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Calme http://www.aredam.net/calme.html
Michel
Dakar
Villequier, le 30 mai 2018 Route de
Barre-y-va Villequier 76490 Rives-en-Seine
Monsieur le Président,
Cour
Administrative d'appel de Douai
50, rue de la
Comédie
50500
Douai
Objet :
prévision d'un appel d'une affaire traitée
actuellement au Tribunal Administratif de Rouen,
dont l'audience finale est le 5 juin 2018. Problème
posé par la représentation
obligatoire par un avocat en appel administratif.
L'intitulé
de l'affaire est fluctuant : Michel
Dakar c/ M. l'Expert judiciaire Patrick Cureau,
Michel Dakar c/ Communauté d'Agglomération
Caux Vallée de Seine. Référence
du dossier au Tribunal Administratif de Rouen : n°
1801058-2.
Monsieur le Président,
Cette
affaire à l'origine était purement
administrative, et a été déplacée
sur le plan politique par la partie dénommée
Communauté d'Agglomération Caux Vallée de
Seine.
En substance, la Communauté
d'Agglomération a adressé un mémoire daté
du 15 mai 2018, totalisant environ 200 pages, dont environ 100
sont totalement étrangères à l'objet de
la procédure et consistent en des copies de
documents publiés sur
l'un de mes sites internet « aredam.net »,
qui relatent mon activité politique publique à
Paris, activité qualifiable de dissidente, le
terme « dissident » étant
la traduction d'un terme russe dont
le sens est « celui qui pense autrement ».
Le plus ancien document présenté par la
Communauté d'Agglomération date de 2007, évoque
Versailles, et est antérieur à
l'entrée en activité de la
Communauté d'Agglomération en 2008.
La
Communauté d'Agglomération tente une action
innovante en matière
judiciaire française, celle de
convaincre des juges qu'un individu dissident ne mérite
pas de se voir reconnu ses droits. Le message de
la Communauté d'Agglomération est le suivant :
« Ne l'écoutez pas c'est un
dissident ».
Cela est
contraire au principe fondamental du
droit : l'égalité de tous devant
la loi.
Cela ouvre la voie à
l'institution officielle d'un nouveau statut
appliquable à certains individus, celui de « hors
droit ».
La Communauté
d'Agglomération induit la criminalisation de
publications anciennes considérées
légales, ce qui affaiblit le
principe fondamental de non-rétroactivité.
Un
tri spécifique a été
opéré par la Communauté
d'Agglomération de 12 documents sur environ
5000 publiés sur mon site « aredam.net ».
Ce site existe depuis 2005. Il
est visité depuis environ 100 différents pays
chaque mois, et accueille environ 5000 visiteurs
différents. L'objet de ce site est la
politique globale. Ces 12 documents traitent du
rôle des avocats et
des magistrats, du processus enclenché
depuis 2001 des attentats dits islamistes, du
Proche-Orient et des services secrets français.
Le contenu de mes écrits diverge
de la narration officielle.
Cela
a des conséquences concernant ma possibilité
de faire appel de la décision que prendra le Tribunal
Administratif de Rouen, puisque la
représentation par un avocat est
obligatoire en appel en procédure
administrative.
Un avocat banal
est inadéquat pour se charger de cette
affaire. Il faut donc que je me tourne vers un
avocat politique.
Mon expérience personnelle
ancienne d'une trentaine d'années et corroborée
par de nombreuses sources, me fait
classer les avocats politiques en deux catégories
principales : ceux qui travaillent à
l'insu de leur client pour le gouvernement, ceux qui
travaillent à l'insu de leur client pour d'autres
puissances. Une troisième catégorie
existe, hybride des deux premières
et complexe.
Cela abolit
mon droit au libre choix dans ma
défense.
Je demande donc à
pouvoir déposer moi-même mon futur
éventuel appel sans le truchement d'un avocat, et
à défendre ensuite moi-même ma cause.
Au
cas où cette demande ne pourrait être honorée,
je demande que Monsieur le Président désigne
dans un premier temps un avocat commis d'office,
pour déposer ma demande d'appel rédigée
par moi-même, dans les délais légaux.
Je demande que la copie de ce présent
courrier soit communiquée à cet
avocat, qui acceptera cette mission en pleine connaissance de
cause.
Dans l'attente de votre décision,
je vous prie de recevoir, Monsieur le Président,
l'expression de mes salutations distinguées.
M.
DAKAR
Copies
adressées
pour information sous pli simple au Tribunal Administratif de
Rouen, et
à la Mairie de Rives-en-Seine, ex-partie
observatrice
écartée
au
cours
de la
procédure.
LRAR
n° 1A 149 650 7191 3
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