Deux brefs dévoilements des stratagèmes répressif occultes.

 

1 - Les attentats contre les bus, dans les banlieues.

2 - Le piège étatique de l'Internet.

 

1 - Les attentats contre les bus dans les banlieues.

Ces attentats sont totalement invraisemblables. Ils sont certainement commis par un service très spécial étatique. Il est impossible que des jeunes des banlieues attentent à la vie de personnes qui peuvent être de leur propre famille, ou liées indirectement à eux-mêmes, par un réseau d'amitié ou famillial.

Nous nous trouvons devant une série d'actions similaires à celles des attentats du 11 septembre 2001, puis à ceux de Londres et d'Espagne.

De toute manière, on peut avancer sans trop craindre de se tromper, que dès que des actions violentes touchent la population civile, les auteurs de ces actions appartiennent à un service étatique, et qu'il s'agit de manipulation dont le but est de justifier l'augmentation de la force et de l'étendue de l'emprise de l'appareil répressif sur la population, préparant peu à peu, par degrès modérés, l'instauration d'une franche dictature. L'armée dans les gares, puis dans les banlieues, puis dans les centres villes, par exemple. L'idéal est même que ce soit la population civile qui demande à ce que l'armée apparaisse en ville, armée qui pointera ses armes contre cette population même ! Cela va bientôt venir ... les veaux aiment à demander le couteau du boucher, et tendent leur gorges vers leur bourreau.

 

2 - Le piège de l'Internet.

Dès l'origine, le système internet a été prévu pour que tout poste individuel soit accessible depuis l'extérieur, cela sans que le possesseur de ce poste en ait la connaissance, et puisse s'y opposer. Il existe un très bon livre à ce sujet : "L'Oeil de Washington", chez Albin Michel, de Fabrizio Calvi et Thierry Pfister - 1997.

L'internet est un immense piège, et un régal pour les services de répression. Tout ce que vous faites sur votre ordinateur peut à volonté être connu, sans que vous ayez la moindre connaissance d'être pénétré, et sans que vous puissiez rien faire pour vous y opposer, comme en ce qui concerne les sites Internet, ces derniers pouvant être à tout moment anéantis, ou modifiés, ou encore simplement espionnés.

Les sites internet qui ne sont pas touchés, sont respectés parce qu'il est plus intéressant pour l'appareil répressif de les conserver en activité.

Ceux qui continuent de fonctionner tel l'aaargh, fournissent involontairement la liste exhausitive mondiale de l'identité des mal-pensants, aux services de répression.

Le site du Réseau Voltaire (voltairenet.org) visiblement est actuellement considéré comme hautement dérangeant, et a été de ce fait démoli.

Le seul problème que rencontre l'appareil répressif au sujet de l'Internet, est de faire oublier, ou de ne pas dévoiler, qu'il peut faire ce qu'il veut, quand il veut, avec l'Internet. Dans le cas de l'aaargh, ce service de répression fait même semblant de l'attaquer périodiquement, sans succès. Une vraie partie de rigolade.