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http://www.aredam.net/affaire-daniel-milan-avocat-jose-bertozzi-nice.html
Ceci est la copie de la page du
blog annexe, consacré à l'avocat de Daniel MILAN,
José BERTOZZI.
Affaire Daniel MILAN torturé
par la police sur ordre des sionistes, jugée par la Cour
européenne des droits de l’homme : blog consacré à
la trahison de son avocat maître José BERTOZZI de NICE
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Daniel MILAN http://arretdanielmilancedh.unblog.fr/
Ce présent blog est consacré à l'avocat de Daniel
MILAN, maître José BERTOZZI, de NICE.
Ci-dessous, alors que maître José BERTOZZI, avocat à
NICE, de Daniel MILAN,
s'occupant de défendre la cause de Daniel MILAN devant la CEDH,
a déclaré à Daniel
MILAN que non seulement le CEDH ne l'avait pas tenu informé de
la date de l'audience de son affaire, ni du rendu de l'arrêt de
la CEDH, ni de la forclusion de son droit à faire appel, suite
au dépassement du délai de trois mois suivant la date de
l'arrêt, et que la CEDH lui a seulement communiqué l'arrêt
fin octobre 2008, on peut constater de visu que la CEDH a bien fait
son travail, c'est à dire qu'elle a bien envoyé un courrier
informant maître BERTOZZI de
l'arrêt de janvier 2008 accompagné de l'arrêt lui-même,
et ce en janvier 2008, et qu'elle lui
a renvoyé pour finir, un dernier courrier en avril 2008 (à
la date de forclusion du délai
d'appel pour l'informer que l'arrêt était rendu définitif
du fait de l'absence du dépôt d'un
appel de sa part), et enfin qu'elle ne lui a pas adressé l'arrêt
en octobre 2008.
Les copies de ces courriers ont
été communiquées à Daniel MILAN par le greffe
de la 3ème
section de la CEDH. Ce sont ces copies qui sont reproduites plus bas sur
ce blog.
Il faut là rappeler que la salade socio-politico-économique
très très spéciale de NICE,
est constituée de trois parties :
1 - d'une partie de sionistes très
fortement implantés dans la région de NICE et à Nice
même,
2 - d'une partie d'un mélange
particulièrement socialement putréfiant et nécrosant
de réseaux sectaires et franc maçons, impliquant le milieu
de la police et de la justice,
3 - et d'une dernière partie,
qui est sans doute devenue prépondérante, issue du flux
énorme d'investissements d'argent mafieu, d'origines italien et
russe. Bien des cabinets juridiques
de la côte d'azur travaillent quasiment à plein temps à
investir dans les formes légales ces masses d'argent internationales
provenant de la drogue, de la vente de femmes et d'enfants, de la vente
d'organes humains, du racket, du chantage, d'enlèvement, du trafic
d'armes, de la pornographie
et de toutes les autres saloperies subies par la pauvre humanité,
ces cabinets juridiques ne conservant qu'un volant d'affaires “normales,”
pour la façade.
Maître José BERTOZZI
est un cas intéressant, en ce sens qu'il a depuis le début
de cette affaire
de torture policière impliquant le pouvoir sioniste en France,
opéré un véritable travail de sape,
tout en bernant son client Daniel MILAN, qui lui faisait entièrement
confiance.
Maître BERTOZZI a été jusqu'à facturer par
écrit des frais de déplacement et des
honoraires pour une audience à laquelle il ne s'est pas rendu (”absent
à la barre” selon le
texte écrit du jugement rendu). De même, il a déclaré
à un journaliste de Nice-Matin, qui l'a rapporté à
Daniel MILAN, qu'il fallait relativiser les propos tenus par son client.
Pour compléter le portrait,
lire le fichier internet :
http://www.volerestunart.org/virtuelle.php/id/14520.
http://www.marianne2.fr/-NOUS,-EN-CORSE,-ON-N-EST-PAS-PLUS-MALHONNETES-QU-AILLEURS-_a52193.html.
http://www.fil-info-france.fr/2004_juin_14.htm
:
” LA CHRONIQUE JUDICAIRE
DE PASCAL MOUROT : La cour d'assises de Paris a
acquitté faute de preuves dans la nuit de vendredi à samedi,
les frères Joël et Jacques
Patacchini, (49 et 51 ans), André Benedetti, (67 ans, commanditaire
présumé), et Alexandre Chevrière, (54 ans) membre
supposé de la “Brise de mer” (nom d'un bar de Bastia)
et auteurs jusqu'alors présumés de l'attaque de l'Union
des banques suisses UBS à Genève le 25 mars 1990, baptisée
à l'époque le “casse du siècle”, où
l'équivalent de plus de 20 millions d'euros
avaient été dérobés sans être jamais
retrouvés. Etrange procès d'une semaine dont les
délibérés auront duré 5 heures et où
le cas de Richard Casanova, 54 ans, également soupçonné
dans cette affaire, en fuite depuis 14 ans, a été disjoint.
D'autant qu'en annonçant l'arrêt, la
cour a expliqué aux 4 “victimes” qu'ils pouvaient demander
une indemnisation pour les 2
années de détention provisoire qu'ils ont tous effectuées.”
Avocat véreux, salaud, fripouille, menteur, escroc, filou…”,
rien n'a été épargné à l'avocat niçois
José Bertozzi victime
d'un prétendu malaise cardiaque la veille qui l'empêchera
de témoigner le dernier jour
d'audience. C'est que l'avocat avait alors “vendu” ses clients
pour toucher la prime
d'assurance (80 000 francs suisses, 2 ou 3 millions selon les sources)
remise en main propre
par le commissaire genevois Marco Mattille, quelque peu écoeuré
comme il viendra le rappeler devant la Cour. Quand aux témoins
à charge, ils auraient eux-mêmes participé au casse
ou
cherché par la suite à obtenir une prime de l'UBS ! “Ce
n'est pas parce que des témoins sont eux-mêmes discutables
que forcément ils mentent”, rappelait à l'audience
l'avocat général Philippe Bilger désespéré
de n'avoir la moindre trace de ces “précieux” témoins
corses, dont Michel
Ferrari… Les policiers sont convaincus de leur culpabilité,
dont l'ancien patron de l’Office
central de répression du banditisme, Jean-Gustave Paulmier, mais
n'a aucune preuve contre ces “mafieux” si ce n'est que mensonges,
faux alibis, maladie et fuites… Après un vague réquisitoire,
l'avocat général Philippe Bilger demanda aux jurés,
face à des avocats pénalistes chevronnés
dont rien ne nous autorise à penser qu'ils étaient rénumérés
avec l'argent du braquage,
“d'acquitter les 4 prévenus” en cas de “doute
fondamental”, juste après avoir demander
“une peine de l'ordre de 10 ans de réclusion criminelle”
tout en reconnaissant “la faiblesse
des preuves mises à sa disposition”. Et, manifestement exaspéré,
l'avocat général se “révolta” également
contre cette tendance “à exiger de la justice qu'elle fournisse
des preuves lumineuses
et indiscutables face à une criminalité audacieuse, organisée
et compétente”. Début de
jubilation… “Je décerne à monsieur l'avocat
général une agrégation en généralités
bien
exprimées !”, lança maître Jean-Yves Liénard,
plaidant en premier pour le seul des 4
accusés à comparaître détenu, Alexandre Chevrière.
Ndlr. Pour la moralité de l'information rappelons que le complice
genevois dont la femme était secrétaire d’un responsable
de l’UBS,
a été condamné en Suisse, en 1992, à 7 ans
et demi de réclusion criminelle. Appelé à témoigner,
il n'est pas venu. A lire : Les Parrains corses, de Jacques Follorou et
Vincent Nouzille,
Editions Fayard. (Livre “recommandé” et distribué
(copie) à l'audience par l'avocat général
Philippe Bilger. (*) Lien promotionel. ** L'ancien directeur général
des services de la Ville
de Nice, Michel Vialatte a été condamné à
5 ans d'emprisonnement, dont 18 mois avec sursis,
par le tribunal correctionnel de Nice dans le procès dit “des
marchés publics truqués” de
Nice. “
Ci-dessous, lettre de la CEDH adressée à Daniel MILAN, accompagnant
les copies des deux courriers que la CEDH a adressé à maître
José BERTOZZI, suivie des copies des deux courriers :
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