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Cette page est la suite de : http://www.aredam.net/bassma-kodmani-conseil-national-syrie-CIA-mossad-dgse.html Lire le dossier complet sur l'opération "Syrie Liberté" des services secrets occidentaux : http://aredam.net/souriahouria-dossier.html
Bassma Kodmani, une simple barbouze de l'OTAN
Sommaire de cette page : 1 - Curriculum vitae de Bassma Kodmani,
trouvé sur Internet (format pfd) : 2 - Page du site de la mairie de Paris,
le maire de Paris, Bertrand Delanoe reçoit Bassma Kodmani
le 21 février 2012, et promet une subvention à Médecins
du Monde pour soigner la population syrienne (ce qui implique que
cette association est complice de la guerre d'invasion de la Syrie.
Ndlr : cette association a déjà été
dénoncée comme pro-sioniste), et affirme la nécessité
de "corridors humanitaires" pour aider cette population
(préparation psychologique à une guerre d'invasion)
: 3 - Adresses emails des soeurs Kodmani trouvées sur l'Internet (et supposées adresses physiques) 4 - Article du site de manipulation gouvernemental
: 5 - Document pfd d'Amnesty international
France sur une supposée agression des barbouzes syriens de
l'OTAN à Paris (il s'agit probablement d'une mise en scène
des services secrets français). On voit là qu'Amnesty
couvre ces pratiques : 6 - Bassma Kodmani sur le site du CRIF,
appelle à détruire la Syrie sous couvert d'abattre
le régime syrien : 7 - Texte de Bassma Kodmani sur le site du réseau international d'influence capitalisto-judéo-américain ASPEN (site de l'Aspen : http://www.aspenfrance.org ) 8 - Information sur la famille Kodmani en Syrie, trouvée sur le site http://www.infosyrie.fr 9 - Lien entre la soeur Kodmani Hala, et l'organe de propagande sioniste du groupe bancaire Rothschild "Libération" 10 - Document pdf de l'Association des anciens de l'Ecole de guerre économique datant de 2006, où apparaît Bassma Kodmani et Pierre Brochand patron de la DGSE (faussement nommé comme Bernard Brochand), sur la nécessité de contrer les opérations de guerre psychologiques de la CIA contre la France). Ce document prouve qu'avant l'arrivée de Sarkozy au pouvoir en 2007, la France était encore indépendante des judéo-américains. Il est intéressant de prendre connaissance de la liste des personnes interrogées (dont Brochand et Kodmani Bassma), pour ce rapport. http://www.aredam.net/Desinformation_et_ (Exemple : "La construction de l’ennemi
« France » par le lobby pro-guerre américain.
Extraits de la page sommaire de ce document
1 - Curriculum vitae de Bassma Kodmani, trouvé sur Internet (format pfd) http://www.aredam.net/Kodmani_bio.pdf Ce curriculum vitae a été trouvé à l'adresse suivante :
2 - Page du site de la mairie de Paris, le maire de Paris, Bertrand Delanoe reçoit Bassma Kodmani le 21 février 2012, et promet une subvention à Médecins du Monde pour soigner la population syrienne (ce qui implique que cette association est complice de la guerre d'invasion de la Syrie. Ndlr : cette association a déjà été dénoncée comme pro-sioniste), et affirme la nécessité de "corridors humanitaires" pour aider cette population. Copie de cette page appelant à une invasion militaire de la Syrie : http://www.aredam.net/delanoe-bassma-kodmani.htm Texte de cette page : " Rencontre de Bertrand Delanoë avec Bassma Kodmani, porte parole du Conseil national syrien 21/02/2012 Par M. Bertrand DELANOË J’ai reçu aujourd’hui à l’Hôtel de Ville Bassma Kodmani, porte-parole du Conseil national syrien. Je lui ai redit la profonde solidarité de Paris, et l’admiration que nous inspire le combat héroïque du peuple syrien pour sa liberté. J’ai exprimé le souhait que la communauté internationale sache prendre collectivement ses responsabilités et ne laisse pas impunément un tyran poursuivre ce massacre inouï. Il conviendrait d’intensifier les actions de boycott et de mettre les avoirs des actuels responsables syriens sous séquestre avant qu’ils soient restitués au peuple syrien libéré. Il est urgent également d’assurer des corridors humanitaires pour porter secours aux populations. Cette solidarité, j’ai tenu notamment à ce qu’elle s’exprime à travers l’accueil des réfugiés. La Régie Immobilière de la Ville de Paris ainsi que la Cité Internationale des Arts et la Maison des Journalistes, soutenues par la Ville, se sont toutes mobilisées dans l'urgence pour accueillir des artistes, des journalistes et des représentants de l’opposition syrienne. A ma demande le conseil de Paris délibèrera lors de sa prochaine séance de l'attribution d'une subvention de 80 000€ à Médecins du Monde pour soutenir son action dans les camps de réfugiés syriens en Jordanie, au Liban et en Turquie. Au-delà de ce type de dispositifs, la commémoration du premier anniversaire du soulèvement le 15 mars prochain sera l’occasion pour Paris et ses citoyens de montrer au peuple syrien qu’il n’est pas seul et que sa lutte en apparence si désespérée rencontre un écho dans toutes les consciences. Un grand rassemblement aura lieu sur le Parvis de l’Hôtel de Ville le 15 mars à 19h. "
3 - Adresses emails des soeurs Kodmani trouvées sur l'Internet : 3 - 1 Bassma Kodmani : (adresse physique supposée : 71 rue Fondary Paris 15ème) bassma.kodmani@college-de-france.fr bkodmani@yahoo.com bkodmani@arab-reform.net b.kodmani@fordfound.org 3 - 2 Hala kodmani : (adresse physique supposée : 16 rue Moisant Paris 15ème) hala.kodmani@francophonie.org
3 - 3 Association Syrie Liberté (Souriahouria, site internet http://souriahouria.com) : Domiciliation de l'association : 16 rue Moisant Paris 15ème alhayek@gmail.com redacteur@souriahouria.com
4 - Article du site de manipulation gouvernemental : http://contresubversion.wordpress.com/, sur la protection des barbouzes syriens de l'OTAN en France utilisés pour légitimer la destruction de la Syrie. La France s’engage à
protéger les opposants syriens sur son territoire. Guéant confirme les
menaces contre des opposants syriens en France
Le ministre de l’Intérieur assure que des mesures ont été prises pour y faire face.
“Nous devons une protection
à tous ceux qui sont susceptibles d’être menacés
et, même si les menaces ne sont pas exprimées, nous
savons que l’Etat syrien est violent, n’hésite
pas à recourir à la menace”, a-t-il souligné Garde du corps pour les hautes personnalités Selon Bassma Kodmani, porte-parole du Conseil national syrien (CNS), qui regroupe la majorité des courants de l’opposition en Syrie, Burhan Ghalioun, dirigeant du CNS et figure historique de l’opposition syrienne vivant à Paris (ndlr : Bassma kodmani et Burhan Ghalioun sont totalement inconnus en Syrie, et de pures créations des services secrets occidentaux), “a des gardes du corps (des autorités françaises) depuis trois mois”. “Et moi-même depuis six semaines”, a-t-elle dit. En août dernier, les victimes des nervis de Bachar al-Assad à Paris avaient témoigné au Nouvel Observateur de la violence des pressions exercée contre eux. “Je ne dors plus. Je revois cette Renault rouge arriver sur nous. Ces hommes nous frapper,” racontait Hassan Salem. Vers minuit et demi, le 26 août, il s’est fait agresser à Paris, rue Lafayette par des Chabiha, ces partisans du régime d’Assad.
Cet article se rapporte aux deux articles suivants du site du Nouvel Observateur :
5 - Document pfd d'Amnesty international France sur une supposée agression des barbouzes syriens de l'OTAN à Paris (il s'agit probablement d'une mise en scène des services secrets français). On voit là qu'Amnesty couvre ces pratiques. http://www.aredam.net/amnesty-france-conseil-national-syrien-otan.pdf
6 - Bassma Kodmani sur le site du CRIF, appelle à détruire la Syrie sous couvert d'abattre le régime syrien : http://www.crif.org/actualites/Bassma-Kodmani-Il-faut-asphyxier-le-regime-syrien26328 Publié le 5 Octobre 2011 Bassma Kodmani: «Il faut asphyxier
le régime syrien» Question : Pourquoi l'opposition a-t-elle mis si longtemps à s'unir ? Bassma Kodmani : Cette union est le fruit d'un travail de plusieurs semaines, mené par un groupe de personnalités neutres et indépendantes des partis. Des tentatives précédentes avaient échoué à cause de la dispersion d'une opposition investie autant dans des personnes que dans des formations politiques. Question : La présence des Frères musulmans pose-t-elle un problème ? Les Frères musulmans syriens n'ont aucun problème à accepter la diversité de la société. Ils acceptent aussi un État civil et démocratique. Ce sont des gens très politiques, ils savent bien qu'ils doivent travailler avec des non-islamistes. Par ailleurs, il ne faut pas exagérer leur influence. Ils ne sont pas très présents sur le terrain. Il y a d'autres partis islamistes modérés, qui ont aussi rejoint le Conseil. Question : Comment le Conseil national syrien réagit-il face à la tentation de la lutte armée en Syrie ? Il est vrai que les défections de militaires se multiplient, et que les soldats partent avec leurs armes. C'est de cela que nous avons peur. Le Conseil a pour mission de prendre contact avec ces militaires et de voir avec eux comment on peut éviter le passage à la lutte armée. Le conseil prône toujours la lutte par des moyens pacifiques. Question : Le mouvement de protestation est-il en train de s'essouffler ? Il s'essouffle un peu. La stratégie de répression du pouvoir est beaucoup plus efficace aujourd'hui qu'au début de la contestation. Les manifestants ont parfois du mal à tenir. C'est pourquoi le Conseil national syrien demande pour le peuple la protection de la communauté internationale. Question : La «Déclaration d'Istanbul» demande aux gouvernements et aux organisations internationales de «protéger le peuple syrien» en «arrêtant les crimes… commis par l'actuel régime illégitime.» En s'appuyant sur les mêmes mots, les Occidentaux sont partis en guerre contre Kadhafi. Souhaitez-vous désormais une intervention militaire ? Non. Le Conseil national syrien refuse toute intervention militaire. Je souhaite que le régime soit asphyxié par d'autres moyens, financiers, diplomatiques… Le conseil se réunira prochainement pour faire des propositions précises dans ce sens. Il souhaite aussi impliquer les voisins arabes de la Syrie, qui ont un rôle important à jouer. Nous espérons d'ailleurs tenir notre prochaine réunion au Caire, où la révolte syrienne jouit d'un grand soutien. Question : Le Conseil national syrien va-t-il demander à être reconnu comme la seule autorité politique du pays, comme l'avait fait le Conseil national de transition libyen ? Pas tout de suite. Ce sera pour une prochaine étape. Nous espérons qu'à ce moment-là la reconnaissance de la communauté internationale arrivera rapidement. Question : Le régime de Bachar el-Assad peut-il encore durer longtemps ? On ne peut rien prévoir avec certitude. Il faut espérer que la création du Conseil national syrien accélérera la décrédibilisation totale du pouvoir. Photo (Bassma Kodmani) : D.R. (voir au haut de cette page Internet) Source : le Figaro du 5 octobre 2011
7 - Bassma Kodmani et le réseau international d'influence capitalisto-judéo-américain ASPEN (site de l'Aspen : http://www.aspenfrance.org ) 7 - 1 Qu'est-ce que l'Aspen, selon l'Aspen
: 7 - 2 Bassma Kodmani : déclarations
sur le site de l'Aspen :
7 - 1 Qu'est-ce que l'Aspen, selon l'Aspen : En bref : Encourager l’ouverture sur le monde, la prise d’initiative et l’exercice des responsabilités au service du bien commun : tel est l’objectif de l’Institut Aspen France, centre de réflexion et d’échanges fondé en 1983 à Paris. Développé sous l’égide de Raymond Barre, établi à Lyon en 1994, l’Institut Aspen France est membre d’un réseau international créé aux Etats-Unis et présent en Allemagne, en Italie, en Roumanie, en Inde et au Japon. JM. Debrat - MF. Nelly L’Institut Aspen est une association de la loi de 1901, reconnue d’intérêt général, non partisane et à but non lucratif. Il développe ses activités sous forme de conférences thématiques, de séminaires de leadership et de clubs. Les programmes d’Aspen couvrent trois grands domaines thématiques : - la compréhension de la mondialisation, des contraintes et des opportunités qui en résultent ; - la prise de conscience des avancées scientifiques en cours dans de nombreux domaines, des promesses et des risques associés et des dilemmes qu’elles posent aux dirigeants ; - l’aggiornamento du modèle économique, politique et social français. L’Institut Aspen France est présidé par Jean-Pierre Jouyet, président de l’Autorité des Marchés Financiers. Il dispose d’une équipe opérationnelle de 3 personnes et d’un budget annuel d’un million d’euros, financé pour un tiers par les collectivités territoriales de la région Rhône-Alpes et pour deux tiers par des mécènes privés, entreprises, fondations et personnes physiques.
J.Attali -J. MouldsAspen, c’est une méthode, fondée sur le dialogue, l’écoute, l’échange d’expériences ; ce sont des valeurs, l’héritage de l’humanisme et des Lumières ; c’est enfin un travail tourné vers le leadership, vers ceux qui – puissants ou humbles – s’efforcent de prendre l’initiative, penser différemment, entraîner les autres.
7 - 2 Texte de Bassma Kodmani sur le site de l'Aspen : http://www.aspenfrance.org/De-Musulmans.html " De Musulmans " Texte de : Bassma Kodmani Je fais partie de ceux pour qui l’avenir dépend non de la prospérité et du bien-être d’un pays ou d’un continent, mais du bon commerce entre les sociétés et de leur intérêt les unes pour les autres. Je veux parler ici de trois questions qui me semblent déterminantes pour que demain il fasse bon vivre en France pour tous ceux qui y sont, Français de souche ou originaires d’ailleurs. Trois trajectoires amorcées depuis plusieurs décennies, qu’il serait regrettable et dangereux de frustrer ou d’interrompre : celle de la Turquie sur le chemin de l’intégration dans l’Union européenne ; celle de l’intégration des musulmans (plutôt que de l’Islam) dans la société française, et celle de la Palestine sur la voie de l’indépendance. Commençons par la Turquie et l’Europe. En dépit de l’héritage de Kemal Atatürk, les Turcs sont restés très attachés à l’islam dans leur croyance et leur culture comme dans la gestion de leur vie privée. Cela n’entrave en rien leur adhésion aux pratiques démocratiques occidentales (des élections libres depuis plus de 50 ans) ni leur désir de rejoindre l’Europe. Jamais les Turcs n’ont été plus Européens que depuis l’arrivée au pouvoir de cette nouvelle élite islamique, incarnée par le Parti de la Justice et du Développement (AKP), qui réalise la synthèse entre préservation d’un univers religieux musulman et adhésion à une vie politique moderne. Pour tous les démocrates turcs, laïcs et religieux confondus (et souvent alliés), l’Europe est la carte maîtresse contre la tentation autoritaire qui demeure vivace dans des institutions clés de l’Etat. Fermer la porte à la Turquie, c’est interrompre une trajectoire quasi-centenaire tendue vers la modernité et la liberté. La lui ouvrir, c’est adresser au monde arabe et musulman un puissant message, qui ferait bien plus pour les relations avec l’Islam que tous les dialogues de civilisations et de cultures, les déclarations diplomatiques et les propositions de partenariats de toutes sortes. Les musulmans sont d’ores et déjà parties prenantes des sociétés européennes, et le seront plus encore à l’avenir. L’immigration est pour l’Europe à la fois une nécessité économique et un mouvement de l’histoire. Ouvrir les esprits à cette réalité, éviter ainsi que ne s’érigent des frontières à l’intérieur même des sociétés européennes, ne se fera pas sans une implication active de l’Etat, de la classe politique et des médias. Parmi les transformations du rôle de l’Etat dues à la mondialisation, on prend le temps de penser les nouveaux modes de régulation économique, d’organisation des services publics et de responsabilité de l’Etat en matière sociale. On réfléchit moins à l’Etat dans sa fonction d’aggrégateur des différences et de régulateur des relations interculturelles dans des sociétés de plus en plus diverses. Or les Etats, par les arrangements institutionnels qu’ils mettent en place, restent les seuls agents qui peuvent définir le cadre et les relations entre les différents groupes au sein d’une société. Les discours sur l’immigration choisie et sur l’identité nationale, quant à eux, sont stériles. Il y aurait bien plus à gagner à rendre explicite le lien entre survie de l’Etat providence, garant du bien-être des retraités de plus en plus nombreux, et l’immigration, par nature jeune, donc rajeunissante. La troisième trajectoire d’importance majeure pour le monde musulman, celle de la naissance d’un Etat palestinien digne de ce nom, paraît à priori plus loin d’aboutir. Son blocage empoisonne pourtant les débats et l’opinion publique. Il y a quinze ans, le monde avait salué le courage des dirigeants israéliens et palestiniens, et promis à ces derniers que leur modération serait récompensée par leur accession à l’indépendance. Aujourd’hui, quiconque se rend sur le terrain fait le même constat : à moins d’arracher des populations israéliennes installées dans des colonies, il ne reste plus de territoire sur lequel construire l’Etat en question. Pour en finir avec l’antisémitisme qui se nourrit de l’abus de puissance d’Israël, pour priver les islamistes de l’aliment qui nourrit leur discours de haine, il faudra la fin de l’occupation et le renversement du mouvement de colonisation. Ne perdons pas de vue l’origine du problème - une injustice historique commise à l’égard d’un peuple, une question de terre avant tout - et ne feignons pas d’ignorer que la solution existe : des négociateurs de bonne foi l’ont rédigée dans le menu détail. « Prends garde à l’espoir blessé, c’est un monstre légendaire » dit le poète Mahmoud Darwish. Post-scriptum Bassma Kodmani est chargée de mission au CNRS et Directrice de l’Arab Reform Initiative, Paris ; auteure, notamment, de La Diaspora palestinienne, Presses universitaires de France, Paris, 1997, et de « The danger of political exclusion. Egypt’s islamist problem », Carnegie Papers, n° 63, Washington, octobre 2005
8 - Information sur la famille Kodmani en Syrie, trouvée sur le site http://www.infosyrie.fr Cette information a été publiée sur le site infosyrie.fr sur un forum de ce site. Elle n'est pas vérifiée. " La belle-soeur des soeurs Kodmani est gérante de l'hôtel FARDOSS à Damas où l'ambassade de France à l'habitude de loger certains de ses visiteurs (pas les plus prestigieux : les conférenciers pour le centre culturel, les journalistes dont Gilles Jacquier "
9 - Lien entre la soeur Kodmani Hala, et l'organe de propagande sioniste du groupe bancaire Rothschild "Libération" : Information trouvée sur le site infosyrie.fr : La soeur Kodmani Hala, serait la "madame Syrie" pour Libération.
10 - Document pfd de l'Association des anciens de l'Ecole de guerre économique datant de 2006, où apparaît Bassma Kodmani et Pierre Brochand patron de la DGSE (faussement nommé comme Bernard Brochand), sur la nécessité de contrer les opérations de guerre psychologiques de la CIA contre la France). Ce document prouve qu'avant l'arrivée de Sarkozy au pouvoir en 2007, la France était encore indépendante des judéo-américains. Il est intéressant de prendre connaissance de la liste des personnes interrogées (dont Brochand et Kodmani Bassma), pour ce rapport. http://www.aredam.net/Desinformation_et_ (Exemple : "La construction de l’ennemi
« France » par le lobby pro-guerre américain.
Extraits du sommaire de ce document : Les nouveaux enjeux de la désinformation
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26 Les moyens : des structures ad hoc pour
contourner la CIA .............................................................
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