Ce texte vous est adressé pour réflexion.
Ceci est une première tentative d'analyse comparative du fait religieux en général.
Cette première tentative portera sur la religion juive, qui est la plus ancienne des trois religions dites monothéistes.
Les deux premiers points remarquables dans le judaïsme, sont : le sexe masculin et l'infini pouvoir accordé au sexe masculin.
Dans les religions antérieures au judaïsme (Egypte, Mésopotamie et autres), les divinités étaient masculines ou féminines (ou encore hermaphrodites). On se trouve avec le judaïsme, en présence de la première religion de toute l'histoire humaine, qui exclut totalement l'un des deux sexes, le sexe féminin.
Dans les religions antérieures au judaïsme, il y avait multiplicité des dieux, cela tout le monde le sait, c'est pourquoi le judaïsme est nommé monothéisme, mais surtout, les dieux étaient limités à la fois dans leurs existences, ils naissaient, ils mourraient, mais aussi dans leurs capacités, ils n'avaient que certains pouvoirs particuliers. C'étaient en quelque sorte des dieux « possibles », « raisonnables ».
Première conclusion :
On peut résumer cette première partie en énonçant que le judaïsme est une idéologie homosexuelle masculine, qui dénie totalement l'existence des femmes, et qui attribue la totalité du pouvoir aux mâles, en en privant totalement les femmes.
Les deux seconds points remarquables dans le judaïsme, sont : la procréation et la socialité endogènes.
Dans le judaïsme, il n'y a pas d'existence du sexe féminin, donc il n'y a pas procréation sexuée.
La reproduction est donc le fait des mâles seuls, ce qui est démontré par le fait que dans la Genèse , dieu sépare une partie du corps de l'homme, pour en faire une femme, comme un simple animal-objet de compagnie pour l'homme (pour son agrément).
La reproduction sexuée, exogène, a été un immense progrès dans l'évolution des formes de vies. Elle a permis le mélange des gènes entre individus étrangers, soit la complexification et l'accélération de l'évolution.
La procréation endogène est pauvre en comparaison de la reproduction sexuée. Elle est la caractéristique des formes de vies primitives, comme les bactéries. Une bactérie, pour procréer, se divise en deux bactéries filles, qui à leur tour vont se diviser, chacune en deux autres bactéries filles. Les mutations sont alors dues au hasard des accidents pouvant se produire lors de la séparation des chromosomes, et la reconstitution postérieure des chromosomes entiers, et non dans le mélange systématique de deux apports génétiques étrangers, différents, pour donner des individus, originaux et uniques, des véritables créations, porteurs de potentialités inconnues, des véritables devenirs. Dans la « reproduction » sexuée, on peut dire qu'on ne reproduit pas, mais qu'on créée.
De même, au niveau social, la religion juive interdit le mélange de ses individus avec des individus de religions étrangères.
Pour imager, on peut dire que symboliquement, l'adepte de la religion juive, procrée par scissiparité, comme les bactéries, ou plutôt reproduit, en ayant malgré tout un sexe, unique, ce qui n'est contradictoire qu'en apparence, puisqu'on peut considérer que la femme dans cette religion, n'est qu'un homme sous une forme féminine.
Le rapport « sexuel », mal nommé dans ce cas, puisqu'il n'y a pas deux sexes, donc pas de sexe du tout, est endogène à la communauté juive, c'est-à-dire endogène à la famille juive, ce qui est un rapport par définition incestueux, et institutionnalisé.
Pour conclure , on peut dire que l'acte de procréation dans cette idéologie, est le fait d'une scissiparité homosexuelle incestueuse. Il s'agit d'un rapport « sexuel » interne à chaque individu défini comme mâle, qu'il soit en apparence de sexe masculin, ou féminin, il est de toute façon un mâle.
La conclusion précédente rejoint la première , qui a trait à l'infini, et au pouvoir infini, puisque dans ce système, symboliquement, c'est le même individu qui se perpétue depuis la nuit des temps, en se divisant simplement, en deux autres individus, mais qui ne sont que deux autres lui-même, et cela « sans commencement », et « sans fin ». Il n'y a pas des Juifs, mais un seul Juif, qui s'est reproduit, un seul qui apparaît sous une forme multiple, qui provient de la nuit des temps, et qui est immortel.
Ce schéma ne fonctionne que si on ne conçoit le monde que d'après le principe de la répétitivité, de la répétition, ce qui s'image par la figure du cercle, qui fait que la route que l'on suit passe toujours par le même chemin, qu'on suit à l'infini.
Cette route n'a en effet ni commencement ni fin, comme la circonférence du cercle n'a ni commencement ni fin, ni passé, ni devenir. C'est une sorte d'enfermement dans l'instant, dans la non évolution, dans une forme figée. Le cercle est l'image de la non vie, et de l'enfermement, soit du refus de l'existence, et de ce qui constitue son caractère fondamental, la transformation.
On peut dire qu'une idéologie fondée sur la non transformation, est la folie. Ceci peut même servir de définition à l'idée même de folie. Un fou pourrait être défini comme un individu incapable de changer, de se transformer. Evidemment, pour qu'un système comme celui-là puisse perdurer dans le réel, il faut qu'il empêche le réel d'exister ; soit qu'il interdise à l'évolution de pouvoir continuer. Ce système tend à figer le monde dans sa propre folie, à entraîner le monde dans son propre cercle, dans sa propre prison, dans son propre enfermement. Ce cercle ne circonscrit que du vide, le vide de la folie. Il n'y a pas en réalité de centre à ce cercle. Le centre est dans ce cas de figure, un néant, car c'est le non sens, le non être, la non évolution, la non vie. Le centre dans ce cas de figure, est un non centre.
C'est ce qu'on peut constater de visu, maintenant que l'Etat d'Israël permet de donner un corps physique, matériel à cette idéologie, par ce mur, qui entoure l'Etat d'Israël, lequel est le symbole réel de la religion juive.
Ce mur n'enferme pas les Palestiniens, il enferme le monde, l'univers, la vie, le réel, la conscience, l'esprit.
Ceci était une première tentative de compréhension du fait religieux en général, en commençant par la plus ancienne des trois religions dites monothéistes, la religion juive.
Il sera abordé rapidement dans les analyses ultérieures, le cas de la religion chrétienne, comme étant la religion juive se présentant sous une apparence féminine, l'idéologie de Nietzsche, soit l'anti christianisme, ce qui revient à révéler l'idéologie juive (volonté de puissance totalitaire, amoralisme absolu, folie – dans laquelle était lui-même tombé Nietzsche), et l'islam, que je ne comprends pas pour le moment, et qui devrait être analysé par un musulman, comme le « chrétien-juif » que je suis analyse l'idéologie qui lui a été imposée. Suivront les analyses du bouddhisme, et des autres cultes.
Michel Dakar, le 4 décembre 2005.
Ce texte est adressé aussi pour réflexion, au Consistoire central israélite,
« Quand c'est simple, ce n'est pas la peine de faire compliqué ».
Texte paru sur l'Internet, le 4 décembre 2005, référence fichier :
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