6
Brèves de la fin d'année 2019 à résoudre
(20 décembre 2019).
1
- Ce qui sous-tend tous les comportements humains. 2
- Changer la règle du jeu. 3
- 13 milliards d'années d'évolution qui partent en
fumée. 4 - La ridiculisation de la classe politique
française par le service psyops central du régime. 5
- L'insaisissabilité,
depuis
Sun
Tsu à nos jours et ses
conséquences
ultimes. 6
- La
notion d'intelligence à travers un exercice de premier
cycle de l'école d'architecture de Darnétal
(banlieue de Rouen), et sa
conséquence. http://www.aredam.net/6-breves-de-la-fin-d-annee-2019-a-resoudre.html
O Lucky Man ! Film de Lindsay Anderson, 1973.
1
- Ce qui sous-tend tous les comportements humains.
Réponse
à discuter : la conscience sous-jacente et impossible
à éradiquer qu'il n'existe que deux états
sociaux humains, celui de maître et d'esclave. Toute la
stabilité du régime esclavagiste général
humain repose sur le déni, soit le mensonge de cette
vréalité, tout s'organise autour de ce qui est
l'unique pivot de la structure socialo-psuchonogique humaine.
2
- Changer la règle du jeu.
L'unique
but, devoir, raison d'être de l'espèce humaine est
de changer la « règle du jeu »,
laquelle a été énoncée publiquement
par un empereur chinois bouddhiste Xiang Wudi, la vie se nourrit
de la vie, règle qui lui était insupportable.
L'état social esclavagiste de l'espèce humaine
n'est que le respect de cette règle. L'espèce
humaine est la vie parvenue à un stade de son évolution
où la règle peut être changée, par une
forme de vie, celle humaine, qui possède les capacités
pour modifier cette règle.
3
- 13 milliards d'années d'évolution qui partent en
fumée.
La
vie est vieille d'environ 13 milliards d'années, selon la
connaissance scientifique actuelle du « Big Bang »,
mais évidemment elle n'a pas de naissance, et donc la
notion de temps ne s'applique pas à elle. Par contre, pour
ce que nous nommons trivialement la vie, celle de cet univers
particulier qui est le nôtre, elle a bien 13 milliards
d'années, cela signifie que chacun de nous a non pas, par
exemple pour moi, presque 65 ans, mais 13 milliards d'années.
Tous ce quie xiste a 13 milliards d'années.
Ce qui
se passe en ce moment avec la non-évolution humaine vers
un changement de la règle du jeu, est simplement que 13
milliards d'années d'évolution sont en train de
partir en fumée.
4
- La ridiculisation de la classe politique française par
le service psyops central du régime.
Il
n'y a pas une seule journée sans que la propagande du
régime - qu'on devrait dénommer autrement, la
dénomination de cette fonction du pouvoir devrait
s'inspirer de la dénomination que les peuples dits
primitifs dans certaines régions asiatiques boisées,
appliquaient à la pratique de couper les têtes des
ennemis vaincus, de les préparer d'une certaine façon,
en en enlevant certains os, en tannant la peau, pour obtenir des
têtes réduites au dixième – ne
s'applique à ridiculiser ses propres loufiats dénommés
représentants du peuple, ceux de la dite classe
politique.
Pourquoi ?
Exemple : Scan de
deux parties de Le Parisien du 17 décembre
2019.
http://www.aredam.net/le-retrait-de-monsieur-retraite.pdf
5
- L'insaisissabilité,
depuis
Sun
Tsu à nos jours et ses
conséquences
ultimes.
Le chef d'oeuvre du dénommé Sun
Tzu, l'idole indépassable des bibliothèque des
académies de guerre et des services secrets se résume
en deux mots, « être insaisissable ».
Ceux
qui opèrent dans ce genre de sport comprendront.
Mais
il y a une chose qui devrait être améliorée
dans le dogme Sun Tzu, c'est que cela va infiniment plus loin que
ranger son armée sur le champ de bataille en un ordre
subtil qui interdit à l'ennemi de comprendre dans quel
ordre sont établies les troupes, ou bien entretenir une
telle confusion qu'on ne peut rien connaître de vos
intentions. Certains poussent même l'adresse jusqu'à
rendre insaisissable la nature de leur personnage. Tout cela est
étriqué.
La vraie insaisissabilité
est pour commencer qu'on ne puisse même pas vous situer en
tant qu'allié et ennemi.
C'est là le début
de la véritable insaisissabilité.
Pour les
étudiants aptes à accéder aux niveaux
supérieurs, voici le programme de la formation
complète :
Ne pas savoir soi-même qui on
est est l'unique façon radicale de rester
insaisissable.
Ne pas savoir soi-même qui est son
allié et qui est son ennemi.
La conséquence
est ce monde humain devenant totalement insaisissable, pour tous,
et en premier (je passe sur le monde des dits esclaves, qui sont
persuadés d'êtres des citoyens et d'avoir des
droits) pour ceux qui s'imaginent être les marionnettistes.
Au point où on en est arrivé, seul le
brouillard règne sur le pauvre univers mental humain.
6
- La
notion d'intelligence à travers un exercice de premier
cycle de l'école d'architecture de Darnétal
(banlieue de Rouen), et sa
conséquence.
En
1989, le programme de premier cycle de cette école
d'architecture était sans doute exceptionnel, il
consistait à accueillir les jeunes étudiants par un
discours où on leur apprenait que la plupart des diplômés
ne pratiquaient pas l'architecture, que beaucoup créait
même leur métier, que l'architecture menait à
tout à condition d'en sortir, que c'était les
dernières études dites « humanistes »,
c'est à dire globales, toutes les disciplines humaines
étaient abordées, par des équipes
pluri-disciplinaires, on ne nous demandais pas d'être blanc
en tout ce qui est impossible, mais pas noir non-plus, donc gris
en tout, que les deux années à venir allait se
passer à nous apprendre à réfléchir,
à chercher, à se chercher en premier, et à
apprendre à apprendre, apprendre à chercher, à
découvrir l'objet de sa recherche, à circonscrire
son domaine de recherche, et à créer sa propre
méthode de recherche. Depuis, cela a dû changer,
car on a peu à peu transformé les écoles
d'architecture en école d'ingénieur, paraît-il.
Les tenants de cette école devaient avoir lu le Gargantua
de Rabelais et son abbaye de Thélème, où le
professeur ne fait que suivre son élève (la règle
de cette abbaye mythique est « Fais ce que
voudras »). Cela m'arrangeait, je suis un diplômé
en architecture qui ressent une immense satisfaction à
n'avoir pas une seule fois accaparé une pauvre terre
sauvage, libre, fréquentée par les animaux, les
insectes, les micro-organismes, les en privant pour la stériliser
par une de ces minables constructions humaines. Le non-faire
taoïste.
Il y a un exercice qui m'a marqué à
vie qu'on nous a donné à faire. A partir d'une
situation donnée où se trouvent trois éléments,
trouver toutes les dispositions possibles de ces trois
éléments. Au début, on n'en imagine que
quelques unes et on se dit que cet exercice est stupide. Puis en
prenant son temps, on trouve peu à peu d'autres
combinaisons, puis cela ne s'arrête pas, on tend à
avancer vers une infinité de combinaisons. Cela se nomme
l'intelligence, dont l'étymologie latine est relier, d'où
vient aussi le mot religion. L'intelligence est l'acte de relier
des éléments entre eux.
Tout cela pour dire,
que moi qui partage ma vie avec un troupeau de trois boucs, deux
chèvres et un bélier, je peux dire qu'à
partir des quelques éléments qui sont à leur
disposition dans leurs existences sur un terrain clos, qui
constitue tout leur univers, jusqu'à leur mort, ils sont
aussi intelligents que nous autres les prétentieux
humains, et par extrapolation, que les insectes, bactéries
et virus sont de même intelligents.
De là la
guerre sans fin contre les bactéries et virus, qu'on ne
risque pas de vaincre un jour, comme cela se constate, et qui
vont même parvenir à nous éliminer si on
continue à considérer leurs existences comme des
maladies, des guerres à mener.
On sera perdant si
on continue à considérer la vie comme une guerre
qui nous oppose à tout ce qui n'est pas humain.
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