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Note introductive : Cette page est en cours constante d'élaboration, et sera régulièrement complétée. Son thème est la mosquée des Ulis. La mosquée des Ulis est prise en tant que cas permettant de comprendre plus généralement les enjeux existants au niveau politico-financier des mosquées en France. Voir le site de l'association Al Andalousia, relatif à ce projet de mosquée : avec en page d'accueil le montant actualisé de la collecte en cours opérée auprès de la population musulmanne des Ulis, pour sa construction (environ 300 000 euros en moins d'une année !!! - une belle affaire bien juteuse et prometteuse), et des vues et des plans de la future mosquée.
Nota 1 : But de l'association ASSALAM (président Abdelhakim Séfrioui), créée en 1992 (relevé sur les statuts déposés à la Sous-Préfecture de Palaiseau : Gestion des activités de la mosquée. Contrecarrer le mouvement de délinquance chez les jeunes par la création de centres d'intérêts (sport, culture ...........). Organisation de fêtes musulmanes. On peut constater que dans ces buts, le point numéro deux révèle qu'il ne s'agit pas de traiter les causes du mouvement de délinquance, mais de masquer ses effets. Ainsi, on ne se pose pas la question de savoir pourquoi les jeunes seraient délinquants (cause à rechercher dans la structure même d'une société fondée sur l'inégalité, une couche privilégiée de population exploitant et dominant les autres couches, et l'existence de couches populaires au bas de l'échelle, nécessairement extrêmement défavorisées). L'association ASSALAM révèle là son caractère intrinsèquement conservateur de l'ordre, et même son rôle quasi policier. Gérer une mosquée, pour les tenants de cette association se confond avec tenir la population, lui faire conserver sa place dans le système d'exploitation dominant. La mosquée est vue là comme un organe de répression, de maintien de l'ordre.
Nota 2 : Objet de l'Association Culturelle des Musulmans des Ulis (ACMU - président Abdelhakim Séfrioui), créée en 1997, selon ses statuts déposés à la Sous-Préfecture de Palaiseau : Mener à bien le projet de construction de la mosquée des Ulis. Organiser et gérer la future mosquée (depuis septembre 2007, il a été collecté environ 300 000 euros auprès de la population musulmane des Ulis, pour la future mosquée, ce qui démontre que le potentiel en argent est très important. C'est dommage que ce pactole ait échappé aux tenants de l'ACMU, et soit tombé entre d'autres mains ...). Promouvoir le dialogue avec les parties intéressées ( ... se poser en intermédiaire ... pour être en bonne position au moment voulu ...). Contribuer à enrichir le patrimoine culturel de la ville des Ulis (avec ce genre de bâtiment en béton, particulièrement laid, qu'on retrouve maintenant dans toutes les banlieues). Permettre aux musulmans des Ulis, l'épanouissement au sein de leur ville (par la religion ! Islam signifiant "sousmission" !, religion spéciale, qui de plus dégrade et rabaisse la femme vis à vis de l'homme, ce qui est même l'une de ses plus fondamentales caractéristiques, et il faut oser le dire honteuse et intolérable, innacceptable en Occident). Favoriser les échanges entre la communauté musulmane et les autres communautés (ici, tout est vu de façon communautaire - l'individu n'existe pas, seul la communauté compte. C'est exactement l'idéologie de toute société autoritaire ou totalitaire. L'Islam est révélé là comme étant un système totalitaire). Organiser et participer aux manifestations culturelles, sportives et éducatives pour les jeunes (encore l'encadrement de la jeunesse, qui permet de conditionner les futurs adultes à la soumission et à l'ordre inégalitaire du système en place, et aussi à l'obéissance envers les religieux. Le rôle conservateur, répressif et exploiteur de l'ACMU apparaît là). A suivre.
L'exemple de lutte pour le pouvoir de la mosquée "La Miséricorde" de Nîmes : http://www.aredam.net/guerre-mosquee-nimes-misericorde.html
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