Le dévoilement du personnage de l’AVOCAT, ou de la tromperie ultime du régime.

 

Préambule :

Il faut en finir avec la langue du mensonge, car c’est l’une des conditions essentielles pour avancer sur le chemin de la liberté, de l’égalité et de la fraternité, du bonheur ; de la conscience.

Il faut en finir avec l’imposture du mythe de l’existence de la justice dans ce régime, avec l’imposture de son appareil judiciaire, du droit, des droits de l’homme, et des hommes de « droit », procureurs, juges et surtout, de ce noyau dur de ces êtres du mensonge, qu’est l’AVOCAT.

 

Bizarrement, le dominateur, l’exploiteur, c’est à dire le criminel, ne peut accomplir son crime ouvertement, sans justification morale de son crime, sans se présenter comme juste, légitime, et même maintenant comme la victime.

Sa dernière justification se nomme la Shoah, c’est à dire le génocide des juifs européens par les nazis.

Certains qu’on nomme révisionnistes contestent la réalité de cette justification, réalité qui est devenu le dogme le plus sacré du régime criminel fondé sur la domination, l’exploitation, et l’extermination de tout ce qui résiste au crime.

Mais quand les révisionnistes sont poursuivis en justice par les prêtres de l’Eglise shoahiste qui règnent sur le régime, ils acceptent de croire ou font semblant de croire à l’existence de la justice et du droit, dans ce régime. De ce fait, ils consolident et participent donc eux-mêmes au mensonge suprême, fondamental, celui que le droit existe, et que le régime criminel de domination, d’exploitation et d’extermination est donc juste, légitime, que ce régime n’est donc pas criminel, et que la domination, l’exploitation et l’extermination ne sont donc pas des crimes.

En voulant s’opposer à ce qu’ils dénoncent comme étant un mensonge, le dogme incontestable et sacré du régime, la shoah, et en acceptant de jouer le jeu judiciaire, ils concourent à maintenir et même à consolider le vrai mensonge, qui n’est lui pas conjoncturel, celui de la légitimité d’un régime fondé sur la domination, l’exploitation et l’extermination. Ils légitiment le crime absolu et les criminels invétérés.

Evidemment, en contrepartie de cette soumission à l’ordre, soit au déni du mensonge de l’existence de la justice et du droit dans cet ordre fondé sur le crime absolu, en la reconnaissance de la langue du mensonge comme celle du droit, cette langue étant celle de l’avocat qui plaide pour eux,  ils obtiennent un rabais de peine.

La Palais de justice, de son vrai nom, Palais du crime, est peuplé de trois types de personnages. Le personnage le moins nocif, car le moins dissimulateur, qui trompe donc le moins, est celui du procureur, qui est le type même du franc salaud. Il est suivi du juge qui est le trait d’union entre le procureur et l’avocat. L’avocat est le type même du faux-cul accompli. Le personnage du juge possède les caractères mêlés des deux autres personnages, inclinant vers l’un ou l’autre selon les circonstances.

Le sommet du mensonge est atteint par l’avocat, qui est un agent du système judiciaire, soit de la justification du crime. Cet agent de ce système du crime se présente comme le sauveur et le protecteur des victimes du système du crime.

L’avocat est le piège mental ultime, placé dans le labyrinthe où trépassent la vérité, la morale, la justice, l’équité, que sont les palais de justice.

Dans ce piège, quasiment tout le monde tombe.

Aucun progrès n’aura lieu tant que les hommes vrais continueront à se laisser prendre au piège de l’avocat, et à abandonner leurs paroles vraies pour celles de l’avocat.

L’auteur de ce texte est engagé dans la dénonciation de la domination et de l’exploitation, qui paraissent normales et justes à tout le monde après un siècle d’écrasement de toute forme de révolte, dont la dernière réelle a été la Commune de Paris, et celle des derniers anarchistes à la fin du 19ème siècle. Il a croisé quelques avocats, dont voici les noms.

Les plus à gauche sont les plus nuisibles, car ils camouflent bien mieux le mensonge que ceux classés à droite. Ripert de Grenoble, « défenseur » d’Action directe, les socialo-trotsko-droidlomistes Terrel-De Félice-Pinel dee Paris, à droite, Brunot du Degsectquasirg, Delcroix, et même Jean-Serge Lorach. J’en oublie deux par respect pour leurs clients.

Et il n’y a pas pire tartuffe qu’un avocat qui dénonce l’iniquité de la justice, comme Vergès, ou celui de l’Obervatoire International des Prisons Lévy.

Le prochain texte d’éveil de la conscience portera sur les matons de l’esprit, c’est à dire les psychiatres, psychologues et psychanalystes, qui eux aussi se présentent comme les avocats , pour libérer les victimes du régime du crime, surtout sans remettre en cause le crime lui-même.

Michel DAKAR