Article du livre " Au nom de la science", Editions Télémaque.

Titre de cet article :

Arabes, Juifs et armes ethniques.

Note préventive de la rédaction du site aredam.net :

On peut immédiatement reconnaître grâce à ce titre, la limite idéologique des auteurs de cet article, comme si ce type d'armement pouvaient se limiter aux seuls Juifs et Arabes, comme si ce type d'armement ne concernait pas l'humanité entière, et aussi dans le fait que les auteurs de cet article, qui se révèlent des sionistes cachés, placent en quelques sortes, sur un pied d'égalité morale, les Palestiniens et les sionistes, que de plus ils nomment "Juifs", ce qui est une généralisation abusive, presque raciste, c'est à dire qu'ils placent à égalité de légitimité, envahisseurs et envahis, éliminateurs et éliminés, victimes et bourreaux, légitimant ainsi le droit de conquête, le droit du plus fort, soit l'anti droit, l'anti humain. Cet article comportant tout de même des informations cruciales, ainsi mises à disposition de tous, il est tout de même bénéfique de le publier, malgrè son caractère fondamentalement réactionnaire.

Voilà un moment que certaines recherches militaires israéliennes classées suscitent les soupçons. S'il est notoire qu'Israël a développé l'arme nucléaire, et possède probablement des centaines d'ogives, aux yeux de bien des observateurs, le fait qu'elle n'ait toujours pas ratifié la Convention des armes chimiques ou signé le Traité sur les armes biologiques prouve qu'elle possède un arsenal d'amies de destruction massive extrêmement puissant. Pour sa défense, Israël montre du doigt ses ennemis et les groupes terroristes l'encerclant de toutes parts, qui ne veulent rien de moins que rayer l'État d'Israël de la surface du globe. Dans une interview accordée au journal égyptien Al-Ahmm Weekly, le major général Abdel-Rahman El-Hawwari affirmait qu'Israël est au quatrième rang mondial de la production d'armes chimiques et biologiques, et a beaucoup d'avance dans ce domaine. Nonobstant les menaces évidentes à l'encontre d'Israël, l'idée fait frissonner ceux qui voient dans l'usage de ces armes, pour quelque motivation que ce soit, une attaque contre l'humanité.
En réponse à ce qu'il perçoit comme un nouvel holocauste potentiel, le gouvernement israélien aurait, croit-on, découvert des différences particulières dans les gènes arabes, et serait sur le point de développer une arme ethnique ciblée sur les populations arabes. Il n'est donc pas surprenant que les scientifiques israéliens soient aussi impliqués dans la recherche génétique, car il existe bien des variations ethniques parmi la population juive, ainsi que des troubles génétiques
qui leur sont propres. Le National Laboratory for-the Genetics of Israeli Populations de Tel-Aviv, crée en 1994 par l'Israeli Academy of Sciences and Humanities, a été établi comme réservoir national de lignées cellulaires humaines et a été impliqué activement dans le Projet du génome humain (HGP). Quoi qu'il en soit, on pense que d'autres structures
travers le pays sont impliquées dans des programmes de développement, d'armes chimiques, dans le but de conserver l'avance sur les ennemis d'Israël.
L'une de ces structures, l'Institute for Biological Research, est située dans la banlieue de Nes Tziyona, à douze miles au sud de Tel-Avi Dans le London Times du 4 octobre 1998, un ancien biologiste chevronné des services secrets israéliens affirmait qu'« il n'y a sans doute; aucun type d'arme chimique, connue ou inconnue, qui ne soit fabriquée à l'institut ». On peut y voir une campagne de désinformation à visée défensive ou d'esbroufe à l'attention des Arabes, mais un mois plus tard, quand le London Times rapporta qu'Israël avait peut-être isolé un gène spécifiquement arabe et était sur le point de développer une bombe ciblée sur la population irakienne, Saddam Hussein fit marche arrière et retira ses menaces de guerre totale contre les Juifs.
Selon des rapports récents émanant de sources sud-africaines et israéliennes, les deux pays avaient travaillé en étroite collaboration à la recherche nucléaire et génétique. Grâce aux progrès fulgurants des biotechnologies, les Israéliens, devenus experts en la matière, auraient découvert des différences génétiques claires entre les juifs ashkénazes ou d'Europe de l'Est et les juifs d'origine arabe. Pour les Israéliens cependant, l'un des obstacles au développement des armes ethniques venait du fait que, nombre de juifs ayant des origines arabes,:: Israéliens en seraient victimes aussi, à moins que l'arme ne cible un genre tellement spécifique qu'elle affecterait une variation extrêmement légère de la structure génétique. Pour peu que ces légères variations soient découvertes, on ne tarderait pas à mettre au point un agent chimique ou biologique ciblant le gène spécifique. À la question de savoir si les armes ethniques existent, la plupart des officiels israéliens, plutôt . de nier leur existence, se contentent soit d'ignorer la question, soit d'affirmer que l'État d'Israël n'hésiterait pas à utiliser tout ce qui serait sa disposition en "cas de menace extérieure sérieuse.
En dernière analyse, le Moyen-Orient est peut-être un terrain propice à la guerre génétique. De plus en plus de juifs quittent la Rus et les autres pays du monde, Etats-Unis compris, pour émigrer en Israël y compris des scientifiques de très haut niveau qui apportent les compétences nécessaires au développement de la prochaine génération d'armes biologiques. Si les États arabes croient pouvoir un jour bouter les Israéliens dans la Méditerranée, ils font une erreur grossière. À l'heure
actuelle, Israël a le pouvoir d'effacer littéralement des pans entiers de la race humaine. Bientôt, ils seront capables de le faire avec des armes encore plus terrifiantes, des armes qui feront disparaître des populations entières en les stérilisant ou en diffusant des maladies qui balaieront la menace à leur encontre. Puisqu'on ne peut bien évidemment pas faire machine arrière, les Arabes et les Juifs n'ont d'autre choix que de mettre de côté leurs préjugés aveugles et de vivre ensemble. Dans le cas contraire, les guerres d'antan paraîtront de pâles reflets de ce qui nous attend.

 

Note seconde de la rédaction du site aredam:

Il est extrêment pénible aussi de voir dénommer les Palestiniens, et les populations alentours, du terme générique " Arabes ", ce qui est significatif du caractère raciste des auteurs de cet article.

De plus, il est hautement probable, sinon certain, que ce type d'arme est déjà développé, a déjà été testé, et est probablement en cours d'essais sinon plus, à grande échelle, c'est à dire que des germes sont déjà répandus par les américano-sionistes, visant des populations déterminées.

Il est de même certain que ces germes, qui comme tous les germes, mutent, et très rapidement, ou associent leurs patrimoines génétiques à ceux d'autres germes, se tranformant en de nouveaux germes, que des nouvelles maladies, fabriquées par les sionistes et les américano-sionistes, maladies particulièrement graves, vont frapper, ou frappent déjà l'ensemble de l'humanité, et non spécialement les " Arabes ", du Proche-Orient.

Il s'agit d'une guerre d'extermination à toute l'humanité, qui est là en cours, et qui est menée par les américano-sionistes, qui seront autant touchés par leurs propres créations ... C'est une guerre de fous déshumanisés, menée contre l'humanité, que l'humanité se doit d'éliminer, sous peine de disparaître.

 

Pour avoir dénoncé par la voie judiciaire française, l'armement biologique des israéliens à base de germes létaux génétiquement modifiés, rendus spécifiques à certaines populations, Michel Dakar a été condamné à 200 euros d'amende, pour abus de procédure, par l'ancienne doyenne des juges d'instruction de Paris, Michèle Colin.

Une plainte est déposée contre la juge Colin, maintenant à la retraite. Cette plainte sera maintenue, quoi qu'il arrive, contre cette personne, pour complicité de génocide contre l'humanité, afin que ceux qui pourraient suivre son exemple, comprennent que l'impunité et l'immunité, peuvent un jour cesser, et que chacun, quel que soit son statut, n'est pas à l'abri de subir les conséquences de ses actes.