le 30 septembre 2005, je déposai plainte en me constituant partie
civile auprès de la doyenne des juges d’instruction de Paris,
Madame Fabienne POUS, plainte à l’encontre du CRIF, pour
dénonciation calomnieuse dans le but de favoriser l’accomplissement
d’un génocide de manière à entraver l’action
de ceux qui s’opposent à ce génocide en le dénonçant
publiquement. (Pièce jointe n° 19).
Je n’ai pas reçu à ce jour l’ordonnance constatant
le dépôt de ma plainte, alors que l’article 88 du code
de procédure pénale français oblige le juge qui reçoit
une plainte à émettre une ordonnance de ce type.
Le 16 novembre 2005, je relançai par courrier la doyenne des juges
d’instruction de Paris, lui faisant la remarque de son irrespect
du code de procédure pénale.
(Pièce jointe n° 20).
Ce courrier est resté sans réponse
à ce jour.
Le 6 décembre 2005, je relançai encore ce juge par courrier.
(Pièce jointe n° 21)
Ce courrier est resté sans réponse à ce jour.
Donc, à ce jour, ma plainte adressée au doyen des juges
d’instruction de Paris, Mme Fabienne POUS, plainte à l’encontre
du CRIF, faisant suite à la machination du CRIF à mon encontre,
pour me faire passer pour un assassin raciste en puissance, cela dans
le but que je ne sois pas un obstacle dans l’action génocidaire
du CRIF en Palestine, est restée ignorée par Mme Fabienne
POUS, qui se révèle là, elle-même une complice
du CRIF, soit une complice dans le génocide en cours de perpétration
en Palestine, du peuple palestinien par les sionistes.
Mme Fabienne POUS étant par essence indépendante, puisqu’à
la différence des magistrats du Parquet, les juges du siège
sont indépendants, et dans le cas de Mme POUS, s’agissant
d’une fonctionnaire qui arrive en fin de carrière, donc n’ayant
rien à perdre, on peut dire que Mme POUS est complice par choix,
idéologique, soit librement, dans la perpétration du génocide
des palestiniens organisé par les sionistes.
On peut affirmer publiquement que Mme Fabienne POUS est une sioniste,
puisque le sionisme est une idéologie.
Il faut remarquer que je n’ai la possibilité d’aucun
recours juridictionnel, puisque Mme POUS n’émet aucune ordonnance
vis-à-vis de ma plainte, et que je ne peux donc contester devant
une juridiction du second ou du troisième degré une décision
de sa part, cette décision étant inexistante.
Mme POUS a choisi pour refuser d’accomplir sa fonction de juge,
de feindre de ne pas avoir reçu de plainte de ma part, cela dans
le but même de m’empêcher de faire appel d’une
ordonnance de rejet de ma plainte, ou bien d’une ordonnance fixant
une consignation exorbitante.
J’informe la Cour européenne des
droits de l’homme à ce sujet, que Mme POUS, après
avoir reçu une plainte de ma part pour faux en écriture
publique dans l’affaire précédemment évoquée
de falsification par le Parquet de Paris de toutes les pièces probantes
de mon dossier judiciaire, dans le procès engagé par le
Parquet de Paris contre moi-même pour antisémitisme et négationnisme
dans le but de me faire abandonner mes actions de dénonciation
du génocide de Palestine, procès qui s’est conclu
par une condamnation à 5000 euros d’amende et à un
mois de prison avec sursis, a fixé pour ma plainte pour faux en
écritures publiques une consignation d’un montant de 6000
euros.
La contestation de cette ordonnance est examinée en ce moment par
la cour de cassation. Cette affaire sera donc bientôt portée
devant la Cour européenne des droits de l’homme.
Il faut remarquer que je n’ai aucun recours, face au refus du procureur
de la République de poursuivre le CRIF, ni contre le refus de la
doyenne des juges d’instruction de Paris, d’enregistrer ma
plainte contre le CRIF.
Il est très clair, à la lumière de ces affaires,
que l’appareil judiciaire français est sous la totale sujétion
des sionistes, qui font donc la loi dans les Palais de Justice en France,
et qui rendent donc la « Justice » en France.
Il n’est pas exagéré de dire
qu’on pourrait rebaptiser les Palais de Justice en France, en Palais
de la Justice sioniste, comme le Ministère de la Justice, en Ministère
de la Justice sioniste.
A ce stade de la présente requête à la Cour européenne
des droits de l’homme, il est important de connaître dès
maintenant la position de la CEDH, à savoir si cette cour suprême
de la justice, du droit, de la morale, de la civilisation en Europe, entérine
le droit de génocide et l’attitude raciste, comme l’appareil
judiciaire français l’a déjà accompli, c'est-à-dire
si la cour suprême européenne va ou non rejeter cette requête,
sous un prétexte quelconque.
2-7 Exposé des faits : Les menaces de mort
des agents du CRIF à l’encontre de Michel DAKAR, menaces
couvertes par le Procureur de la République à Paris, qui
refuse d’agir contre les auteurs de ces menaces.
En février 2006, je constatai sur le site internet http:// www.
stcom.net, dont le responsable ou celui qui se fait passer pour être
le responsable en France se nomme Ismaël BEDROUNI, la présence
sur ce site, d’une menace de mort explicite à mon égard.
Le 14 février 2006, je portai plainte par lettre auprès
du Procureur de la République à Paris pour cette menace
de mort publique, qui est un véritable appel à m’assassiner.
(Pièce jointe n° 22).
Il faut savoir que le site « stcom.net », est un site à
destination du public musulman.
C’est un site de provocation policière, caricatural du genre,
c'est-à-dire que certains services d’Etat concoctent ce type
de site, pour prouver que les arabes et les musulmans sont des racistes,
des antisémites, des terroristes, cela afin de donner corps à
l’existence du terrorisme arabo-musulman, de justifier la répression
des arabes et des musulmans et la politique israélienne, cela aussi
et surtout, afin de camoufler le génocide en cours, de la population
de Palestine, par les sioniste, qui sont derrière ces manœuvres.
Classiquement, dans le but de prouver auprès des naïfs que
le site « stcom.net » et Ismaël BEDROUNI sont authentiquement
engagés contre le sionisme, le site « stcom.net » fait
l’objet d’attaques régulières par la propagande
sioniste, et même de sabotages informatiques, comme BEDROUNI fait
aussi l’objet de procédures judiciaires.
Il faut savoir qu’Ismaël BEDROUNI fait équipe avec un
individu nommé Christian COTTEN, qui est en liaison avec des sectes,
qui est impliqué dans des affaires de manipulations financières
équivoques dans le domaine de l’industrie pharmaceutique
(affaire Loïc Le Ribault site internet http:// www. loic-le-ribault.ch,
et qui semble être en liaison avec le secteur des services spéciaux
étatiques. Christian COTTEN dirige le site Internet http:// www.
politiquedevie.net.
Christian COTTEN s’immisce partout, subjuguant
et manipulant les personnes en état de faiblesse, dont particulièrement
celles qui ont été victimes d’exactions de la part
de l’appareil judiciaire et policier français (affaire des
enfants du magistrat Pierre ROCHE), ou victimes de péripéties
politiques (affaire du fils de Didier SCHULLER).
Christian COTTEN et Ismaël BEDROUNI sont visiblement chargés
d’infiltrer le milieu d’opposants aux sionistes, pour le pouvoir
en place, donc pour les sionistes.
Je constatai en avril que cette menace de mort (qui est toujours à
ce jour publiée sur ce site), y était encore présente,
et en faisait part au Procureur de la République à Paris,
par courrier postal. (Pièce jointe n° 23).
Je n’ai même pas reçu un accusé de la réception
(hormis celui de l’administration postale, et une lettre étrange
provenant du parquet de Paris, faisant état d’une plainte
que j’aurais déposé le 8 avril 2006), de ma plainte
et du second courrier, de la part du procureur de la République,
qui semble donc estimer qu’il est légitime que pour un individu
comme moi, une menace de mort circule sur l’Internet, propagée
par un site qui reçoit selon son dirigeant supposé Ismaël
BEDROUNI, des milliers de visiteurs par jour. En avril 2006, le fichier
contenant cette menace de mort, qui est un appel aux musulmans à
m’assassiner comme étant un agent de la police politique
civile dite Renseignements généraux, soit qui travaille
pour les sionistes, avait déjà été lu par
environ 700 personnes.
3 - Conclusion.
Je ne demande pas de dommages et intérêts dans cette affaire,
car il ne saurait y avoir argent et donc profit en ce qui concerne la
vie en général, et que je ne suis moi, ni marchand, ni un
banquier, ni un mangeur de viande humaine.
Je suis dans l’attente de la décision de la Cour européenne
des droits de l’homme.
La Cour décidera soit d’accueillir cette requête, soit
de la rejeter. Ce rejet ou cette acceptation dans tous les cas renseigneront
sur la réalité de cette institution.
En cas de rejet de ma requête, cela permettra d’abandonner
plus rapidement les illusions que le Cour européenne des droits
de l’homme engendre, et de faire mieux connaître le rôle
de leurre et d’imposture de cette institution, dans l’appareil
répressif de maintien de l’ordre du régime totalitaire
mondial siono-capitaliste.
Le combat se poursuivra alors avec plus d’efficacité pour
l’instauration d’un réel état de droit qui seul
permet la pérennité de la vie.
Ecrit par Michel DAKAR, Paris, le 18 juillet 2006
Document publié sur :
http://
aredam.net / cedh-strasbourg-crif-racisme-genocide-mondialisation.html.
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